La punition du voyeur

La rédaction 9 mars 2019

Gabriel, 23 ans

le voyeur puni histoire de sexe

Au mois de juin dernier, à la fin de mes vacances dans le sud de la France, je me promenais sur la plage en pensant aux râteaux successifs que j’avais encaissés à l’occasion de mes multiples approches de touristes allemandes ou hollandaises.

Dépité, je me suis assis sur le sable, à l’ombre d’un pin. J’ai fermé les yeux et je me suis laissé bercer par le bruit du vent dans les bambous. Soudain, des voix et des soupirs très proches ont attiré mon attention. J’ai écarté les grandes branches et j’ai vu, là, juste devant moi, un couple en train de baiser. Allongé sur une serviette, les pieds dans l’eau, un joli garçon, grand et mince, se faisait sucer par sa copine, une belle brune au cul généreux… En manque comme j’étais, mon sexe s’est mis à grossir presque aussitôt, bombant sans équivoque le tissu de mon maillot de bain.

Bien caché derrière mes bambous, je savais que je ne risquais rien. J’ai jeté un coup d’oeil derrière moi, afin de m’assurer que personne ne pouvait me voir. Je suis allé chercher mon petit appareil photo au fond de mon sac, bien décidé à immortaliser cette jolie scène. Je sais que ce genre de choses arrive parfois, mais là, la situation était d’autant plus exceptionnelle que le couple était vraiment mignon, jeune et excitant !

L’appareil photo dans une main, la queue dans l’autre, je matais avec délice le beau cul de cette superbe fille qui chevauchait le sexe de son mec. Je me suis dit après coup que j’aurais dû la prendre, elle aussi, en photo. Ma queue était énorme! La brune soupirait de plus en plus fort, je devinais les mots que son homme lui adressait : « Salope, tu aimes ça… »

Cela m’excitait tellement que mon gland commençait déjà à perler. Pour me calmer, j’ai lâché ma bite et j’ai pris quelques photos. Mon esprit était embrumé, mon regard focalisé sur le couple, et j’ai dû faire une mauvaise manipulation… Le flash est parti ! Les tourtereaux m’ont surpris, ils ont tourné la tête vers moi, et là, je me suis trouvé idiot, paralysé, incapable de bouger, l’appareil photo dans les mains, avec une érection que j’oserais qualifier de monumentale…

Ils se sont mis à rire de bon coeur tous les deux, et m’ont demandé d’approcher… « Viens ici, sale petit voyeur, m’a lancé la belle brune. Tu ne vas quand même pas continuer à te branler, je crois que tu devrais plutôt essayer de te faire pardonner ! »

Je suis devenu écarlate, ma tige commençait à mollir, je ne savais plus où me mettre… « Je m’appelle Souad« , m’a dit la fille. Puis elle a ajouté : « Tu as une belle queue… Elle est plus grosse que celle de mon mec ! Viens ici que je la goûte. Mais attention, après, tu devras le sucer ! » Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles… Mais après tout, je n’avais jamais pompé un homme et l’idée ne me déplaisait pas.

Je me suis approché, Souad a saisi ma queue, l’a un peu branlée, puis a enfournée, encore molle, dans sa bouche. Je n’ai pas tardé à durcir entre ses lèvres brûlantes ! Elle a attendu que ma bite soit gonflée et tendue à craquer, puis elle m’a ordonné : « Allez, suce mon mec, les petits minets comme toi, ça l’excite… Désolée, j’ai bien mouillé sur sa bite, j’espère que tu aimes ça… »

Ses paroles m’ont électrisé. L’odeur de sa chatte sur l’engin et les couilles de son jules a vaincu mes réticences… Je me suis retrouvé, pour la première fois de ma vie, en train de tailler une pipe ! C’était un vrai régal, je l’ai pompé longuement, je n’avais pas trop envie que ça s’arrête, d’autant que sa copine me caressait les couilles et m’effleurait le trou du cul. J’étais comblé !

