Un mâle pour un bien

La rédaction 22 juin 2023

Radija, 33 ans, rencontre un homme qui va la baiser comme jamais aucun homme ne l’avait fait avant. Elle s’est fait limés la chatte et le cul par la même occasion. Voici son témoignage.

Marocaine d’origine, je suis une adepte des hammams. Rien de tel pour se remettre en forme, avec une exfoliation énergique au savon noir et un massage profondément relaxant. Je ne vais que dans les établissements non mixtes. Comment ai-je pu me retrouver un jour, étendue seule sur ma serviette, me laissant envahir par le bien-être, surprise par l’irruption d’un quarantenaire, brun et aussi nu que moi ?  Voici mon histoire de sexe !

Un mâle bien monté

Je me suis levée pour cacher ce qui pouvait l’être. Le beau gosse s’est assis, me lançant un « bonjour » grave et souriant. Nous avons engagé la conversation à poil, lui queue molle posée sur de jolies couilles rasées, moi nichons à l’air, essayant d’être le plus naturelle possible. Et bientôt j’ai senti des papillons envahir mon ventre, ce gars était adorable et respectueux. C’est moi qui ai fait le premier pas, je lui ai tendu la main et nous sommes allés dans le salon attenant, je me suis étendue sur un grand canapé et j’ai vu la verge caoutchouteuse se dresser lentement.

L’homme est allé chercher son portable dans le vestiaire. Lorsqu’il est réapparu, il m’a demandé de reprendre la pose, je n’ai pas réfléchi, la tête me tournait, j’ai écarté de nouveau les cuisses, révélant toute mon intimité. Il avait visiblement flashé sur mes seins aux aréoles larges et poudrées et sa trique s’est encore raffermie quand j’ai commencé à me toucher en bas. Mon corps luisait et mes mains couraient partout, je me pinçais les tétons, j’étirais mes mamelons et je me doigtais la chatte en même temps.

Il s’est enfin approché suffisamment près pour que je puisse sentir sa peau et, en tendant le bras, me saisir de sa masculinité devenue un monolithe aussi massif que pesant. Je l’ai regardé droit dans les yeux en enfournant cette friandise dans ma gorge encore plus chaude que les vapeurs du hammam que nous venions de quitter. La fellation que je lui ai offerte a duré longtemps, je m’appliquais, bien décidée à lui donner la meilleure pipe de sa vie. Son pieu emplissait ma bouche et durcissait davantage sous l’effet combiné de ma langue et de mes lèvres.

Il était délicieux avec un prépuce très mobile que je m’amusais à rétracter totalement pour mieux agacer le frein si sensible.
Lui n’est pas resté inactif, tantôt enfonçant ses doigts dans ma longue chevelure corbeau ou jouant avec mes seins, très sensuellement, les effleurant du bout des doigts. C’est lui qui m’a stoppée, je crois que je l’aurais pompé jusqu’à ce qu’il me gicle au fond du palais. J’ai été invitée à me mettre à quatre pattes. La levrette est ma position préférée, je me suis donc soumise à ce diktat de bonne grâce, écartant les fesses au maximum pour lui donner accès à tout ce qu’il voulait. Il m’a prise doucement, ayant préalablement déposé de la salive sur ma fente, mesure liminaire bien inutile, j’étais trempée. Je mouille toujours beaucoup, mais ce jour-là je crois que j’ai battu tous les records.

Un mâle très doué

Après m’avoir limée précautionneusement, il a dû comprendre que j’attendais plus. Il m’a empoigné les fesses pour à la fois m’ouvrir le plus possible tout en me tenant fermement. J’ai adoré cette pression sur mes globes d’autant plus que sa machinerie s’est tout de suite mise en marche. Il m’a baisée comme peu d’hommes l’ont fait avant lui. Implacable, sa bite entrait et sortait de mon vagin, les clapotis qui me parvenaient ne faisaient que renforcer mon excitation, j’ai dû enfouir mon visage dans le velours épais d’un coussin pour ne pas alerter tout l’établissement !

Sans que j’eusse le temps de me remettre ou de m’allonger, j’ai immédiatement senti sa langue dans mon con. Accroupi derrière moi, il m’a dévorée ! Tout y passait, il s’enfonçait dans mon petit trou, lapait les chairs de mes nymphes pour finir par aspirer mon clitoris. Quand il a enfoui ses longs doigts dans mes deux orifices, j’ai joui instantanément.

Cet homme était doué, très doué. Comment lui refuser, dès lors, un joli bonus sous forme de sodomie ? Il n’attendait que cela et j’avoue que, lorsque l’acte est aussi bien amené, je ne suis pas contre me faire enculer bien profond. Son pénis large a eu du mal à passer l’anneau serré, mais une fois qu’il a été entièrement en moi, je me suis branlé le clito tout en effleurant ses bourses. Il a réussi à tenir jusqu’à ce que je sois emportée une troisième fois avant de capituler et de grogner fortement. En un éclair je me suis libérée de son pieu et je me suis jetée sur son gland, juste à temps pour recevoir ses saccades éjaculatoires puis avaler toute sa semence.

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