Pluralité masculine : trois mâles et une chatte
10 avril 2023Une femme en couple organise un plan à quatre et s’est fait défoncer le cul et la chatte au cours d’une soirée. Elle réalise son fantasme de toujours.
Greg, mon homme, me comble parfaitement sur le plan sexuel et je n’ai jamais eu envie d’un autre partenaire. Enfin, si je suis totalement honnête, j’ai toujours eu un fantasme de pluralité masculine. Cet été, nous nous sommes offerts un week-end de rêve à Cabourg, fruits de mer, balades sur la plage et sexe, sexe, sexe ! Et j’avoue qu’une chambre d’hôtel a la vertu de me désinhiber côté décibels ! Je vous raconte notre histoire de sexe à trois !
Fellation en boucle
Nous sommes allés en boîte de nuit, j’avais un peu abusé du champagne et j’étais très, très chaude. J’ai repéré trois hommes qui buvaient un verre dans le carré VIP, Greg a vu le petit manège et m’a glissé à l’oreille « Et si on les ramenait dans notre chambre pour un petit gang-bang ? » Un blanc-seing de ma moitié, trois beaux mâles visiblement très intéressés par ma personne, une heure plus tard je déshabillais ces messieurs sous le regard attentif de mon Greg qui nous mitraillait copieusement ! Je n’ai eu aucune hésitation dans mes gestes, répétés mille fois dans le secret de mon esprit, j’ai débraguetté et fait jaillir les trois membres, Greg s’est aussi mis à l’aise, j’adore son sexe large et vigoureux. Je me suis agenouillée et la ronde des sucettes a commencé. Une bite dans chaque main, une troisième en bouche, j’alternais caresses et succions pour ne laisser personne sur sa faim.
Caresse au pluriel
On m’a ensuite invitée à gagner le lit spacieux, les préliminaires ont continué de plus belle, mais cette fois, c’est moi qui étais le centre de l’attention, chacun y allant de sa technique pour me lécher, me doigter avec plus ou moins de virilité et de virtuosité. Les queues se sont mises à défiler entre mes lèvres tandis que l’on me préparait de la plus belle des manières. J’ai joui sous deux langues différentes, quant aux pénétrations, la succession a été telle que je n’ai su qui était le responsable de mes jouissances. Les hommes sont alors entrés dans le vif du sujet, si je puis dire. Quand j’ai compris que le premier round était fini et qu’ils allaient me prendre l’un après l’autre, je me suis mise à mouiller non-stop, tout ce qui se passait correspondait exactement à ce que j’avais toujours fantasmé.
Une queue à chaque trou
Des partenaires doux, mais à la fois directifs, respectueux, mais riches d’initiatives. J’ai été possédée en missionnaire, en cuillère, en levrette (beaucoup), je pompais un nœud tandis qu’un second entrait en moi, là encore les manières de faire étaient variées, puissante comme un cheval, parfois lente, mais appliquée ou bien encore par saccades, enchaînant les petits coups rapides pour se couler en moi avec une langueur démoniaque. L’un d’eux m’a retournée sur le lit pour m’écarter les cuisses et les fesses, j’avais une conscience aiguë de ce que j’offrais à voir, ma chatte, certainement déjà toute gonflée des premières saillies et mon petit trou, pastille fripée dont je me suis dit qu’il n’allait pas tarder à prendre sa dose de queue lui aussi ! J’avais raison.
Sodomisée par une énorme bite
Une langue s’est aplatie contre mon anus, le nappant de salive pour mieux s’enfoncer dans le sphincter étroit. Je ne suis pas contre une sodomie lorsqu’elle est bien préparée, visiblement j’avais à faire à un spécialiste. Après un anulingus réalisé dans les règles de l’art, un, deux puis trois doigts ont pris le relais, me forant, tournant dans un sens puis dans l’autre, mon muscle s’est ainsi assoupli, a chauffé pour se retrouver prêt à des intromissions plus masculines. Un poids s’est alors installé sur moi, le bassin s’est tortillé jusqu’à ce que je sente un gland faire plusieurs essais afin de m’enculer, les premières tentatives se sont soldées par des vaginales classiques, il a fallu que j’envoie ma main jouer les guides. J’ai déposé la tête de l’engin pile au centre de ma rondelle, une grande poussée et la hampe est entrée d’un coup ! Dieu que c’était bon ! Se faire sodomiser par une bite inconnue tandis que deux autres se présentaient à moi pour que je les suce.
J’ai fini par les accueillir toutes les trois dans mon fondement jusqu’à ce que l’une d’entre elles rende son dernier souffle ou plutôt son dernier éjaculat. Cette première giclée de crème sur mon visage a entraîné le reste de la troupe, j’ai été couverte de sperme épais et collant. L’ultime a été Greg que j’ai pris en bouche afin d’avaler tout son foutre. Depuis mon homme se délecte à me ramener des amants à la maison ou à m’organiser des rendez-vous interlopes dans des chambres d’hôtel, désormais il me filme en plus de me photographier. Notre album est bien rempli, tout comme mes orifices qui réclament toujours plus !
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