Soudain, la miss m’a écarté les fesses pour inspecter ma pastille. « Mmm, tu as le cul bien frais. Je crois que je vais te mettre un petit coup de langue ! » J’ai senti qu’elle me lapait l’oignon, la sensation était extraordinaire, et je continuais à me délecter de la bite de son copain qui geignait et soupirait de plus en plus fort… J’ai sursauté quand j’ai senti un doigt s’insinuer dans mon fondement. Elle a lancé à son jules : « Hé, il est plutôt ouvert de ce côté-là, le bonhomme ! Je crois qu’il mériterait de se faire enculer ! » Alors ça, je ne l’avais pas prévu ! Sucer un mec, d’accord, mais me faire prendre comme ça, et sous les yeux de sa copine en plus, le jeu commençait à aller un peu loin ! « Qu’est-ce que tu suces bien, m’a glissé le garçon. Je vais perforer ton cul, tu vas voir, tu vas kiffer ! l’adore dépuceler les petits mecs comme toi. Ne t’inquiète pas, je l’ai déjà fait ! Je suis très doux. »
Souad est allée farfouiller dans leur sac de plage pour en sortir un préservatif qu’elle a déroulé sur le sexe de son chéri. Moi, je suis resté à quatre pattes, en me disant : « Après tout, allons-y on ne vit qu’une fois ! « Je me suis cambré et, le cul en l’air, j’ai attendu que sa tige force ma rondelle.

Derrière moi, Souad et son amoureux me crachaient sur l’oeillet à tour de rôle. Mon cul ruisselait de leurs salives mêlées… Des doigts s’enfonçaient dans mon anus, un, puis deux, puis trois. Pas facile de savoir combien de doigts vous fourrent le cul ! Mon sphincter se détendait peu à peu. Puis, j’ai senti la queue bien raide se pointer.

Le gland est passé, j’ai éprouvé une forte brûlure. Puis le mec s’est immobilisé. Il devait avoir l’habitude des petites rondelles rétives ! Sa copine m’encourageait : « Tu vas voir, dans quelques minutes, tu en redemanderas, tu en voudras encore plus… » J’ai poussé sur la queue, facilitant ainsi l’introduction. Le garçon a commencé à bouger doucement, puis de plus en plus vite… Les sensations sont devenues agréables, puis franchement jouissives quand il a trouvé son rythme dans mon fondement.

Souad se branlait à côté. « Oh putain, vous m’excitez, les mecs ! » Puis, s’adressant à moi : « J’ai envie que tu me lèches… C’est ta fête aujourd’hui, hein, petit voyeur ! » Je poussais mon cul en arrière, m’ouvrant au maximum, je sentais le gland de mon partenaire me frotter la prostate, et voilà qu’arrivait sous mon nez la chatte rasée et trempée de mouille de sa copine.

Elle avait raison, c’était ma fête ! J’ai essayé de laper tant que je pouvais, elle gémissait, puis au bout de quelques secondes, elle a presque crié : « Oh, que c’est bon de se faire lécher la moule par un enculé ! » Elle a eu un orgasme fulgurant et m’a giclé à la figure. Je me suis régalé de ses sécrétions… Derrière moi, son mec accélérait le mouvement. Il a crié : « Moi aussi, je vais jouir ! » Dans ma tête, je visualisais la capote en train de se remplir de sperme, et j’ai giclé moi aussi, dans un râle, sur le sable… Nous sommes allés nous baigner pour nous rafraîchir et reprendre nos esprits. Quand nous nous sommes quittés, je les ai remerciés de m’avoir si bien puni de mon voyeurisme !

Cette aventure m’a ouvert de nouveaux horizons. Aujourd’hui, j’ai envie de prendre du plaisir avec des hommes comme avec des femmes. Je ne sais pas si beaucoup de mecs sont comme moi, mais j’aimerais maintenant rencontrer des couples qui voudraient, comme dans mon histoire, partager et échanger des jeux sexuels avec un jeune homme très chaud et très ouvert… Et bien sûr avec préservatif ! Je pense un jour m’inscrire sur un site Internet pour ça. Je vous réécrirai à ce moment…

(Image à la une : Getty Images)

Si vous avez aimé cette histoire, vous aimerez aussi…

Le voyeur du camping
« Cet été, nous avons loué une caravane dans un camping. C’était un peu vieillot, mais assez confortable. Le point particulier, c’est qu’elle était équipée de stores enrouleurs qui m’ont donné une idée émoustillante… » Laurence.

Heureux voyeur
» J’ai trifouillé mes petits tétons tout doux. J’ai tâté ma petite motte épilée. Mon corps répondait au quart de tour. » Jade.

À retrouver sur notre plateforme VOD 


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru