Enculer une femme ronde

La rédaction 26 août 2023

Olivier, 35 ans, a toujours rêvé de sodomie une femme bien en chair. Un jour, il a rencontré Anne, une femme ronde qui va lui permettre de réaliser son fantasme.

Marie-Anne est une femme ronde qui a un cul large et bombé. Elle était persuadée qu’elle ne m’attirait pas. C’est vrai que mes copines étaient plutôt sylphides et que rien ne pouvait lui laisser présager que je craquais pour elle avec son visage d’ange et son pétard démentiel. Voici mon histoire de sexe ;

Une femme bien en chair

Un temps collègues, elle a démissionné, mais nous avons gardé contact. C’est ainsi qu’un soir, je l’ai conviée pour un verre, je me suis rapproché d’elle très vite, ses grands yeux bleus se sont emplis d’étonnement lorsque je lui ai roulé une pelle, une main sur ses fesses. Je crois qu’elle a pensé un moment que je me moquais d’elle, mais quand elle a senti ma queue dure appuyer contre son bas-ventre, elle a compris qu’elle m’excitait réellement. Nous sommes rapidement allés chez moi et nous n’avons même pas pris le temps de nous déshabiller totalement.

J’avais encore mes chaussettes (bonjour la sexy attitude !), Marie-Anne avait gardé sa marinière, je n’en avais que pour son popotin que je voulais voir, pétrir, regarder à l’envi. J’avais un véritable Botéro dans mon plumard ! Un fessier comme j’en rêvais, large, ferme, généreux. Un cul qu’on a envie d’attraper à bras le corps pour s’y enfoncer profondément et y rester blotti pour toujours. Il fallait absolument que je grave cette première fois, Marie-Anne m’a autorisé à prendre en photo son derrière …

juste son derrière. J’ai saisi mon portable avant qu’elle se ravise. Elle a joué avec ses globes charnus devant moi et est venue me rejoindre en reculant, écartant ses deux merveilles de ses mains. Sa chatte épilée m’est apparue dans cet écrin de chair, j’ai dirigé mon pieu vers son trou rose, elle s’est laissé couler et m’a accueilli en elle tout entier. Son sexe était un nid onctueux et très étroit, elle a continué à libérer le centre de mon intérêt, absolument pas prude comme je le pensais, sa timidité s’était envolée et elle s’empalait sur ma bite de plus en plus fort !

Pénétration anale

Lorsque j’ai vu ses doigts se rapprocher de son anus, fin trait allongé et vertical, j’ai halluciné. Elle s’est mise à jouer, d’un côté avec mes bourses, de l’autre avec son trou secret qu’elle a pénétré d’abord d’un index hésitant puis son majeur et son annulaire se sont imposés. Incroyable, cette fille était aux antipodes de l’image qu’elle renvoyait.

Nous avons fini par nous dénuder totalement, ses seins étaient superbes également, plutôt petits par rapport au reste de son anatomie, mais en forme de belles poires très tendues vers le ciel et arborant de larges aréoles très sombres. Je les ai sucés longtemps pendant que Marie-Anne me branlait du bout des doigts, j’ai failli éjaculer tant elle avait des gestes sensuels. Les femmes rondes sont souvent des amantes affolantes, Marie-Anne ne dérogeait pas à la règle.

Quand elle m’a dépossédé de ses nibards, je suis resté un instant frustré, mais elle s’est penchée sur ma queue pour me tailler une pipe et tout s’est brouillé dans mon esprit. Lorsqu’une fellation est à la fois technique et donnée avec passion, on atteint des sommets. Tout y était, la salive abondante, les coups de langue parsemés sous la hampe, sur le frein et le gland, l’appendice s’enroulant autour de ce dernier pour mieux le laisser à l’air libre et s’occuper des couilles pour remonter sur l’aine et reprendre tout le sexe au fond de la bouche ou contre la joue !

Baiser en levrette

C’est Marie-Anne qui m’a demandé de m’allonger sur le dos, souple, elle s’est plantée debout au-dessus de mon visage puis s’est accroupie avec beaucoup de langueur. « Lèche-moi ! Tout, partout, la chatte, le clito, le petit trou, j’ai envie de jouir sous tes léchouilles avant que tu m’encules ! » Dire que je me suis empressé de m’exécuter est une litote ! Je lui ai mangé tous ses fruits, ma langue velours se glissait en larges arabesques sinueuses dans tous les méandres offerts à ma bouche gourmande.

Effectivement, Marie-Anne se contorsionnait comme une damnée, coulissant toute sa fente et son sillon dans un va-et-vient énergique. Elle a joui en m’inondant, intense cataracte tiède et totalement inodore. Le contrat était rempli, elle s’est donnée en levrette, ouvrant le chemin encore une fois. J’ai pris mon temps, reluquant son trou vivant, j’ai entamé la sodomie en douceur, mais j’ai vite compris qu’il allait falloir y aller franchement. Nous avons agonisé ensemble, elle en hurlant tandis que je me vidais les couilles au plus profond que je pouvais la pénétrer. Nous ne nous sommes plus quittés depuis et, sous ses airs de sainte nitouche, elle me régale de ses appétits sexuels tous les jours !

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