La dream team

La rédaction 23 août 2021

Si je décide de prendre la plume aujourd’hui c’est pour dire aux femmes de mon âge (j’ai soixante-cinq ans) que l’âge importe peu, surtout quand on parle sexualité, au contraire, avec la maturité, tout devient possible ! Notre génération a profité de mai 68, la pilule en vente libre et aucune maladie létale à l’horizon. Les IST existaient bien sûr, mais rien qui ne pouvait se guérir avec quelques antibiotiques. Je m’appelle Sylvianne, j’ai 65 ans et voici ma torride histoire porno.

Un désir profond

J’ai eu pas mal d’amants plutôt agréables jusqu’à Bertrand. Je sais, Bertrand, ça n’est pas un prénom très sexy. Vous ne vous imaginez pas un gaillard de vingt ans, de larges épaules et un charme désarmant ? Et pourtant, quel coup de foudre ! Une semaine plus tard, nous consommions notre désir comme des fous, six mois après nous convolions en justes noces.

J’ai découvert ce qu’était l’orgasme entre les bras de mon mari. Il n’était pas solidement bâti que des épaules, à tel point que cela m’a effrayée à nos débuts. Mais cet homme à la carrure d’athlète et au sexe hors normes s’est avéré un amant expérimenté, patient, endurant et imaginatif. Écrivain à ses heures il a couché sur le papier nos fantasmes, en particulier celui qui m’a toujours poursuivi : avoir plusieurs partenaires à ma disposition.

Il y a quelques mois, nous évoquions ces petites nouvelles et Bertrand s’est fait plus insistant sur le sujet, me questionnant sur la limite que je fixais entre désir utopique et réel, me poussant dans mes retranchements intimes. Cette inquisition douce avait des accents de « cap ou pas cap ». In fine, il m’a porté le coup de grâce en m’avouant que ses trois meilleurs amis, avaient toujours craqué sur moi et seraient plus que disposés à « offrir leurs services » au cas où.

Je n’en ai pas dormi de la nuit. Non que je fusse choquée par la proposition de Bertrand, mais à cause de la réaction de mon bas-ventre. Jamais un désir aussi sourd ne m’avait ainsi tourmenté. J’ai tenté de me masturber pour éteindre le feu entre mes cuisses, en vain. J’ai finalement opté pour une petite séance de spéléologie sous la couette. J’ai toujours eu beaucoup de plaisir à prendre mon homme en bouche, à sentir sa queue se gonfler sous l’effet de mes succions et à doucement avoir le palais envahi par son membre délicieux. Il n’a pas fallu longtemps pour sortir « la bête » de sa torpeur livide et mon époux de son sommeil profond.

Bertrand a voulu me rendre la politesse, mais je n’avais cure des préliminaires. Je désirais un hallali rapide, être pourfendue par son glaive de chair, qu’il me baise en levrette et qu’il m’achève de jouissance. C’est ce qu’il a fait. Devant son sourire satisfait, je l’ai repris en bouche, j’ai léché mes sécrétions intimes, j’ai agacé ses bourses et il a giclé au fond de ma gorge. J’ai tout avalé et je l’ai embrassé en lui susurrant « Invite la team à un barbecue ce week-end» et je me suis endormie.

Devenu réalité

Le samedi suivant les quatre mousquetaires étaient tous autour du feu. Mon instinct m’a poussé à précipiter les choses. Si nous attendions le repas, la magie de cette soirée risquait de s’évaporer. Je me suis donc déshabillée et suis allée me glisser dans le jacuzzi. Ils ont tous posé leur verre et se sont dirigés vers moi en commençant à déboutonner chemises et pantalons.

Je ne sais si certains avaient eu recours à de liminaires petites pilules bleues, toujours est-il que ce sont quatre magnifiques érections qui m’ont rejointe. Bertrand m’a embrassé en me caressant les seins puis s’est tourné vers nos amis « Messieurs, les copains d’abord ! »

Un bouquet de bite s’est matérialisé devant moi, une longue et fine, une courte et trapue enfin un gourdin de calibre identique à celui de ma moitié ! J’en ai pris une en bouche et une dans chaque main. On n’imagine pas à quel point il est compliqué de coordonner ses gestes pour sucer une queue et en branler deux autres en même temps.  Mais j’ai réussi ma première épreuve haut la main. Je découvrais mon mari candauliste et photographe.

Nous nous sommes séchés et avons gagné la chambre, abandonnant les cendres mourantes pour des incandescences bien plus attractives.

Les hommes se relayaient afin que j’aie toujours un partenaire vigoureux à ma disposition. Bertrand orchestrait cette joute avec maestria. Ils m’ont tout fait les petits cochons. Mais ce qui m’a le plus fait jouir fut la double pénétration. Quatre pénis, deux orifices, faites-moi confiance, cela fait dix combinaisons possibles !

Mes orgasmes ont été nombreux et Bertrand a fini par décharger au fond de mes fesses. Les trois autres m’ont souillée les seins de leurs jets crémeux et blanchâtres. J’en avais partout et je me suis régalée à lécher ma poitrine comme une belle salope en portant chaque globe à ma bouche pour savourer ce cocktail si spécial.

Depuis, Bertrand a contacté un organisateur de gang-bang. Le rendez-vous est pris, six hommes seront à ma disposition pour mes soixante-six ans !

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