La cougar chez les Picards

La rédaction 23 juillet 2019

Anne, 53 ans, Picardie.

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Salut interstron.ru, ici Anne, une lectrice picarde assidue !

Je vous écris parce qu’avec mon mari, Pascal, nous avons franchi une nouvelle étape dans notre relation. Cela faisait bien longtemps qu’il m’en parlait : « Je voudrais que tu te fasses câliner par un petit jeune. » Je ne l’avais plus vu aussi entêté depuis l’époque où j’avais encore peur de la sodomie. Et, bien sûr, comme à son habitude, il est arrivé à ses fins. Si ce n’est pas de l’amour ça, hein ! C’est que, voyez-vous, nous ne sommes pas particulièrement libertins. Nous sommes tous les deux fans de sexe.

C’est clair que Pascal est drôlement pervers, et j’ai toujours la légère impression que nous allons un peu plus loin pour lui faire plaisir… Enfin, je dois reconnaître que le plaisir est partagé ! Il m’en fait faire, je vous jure ! Quoi qu’il en soit, voilà, il voulait que je me laisse attraper par un petit gars au bois vert. Nous nous sommes donc mis en chasse du chevreuil qu’il nous fallait. C’était un beau samedi d’été, nous avons pris la voiture pour nous rendre à la ville moyenne la plus proche. Dès notre arrivée, nous nous sommes installés à la terrasse d’un café où les jeunes se retrouvent pour draguer, près de la cathédrale. Il y avait un beau gosse tout seul, tassé près du mur, avec un air penaud. Il sirotait une bière et n’osait pas trop nous regarder, mais je sentais bien que je lui donnais soif... On a fini par aller l’aborder. Il s’appelait Florian. Il faisait de l’intérim d’été pour payer ses études. Par chance, il n’avait pas de mission ce jour-là. C’était un sportif, nous avons causé de tennis… Il était très gentil. Puis nous avons parlé de baise ! Il ne semblait pas gêné par le tour de la conversation. Au contraire, une nouvelle lueur s’était allumée dans ses yeux. Nous avons senti que c’était le bon. Nous l’avons persuadé de venir avec nous faire un tour dans la belle campagne picarde.

Nous savions déjà dans quel coin trouver notre nid d’amour… Il y avait un étang très tranquille avec des recoins isolés où nous venions parfois pique-niquer. Nous avions d’ailleurs apporté notre plaid et une bouteille de vin rouge pour convaincre Florian. Nous avons étendu la couverture sur le sol et débouché le vin. Nous sommes rapidement venus à bout de la bouteille. La tête nous tournait. Florian nous a étonnés en prenant les devants : « J’ai bien compris pourquoi on est là, vous savez… », a-t-il avoué avec cette jolie petite pointe d’accent local. Il était craquant, et j’ai craqué : Pascal n’attendait que ça, je pouvais presque sentir son impatience comme une odeur… En parlant de fragrances, il y en avait une qui commençait à émaner de ma culotte. Notre nouveau copain l’a identifiée et s’est approché de moi avec des intentions on ne peut plus claires : son gourdin formait comme un petit ventre au niveau de sa braguette. Il a eu un regard en direction de mon mari, genre : « C’est ok ? » J’ai sniffé son eau de toilette de jeune homme, comme c’était mignon ! Je l’ai désapé en quelques secondes, il me faisait trop envie. J’ai tiré sur l’élastique de son slip et j’ai fait jaillir le beau diable. Je l’ai immédiatement glissé dans ma bouche. Quel joli sexe ! Je l’ai sucé à fond, je voulais le prendre dans ma gorge comme dans les films, c’était délicieux. Son gland est passé derrière ma langue, il avait une longue bite. Il a fait tomber mes fringues pendant que je continuais de le gober avec obstination. Je ne voulais plus le lâcher. J’en salivais très fort. Pascal ne ratait pas une miette et avait dégainé l’appareil numérique. Il commençait déjà à se tripoter le paquet en prenant des photos. Il ne pouvait pas se retenir ce gros cochon, depuis le temps qu’il attendait ça, vous pensez ! Puis, Florian m’a retournée pour me baiser en levrette. Il a enfilé la capote que lui a tendue Pascal et il a glissé dans ma minette une part de bonheur. Il y allait avec la douceur d’un gentleman. Il m’a baisée gentiment, mais bien. Il était long et plus dur que de la pierre. Comble de la délicatesse, il a voulu me prendre en missionnaire. C’était tendre, j’ai beaucoup apprécié. Il faisait ça bien.

Ensuite, j’ai dû reprendre un peu le contrôle et je lui ai fait essayer quelques autres trucs dont je ne savais pas s’il les avait déjà pratiqués ou pas. C’était rafraîchissant de choisir les positions, ça me changeait un peu de ma relation avec Pascal, où tout est très chorégraphié. Je l’ai terminé dans ma bouche, je voulais goûter à son sperme et lui faire ce plaisir pour le remercier. Pascal s’est approché de nous pour jouir lui aussi sur mon visage. Les fluides coulaient sur mon front, mes joues, mon menton et mes seins… J’étais comblée et mes deux hommes aussi ! Quelle expérience formidable. Merci à eux deux !

(Photo à la une : Getty Images)

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