Le string fantôme de l’Opéra

La rédaction 10 juin 2021

En soirée distinguée à l’Opéra, Joël et sa femme profite su spectacle mais surtout des lumières éteintes pour faire des cochonneries dans la loge.

Nous avions prévu d’aller à l’opéra, et j’avais réservé une loge à l’orchestre. J’avais dit à Michèle que je passerais la prendre à 20 heures. Elle portait une jolie robe décolletée qui s’arrêtait à mi-cuisses et se boutonnait devant, comme j’aime, et une veste en fourrure. En voiture, son parfum m’enivrait. J’ai pris sa main pour la poser sur ma cuisse. Avant de sortir du véhicule, nous nous sommes embrassés langoureusement en promenant nos mains sur nos corps. « Arrête, m’a-t-elle dit, nous allons être en retard ! » Voici notre histoire porno. 

La placeuse nous a conduits jusqu’à la loge que je connaissais. En entrant, on s’est trouvés dans l’arrière-loge qui comporte des portemanteaux et deux sièges. Deux rideaux coulissants la séparent de la loge proprement dite où se trouvent deux rangées de deux sièges. « On prend les deux de derrière, a demandé Michèle, c’est plus intime. »

Les lumières de la salle se sont éteintes et le spectacle a commencé. On jouait Carmen. Nous étions dans la pénombre et j’ai posé ma main sur sa cuisse en effleurant sa peau délicate avec mes doigts, juste au niveau du dernier bouton. Elle m’a regardé en souriant. Au bout d’un moment, j’ai défait ce bouton sans qu’elle semble s’en apercevoir, tout en continuant ma caresse et en remontant doucement. Elle était captivée par le spectacle, elle ne bougeait pas. Puis, j’ai fait sauter délicatement le bouton suivant. La robe s’est ouverte un peu plus. J’en ai écarté les pans avec des gestes doux. J’apercevais son entrejambe dans l’obscurité, jusqu’à deviner sa petite culotte. Mes doigts sont remontés. J’ai frôlé son string noir transparent. Michèle a sursauté et posé une main sur la mienne pour arrêter la progression inexorable… Ce qui ne m’a pas empêché de continuer à la caresser, surtout au niveau de son pubis soyeux.

Sur la scène, Carmen faisait du charme à Don José en lui dévoilant aussi sa petite culotte. J’ai réussi à glisser une main dans le string de Michèle et j’ai placé mon majeur le long de sa fente en appuyant et relâchant doucement. Elle tenait toujours ma main. Elle m’a regardé et m’a demandé d’arrêter, ce n’était « pas le moment. » Moi, j’étais émoustillé par la situation, personne ne nous voyait, l’obscurité était presque totale et mon doigt commençait à sentir la moiteur de sa chair. Je voulais lui enlever son string… Ce serait plus confortable et moins voyant. « Non Joël, ne fais pas ça, pas ici s’il te plaît ! II y a du monde à côté ! » Mais je sentais que mes gestes avaient un certain effet. « Bon, bon, mais alors retire-le toi-même… »

Elle hésitait, regardait à gauche et à droite puis, subrepticement, dans un lent mouvement, en se soulevant d’une fesse sur l’autre, elle a fait glisser lentement le petit morceau de tissu vers ses genoux, ses chevilles. J’ai humidifié mon doigt et je l’ai replacé entre ses lèvres. Je faisais des mouvements de bas en haut. Je pouvais me glisser plus facilement dans son intimité, tout en écartant ses poils de chaque côté. En me penchant un peu en avant, je voyais bien son sexe. Elle commençait aussi à réagir. Je sentais son corps qui se contractait. J’ai franchement écarté ses lèvres et aperçu son intérieur qui se dessinait dans la pénombre.

Nos mouvements étaient lents afin de ne pas nous faire remarquer. J’ai planté mon doigt dans ses chairs, et elle s’est cambrée sous la pénétration. Mon va-et-vient a fait onduler son bassin, et je lisais sur son visage les efforts qu’elle faisait pour se maîtriser. La vague montait dans son corps, elle a mis une main sur sa poitrine, sa bouche remuait et ses yeux brillants me regardaient, implorant l’arrêt… Mais c’était trop tard ! Son bassin s’est tendu vers moi pour accentuer la pénétration au maximum, la jouissance arrivait, incontrôlable. Elle a étouffé ses gémissements dans sa main. J’ai senti une douce chaleur se répandre sur mes doigts. Elle s’est détendue, tout en restant digne.

Moi en revanche, j’avais une furieuse envie d’être gâté ! Je lui ai fait signe de venir derrière. J’ai décroché sa veste de fourrure pour la poser par terre tandis que j’enlevais mon pantalon et m’asseyais sur une chaise. Elle s’est mise à genoux devant moi et a entamé une délicieuse fellation sur mon membre bien raide. La douceur de sa bouche, le tournoiement de sa langue sur mon gland m’ôtait toutes mes forces. Je m’abandonnais à ses caresses, je distinguais à peine les rideaux et, vaguement, au loin, l’opéra… La musique me transportait elle aussi, ma trompettiste personnelle me jouait un air irrésistible. Je sentais les ardeurs du toréador sur la scène pénétrer en moi. Je m’accrochais à ses cheveux et je pressais sa tête contre moi, lui imposant de rapides allers-retours. Sa chevelure qui frottait mes cuisses accentuait la tension.

Soudain, j’ai senti un doigt titiller mon anus. Je n’y croyais pas. Elle a levé le regard vers moi d’un air de dire : « Toi aussi, tu vas devoir te maîtriser. » Puis, elle a mouillé deux doigts avec sa salive et a commencé à me pénétrer, tout en poursuivant son ballet endiablé sur mon sexe. C’était irrésistible, ma respiration devenait courte, je me tortillais dans tous les sens. Enfin, j’ai explosé dans sa bouche en plusieurs spasmes. Aussitôt, elle s’est relevée et s’est empalée sur moi à califourchon pour m’embrasser et partager ma liqueur. Nous avons repris nos esprits, emboîtés l’un dans l’autre, puis nous avons quitté le théâtre. Nous nous sommes aperçus dans la voiture que le string de ma belle était resté par terre, dans la loge…

(Photo à la une : Getty Images)

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