S’envoyer en l’air en boîte de nuit
27 août 2023Amélie, 24 ans, rencontre un homme en boite de nuit qui va lui faire voir de toutes les couleurs. Voici son histoire.
J’aime danser, faire la fête, rire et croiser de beaux mecs ! Et quoi de mieux que le sud de l’Espagne pour réunir tout ça !? Les boîtes y sont tops, disco, années quatre-vingt, house, toutes les musiques sont à disposition et les jeunes hispaniques sont aussi chauds que leurs clubs. J’y ai fait des rencontres chaque nuit, j’ai choisi le type le plus vicieux que j’ai connu pour illustrer mon témoignage. Voici mon histoire de sexe ;
Premier verre première érection
Juan m’avait chauffée toute la soirée, il dansait bien et m’a offert pas mal de verres, nous sommes partis par la plage en direction de mon hôtel. Il n’a pas pu attendre jusque-là, nous nous sommes roulés des pelles, il a commencé à me tripoter de partout et j’ai senti son érection palpiter contre mon bas-ventre. J’ai tâté à travers son jean, c’était énorme ! Moi qui aime les mecs bien membrés, j’avais tiré le gros lot. C’est à moitié à poil que j’ai ouvert la porte de ma chambre et quand je me suis retourné, Juan avait son portable en main et prenait en photo mes fesses bien rondes.
Mon popotin lui avait tapé dans l’œil, saisissant que je ne disais rien pour les clichés, j’ai fini de me dénuder et me suis amusée à poser pour lui, écartant ma culotte pour offrir ma chatte dégoulinante et mon petit trou rose qui rend tous les hommes fous ! J’assume, j’adore me faire fourrer par-là, la sodomie est un de mes péchés mignons ! Je me suis doigtée par devant et par derrière, ça fait toujours grimper les garçons au rideau de voir une nana être bien cochonne comme ils en rêvent.
Une bite bien bandée
Lui aussi s’est libéré de ses vêtements et, à sa posture de matador, j’ai bien compris qu’il appréciait les filles plutôt soumises. J’aime être dirigée par un mec qui sait ce qu’il veut de temps en temps. Je suis donc venue à lui sur les genoux, la moquette chauffait déjà ma peau, son engin était particulièrement gros comme je l’avais deviné un peu avant. Assez long, il était surtout très large et bien veiné, j’en ai bavé d’avance en pensant à la manière dont il allait me dilater la chatte à fond ensuite.
Je l’ai sucé comme j’ai l’habitude, en le regardant bien dans les yeux et en salivant beaucoup. Il m’a très vite renversée sur le lit et, chose peu commune chez les Latins, m’a bouffé le minou et le cul tel un affamé. Il aimait vraiment ça le petit salaud, il a même réussi à me faire jouir tant il enfouissait sa langue loin dans ma cramouille. Je suis complexée par mes seins plutôt menus, mais Juan a honoré également mes aréoles, couvrant mes tétés de bisous et mordillant mes extrémités jusqu’à ce que je gémisse et lui demande de me baiser fort.
Il est venu sur moi et m’a limée avec une force incroyable, il a compris sur le champ que je n’étais pas là pour minauder, et tandis que je revenais aux prises de vue, il m’a démontée dans toutes les positions. Le missionnaire ayant épuisé son offre de distraction, il m’a retournée comme une crêpe pour une levrette claquée de rêve. Il se servait de l’élasticité du matelas et du sommier pour amplifier ses coups de queue, allant toujours plus profond dans ma chatte. Je me tenais à la tête du lit, les bras bien en avant tellement il me donnait de grandes secousses qui menaçaient de m’assommer si je lâchais ma prise.
Sodomisée avec gourmandise
Il m’a fait jouir je ne sais combien de fois, m’enfilant ses longs doigts dans le trou du cul à l’instant où il le désirait. J’adore quand un homme fait preuve d’initiative et ose aller fouiller de ce côté de mon anatomie. Ma petite fleur ne demande qu’à être le centre de toutes les attentions lorsqu’on sait s’y prendre. Une fois bien dilatée par-là, il y a même glissé son gland dodu pour voir jusqu’où il pouvait aller. Il a vu, je me suis empressé d’aller attraper ses grosses bourses qui pendaient entre mes cuisses pour l’inciter à s’enfoncer encore et encore. Dès que ses couilles se sont plaquées à ma fente gonflée, j’ai failli défaillir.
Punaise qu’il était imposant, nom d’un chien ! Il m’ouvrait le derche comme jamais, mais une fois habituée à sa présence, j’ai senti que ça chauffait doucement, il a balancé un peu de lubrifiant sur mon anus qui dessinait un O parfait et m’a enculée jusqu’à ce que je sois emportée par un nouvel orgasme. À ma demande, il s’est retiré et je me suis ruée sur son pénis qui se soulevait, épileptique. Je l’ai accueilli en bouche juste à temps pour recevoir un geyser de foutre que je me suis empressée d’avaler.
Lui préférait me gicler sur les fesses ou sur les nichons et prendre en photo le résultat psychédélique obtenu, un peu comme des taches de Rorschach ! Puis tout ramasser avec un doigt ou une cuillère et me donner le tout à manger.
A lire aussi :