Une pipeuse passionnée

Paule 4 novembre 2023

Pendant ces vacances au Brésil Franck fait la rencontre de Martine une qu’il a initié à la pipe tout le long de son séjour c’était à base de lèche et pipe.

Martine aime la pipe !

J’ai rencontré Martine (prononcer « Martiné ») au Brésil. J’y étais parti pour la saison de surf, elle aussi. L’approche a été longue, mais ça valait le coup, un corps sublime et ce regard ! Lorsque nous avons commencé notre relation, j’ai été étonné, elle était ouverte à toutes les pratiques, vaginale, anale, à toutes les positions, mais avait un blocage surla fellation ! C’était décidé, ce serait donc ma mission, mon but, lui faire apprécier de sucer une bite. Je vous raconte mon histoire de sexe.

Il faut toujours donner pour recevoir, je l’ai léchée tous les jours, voire plusieurs fois par jour. J’allais courir le matin et en rentrant dans la chambre, à peine éveillée, Martine m’attendait, les cuisses écartées, déjà trempée par une phase de masturbation intense. Je la trouvais là, ouverte, les doigts jouant sur son minou ou sa rondelle, parfois enfoncés profondément dans un des orifices ou même les deux. Son clitoris, gros comme un grain de raisin, s’extirpait de son capuchon rose, ses nymphes étaient gonflées et le cratère de son vagincoulait d’un jusaux flaveurs poivrées. Je n’avais plus qu’à agir avec ma langue, écartant et fouillant substantiellement le tunnel, guidé par les gémissements et le souffle de ma compagne, je la doigtais et elle jouissait en se répandant sur les draps et mon visage. Je pouvais tout aussi bien lui brouter le minou sous la douche, dans la cuisine pendant qu’elle tentait de préparer le repas ou bien encore dans l’ascenseur. Elle a vite compris que les jeux oraux génitaux, rapides, intimes à l’extrême, sensuel, étaient excessivement jouissifs. Martine en redemandait, le cunni était devenu son credo, sa petite folie, elle ne portait plus de culotte pour être toujours prête à se laisser déguster le bonbon.

Un chapelet de baiser mouillé

Doucement, je l’ai donc fait s’amuser avec ma bite,elle adorait le sexe hors d’un lit, je l’incitais à me tripoter partout, sur la plage, à la fête foraine, au restaurant, dans les magasins où nous faisions du shopping. Elle a apprivoisé ma queue en fraîcheur, la main d’abord, puis sont venus les bisous, elle m’en parsemait le gland, la hampe, les couilles, sa bouche pulpeuse réalisait de vrais miracles et comme j’ai l’érection facile, autant avouer qu’on voyait souvent que j’avais dressé le chapiteau, mon mât est, disons, conséquent en termes de taille.

La première réelle tentative s’est déroulée dans une cabine d’essayage, c’était une jolie échoppe de lingerie, les Cariocas sont folles de dessous affriolants, elle avait passé un ensemble fendu au niveau des tétons et de la chatte, j’avais sorti mon matos et commencé à me branler. Martine m’avait sermonné, car elle était obligée d’acheter le tout, vu qu’elle avait imbibé le tanga de sa cyprine qui coulait à flots.

Je lui ai dit que, pour que j’arrête, il fallait me prendre en bouche. Elle a approché timidement sa tête de mon pubis, a enroulé mon gland d’un chapelet de baisers mouillés, mon méat suintait d’une liqueur salée et abondante, j’ai alors senti un premier coup de langue, puis un second. Elle m’a lapé, comme on mange une grosse glace à l’italienne, tournant autour de ma couronne pour finir par entrouvrir ses lèvres et m’accueillir en leurs seins. La surprise était de taille, j’ai retenu un cri, je n’ai plus bougé, surtout ne pas lui attraper les cheveux, ne rien forcer, ne rien brusquer, la laisser faire. Je n’ai pas joui cette première fois, la pipe était par trop hésitante, manquait de rythme, de profondeur et de rondeur, mais nous avions clairement franchi une étape.

La seconde tentative a eu lieu dans la voiture, nous longions une corniche en décapotable, il faisait beau, les seins de Martine sortaient de son débardeur minimaliste, j’ai extirpé ma queue et elle m’a pompé pendant que je me garais dans un endroit tranquille. Cette fois-ci, j’ai mis ma main sur sa nuque et je l’ai guidée, elle m’a fait cracher en cinq minutes. Même moi je me suis fait surprendre, je n’ai pas pu maîtriser le premier jet, j’étais un peu inquiet, le sperme était ce qui la préoccupait le plus dans cet acte, elle n’a pas bronché, enfonçant toujours plus mon pieu au fond de sa gorge, elle a attendu que j’aie déchargé tout mon foutre et s’est relevée pour ouvrir la bouche et me montrer la crème blanche qu’elle a avalée tout de go !

Il m’avait fallu six semaines environ, mais Martine était devenue une pipeuse émérite et passionnée. Depuis, j’ai quitté le Brésil sans pour autant couper le contact. Nous nous échangeons encore des textos et elle m’envoie des selfies d’elle pompant de beaux gros chibres. Elle va venir à Paris bientôt, je lui ai promis de l’emmener dans un club libertin muni d’un glory hole …

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