Des vacances de folies à la Reunion.
13 octobre 2023Armand et sa femme sont parties passé des vacances loin de leur enfants pour avoir du temps pour eux et surtout du sexe à volonté.
Des vacances très « hot » de Noël !
Avec Armand, mon mari, nous ne goûtons pas les fêtes de fin d’année. Sans enfants, nous pouvons partir où et quand cela nous chante. L’an dernier, nous avons donc pris la direction de la Réinterstron.ru pour deux semaines de vacances … en été, puisque nous nous trouvions dans l’hémisphère sud ! Nous sommes deux chauds lapins tous les deux, le programme était simple, farniente et sexe à volonté !Voici mon histoire de sexe.
Si vous n’aimez pas baiser en pleine nature, c’est que vous n’avez jamais essayé ! Nos journées ont été rythmées par des rituels très épicés. Le matin au réveil, pipe ! Je cueillais Armand par une fellation douce, effleurant ses belles couilles et le pompant avec tendresse, juste pour une mise en train, sans qu’il vienne.
Nous allions ensuite prendre le petit déjeuner, moi en pagne sans rien en dessous afin d’exhiber mon joli minou imberbe. J’en ai fait tourner des têtes de serveurs (et de serveuses), ouvrant des billes toutes rondes en découvrant ma cramouille humide. De temps en temps, je glissais un doigt dans mon vagin pour le donner à sucer à mon coquin d’homme qui avait toutes les peines du monde à cacher ses érections !
Nous retournions alors dans notre bungalow où nous nous envoyions en l’air une première fois. Une baise confortable et moelleuse, Armand me défonçant la chatte en levrette ou en missionnaire, me bombardant de photo en même temps qu’il m’emportait au paradis. Son gros chibre se fond parfaitement dans mon con serré et il sait y faire, variant les rythmes et les profondeurs de ses pénétrations, caressant mes seins sensibles, m’embrassant fougueusement dans le cou ou bien encore, chose que j’adore, allant fouiller mon petit trou d’un majeur agile.
Là encore, il faisait preuve d’une maîtrise remarquable, me poussait à jouir une, deux, voire trois fois, sans jamais se laisser aller à éjaculer !
Une bonne douche et nous nous reposions en attendant le déjeuner, mon corps ramolli par mes orgasmes à répétitions et les cocktails ravageurs d’un barman dont j’aurais bien fait mon quatre-heure.
Mon mari Armand et nos vacances
Armand ayant son permis bateau, l’après-midi était réservé à la navigation. Quel plaisir de découvrir une anse et d’aller s’y prélasser nus ! Là, nouvelle séance de poses, comme dans les magazines ! Moi en naïade cochonne à souhait, obéissante à tous les desiderata de mon mari, offrant à l’objectif l’intégralité de mes secrets les plus cachés. J’aime me dévoiler ainsi et je sais que cela excite au plus haut point mon amant de feu.
Sa belle bite bien dure, il se rapprochait alors de moi, il me pelotait partout, pinçant mes mamelons pour que je mouille un peu plus, commençant à me raconter tout ce qu’il allait me faire. À plusieurs reprises et malgré l’inaccessibilité de la crique dans laquelle nous avions trouvé refuge, des voyeurs nous découvraient en train de baiser. Nous ne les avons jamais chassés, respectueux, ils restaient à distance, parfois en se branlant, et cela nous faisait encore monter en excitation. Là, je savais qu’Armand allait vouloir montrer toute l’étendue de mes talents et m’enculer copieusement, les fesses tournées vers nos spectateurs.
Je le suçais, à genoux dans le sable puis nous allions nous baigner dans l’océan Indien, avant de ressortir et de gagner notre serviette ou des rochers érodés par le sac et le ressac marin.
Mes loches bien bronzées étaient embrassées, mordillées, supées, moi je branlais le vit d’Armand, récoltant ses gouttes de miellat salé sur le bout de mes doigts avant de les lécher.
Quelques poses torrides pour immortaliser la balade, Armand me poussant à aller toujours plus loin, que ma chatte soit épilée ou noire d’une toison bien garnie qu’il adore. J’avoue que cette plaie béante et rose se détache bien de mon écrin pileux, cela attire finalement encore plus le regard.
Lorsque le soleil commençait à brûler la peau, nous trouvions un petit coin d’ombre et la fête pouvait débuter. Armand me délivrait un cunnilingus d’exception, léchant ma moule salée en débordant sur mon petit trou, fouillant tous mes recoins avant d’extraire mon clitoris de sa gangue, il ne lui fallait que quelques mouvements onctueux pour me faire venir et gicler toute la mouille de mon corps. J’étais alors prête à le recevoir une fois de plus en moi, lui lassant le choix de l’orifice, souvent les deux étaient visités par sa belle pine dure comme les rochers en granit qui nous servaient d’alcôve. Enfin, il jutait pour la première fois de la journée, son sperme finissant le plus souvent sur mes gros seins dont il raffole. Une dernière baignade pour se rafraîchir, une nouvelle nuit s’offrait à nous pour tout recommencer.
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