Une voix mielleuse et cochonne

La rédaction 11 mai 2024

Grégoire, 29 ans, Pyrénées, fait la rencontre par hasard d’une conseillère dans les mêmes besoins que lui. Une folle envie de baiser.

Je vais vous raconter ma dernière aventure érotique qui m’est arrivée dans un endroit que je n’aurais pas soupçonné, le guichet de Pôle emploi. Oui, vous allez me dire que c’est l’endroit le moins sexy de la Terre et je suis d’accord avec vous. Et pourtant, c’est là-bas que j’ai fait la rencontre de Natacha, jeune conseillère de 25 ans qui m’a reçu car l’agence m’avait fait parvenir un courrier pour me notifier un trop-perçu non justifié… Voici mon histoire de sexe.

Un besoin de compagnie

J’étais dans tous mes états bien sûr, comme chaque personne qui reçoit une notification de trop-perçu injustifié. J’étais vraiment furax de perdre encore du temps à me déplacer en agence et j’étais prêt à le faire savoir. Jusqu’à ce que je passe la porte du bureau de Natacha, ravissante blonde au minois délicat et aux yeux noisette. J’ai été un peu pris de court par cette apparition et je me suis adouci à la vue de la belle employée. Ils avaient dû la nommer spécialement pour ce genre de cas, car sa présentation vous faisait passer l’envie de vous donner en spectacle ou d’adopter un ton agressif. « Que puis-je pour vous Mr Dumas ? » Elle avait une voix mielleuse.

Je me suis lancé dans mes explications pour contester la notification de trop-perçu, qu’elle a écoutées calmement. Tout en m’écoutant, elle me fixait avec ses jolis yeux en tournant une boucle de cheveux entre ses doigts, comme si je lui faisais un certain effet. Cela m’a déconcerté. Elle a quand même retrouvé son professionnalisme en refaisant les calculs avec moi. « Vous avez raison, il y a une erreur. » Nous avons repris longuement mon dossier, mais sa présence était si agréable que je n’ai pas vu le temps passer. Si bien qu’en ouvrant la porte de son bureau, nous avons réalisé que l’agence était fermée et que tout le monde était parti ! Nous étions gênés, mais en avons souri tous les deux. On aurait dit une blague ou une caméra cachée… Natacha m’a emmené dans la cuisine des employés et a déniché une bouteille de vin planquée dans un placard qu’elle m’a proposé d’ouvrir. Elle aussi avait besoin d’être écoutée. « Puisqu’on est là tous les deux comme des idiots, je peux vous raconter un peu ce qu’on vit ici, les gens furieux, la misère, l’agressivité, les gens qui sont désespérés et qui donc vous intimident et vous gueulent dessus, c’est très pesant… » J’ai posé ma main sur la sienne. Nous avons sifflé la bouteille de vin en nous racontant nos vies, profitant de cette occasion rare de se retrouver coincés avec un inconnu pour se confier l’un à l’autre, s’épancher sur nos états d’âme. Quand la dernière goutte fut bue, Natacha m’a avoué qu’elle avait les clés de l’agence et qu’elle pouvait nous sortir de là, qu’elle avait juste envie de compagnie. Il se trouve que moi aussi, car je suis assez seul dans ma vie.

La rencontre d’une perle

Sur le pas de la porte de l’agence, ne voulant pas être séparé d’elle, j’ai osé un baiser déposé sur ses lèvres à la va-vite. Elle me l’a rendu au centuple, me roulant une grosse pelle comme si elle n’attendait que ça. Nous nous sommes palpés, reniflés, embrassés très fort, nous laissant gagner par le vertige du désir. Elle m’a invité à la suivre chez elle. Là, elle s’est mise entièrement nue, révélant la perfection de ses formes et un string noir seyant qui lui faisait un cul magnifique.

Elle m’a déboutonné et ôté langoureusement mon pantalon pour dégager ma bite que j’avais déjà bien dure. Sa langue est passée sur mon gland qu’elle a titillé de sa pointe comme un petit serpent. Le sang pulsait dans ma queue, et je rêvais du moment, qu’elle repoussait, où elle me prendrait tout entier dans sa bouche. J’étais allongé, elle agenouillée devant moi entre mes genoux ou de côté pour me montrer sa belle croupe pendant qu’elle me suçait. Elle m’a incité à la prendre en photo, car cela l’excitait. Puis elle a grimpé sur ma bite et m’a chevauché en me montrant son cul, que je pouvais caresser et fesser en même temps qu’elle me prenait en elle. Je n’avais même pas à bouger, le déhanchement de ses reins suffisait à créer la cadence et l’emboîtement de nos sexes. Elle m’a quand même demandé de la prendre en levrette pour plus de sensations et j’ai tâché de lui faire l’amour avec passion. La conseillère avait abandonné toute courtoisie associée aux démarches administratives. Nous n’étions plus que des corps désirants. Après cet interlude inattendu, je me suis mis à presque espérer une nouvelle notification de trop-perçu.

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