Mieux vaut tard…

La rédaction 10 juillet 2021

Une fois arrivée à la retraite, j’ai capté que je n’avais jamais vraiment vécu une vie sexuelle “à moi”, détachée des envies des mecs. J’avais la tête pleine de fantasmes, une imagination débridée. Mais je devais bien m’avouer que sexuellement, j’étais passée à côté de ma vie. Pourtant, je n’avais pas envie d’en faire le deuil. Jamais trop tard pour me réveiller, je me suis dit. Je voulais croquer la vie à pleines dents et laisser cette frustration derrière moi. Surtout que je n’avais pas à rougir de mes désirs, qui sont tout à fait naturels. Je me suis dit qu’en plus, ils étaient tout à fait accessibles car j’étais, à 64 ans, toujours bonnasse. J’ai une coupe de cheveux courte, des seins qui se tiennent mieux que bien, je garde la ligne et j’ai un joli bronzage que m’envient mes copines. Je rêvais d’un mec vigoureux à mon service qui me désirerait et qui aurait envie de moi tout le temps. Ça m’excitait d’y penser, mais je me disais, ma pauvre, c’est foutu, à qui tu vas demander ça ? Je m’appelle Aida et je vais vous raconter mon histoire porno.

Un goût pour l’aventure

J’ai fini par me mettre à explorer les choses susceptibles de me faire mouiller. Je m’étais tellement oubliée dans ma vie… J’ai donc décidé de me rendre dans un club libertin d’une ville voisine Je n’aurais jamais pensé être capable d’y aller seule, mais je me suis dit que je n’avais rien à perdre. Et mine de rien, j’avais toujours eu un goût pour l’aventure… Je savais que si je voulais baiser dans un cadre relativement sécure où il n’y aurait pas d’obligations d’engagement, c’était l’endroit adéquat.

C’est un petit club en rase-campagne bien aménagé et très joli que j’ai découvert un samedi soir. J’ai été accueillie comme une reine, comme le sont généralement les femmes seules. J’ai avoué que c’était ma première fois et on m’a montré les lieux. Il y avait des sculptures de nanas nues, de grands rideaux de velours qui abritaient des sofas confortables, une scène avec une barre de pole dance. Les hommes m’ont regardée en cachant mal leur curiosité. J’avais une longue robe noire très décolletée qui me tombaient au creux des nichons. Franchement, j’étais tellement en manque que je me serais tapé n’importe qui !

J’ai siroté une coupe au bar en me marrant avec le serveur torse nu qui était trop chou. Je me suis retournée dos au comptoir pour observer la foule de personnes qui se draguaient, dansaient, fricotaient. Je me sentais tellement bien ici, sans personne pour surveiller mes mouvements ou mes appétits. Il avait fallu que j’attende une vie entière avant de m’autoriser ça… Je me sentais hyper puissante. Je ne connaissais personne, j’étais là pour mon propre épanouissement et pas sur ordre d’un homme. Et il y en avait plein qui rôdaient devant moi qui étaient prêts à faire tout ce que je voulais. Sentiment de plénitude de fou, l’impression que je n’avais qu’à tendre la main pour me servir parmi eux… Très fort.

J’étais mise à l’aise

Deux hommes en ont profité pour m’aborder. C’était un homme d’affaires et son employé et ils partageaient visiblement le goût de la gaudriole… L’un, Pierre, avait la soixantaine comme moi et le jeune salarié n’avait pas plus de quarante ans. Ils m’ont offert des verres. “C’est la première fois pour vous ?” Ouaip, tu ne pouvais pas dire mieux, mon coco… Le sexa était assez canon, brun, yeux bleus, grand, et le quadra jeune blond, plus timide, adorable.

Je ne m’étais jamais retrouvée dans une telle position et j’adorais découvrir, à 64 ans vous dis-je, mon pouvoir de séduction. J’étais complètement passée à côté de mon sex-appeal et enfin je me rendais compte des joies que ça pouvait m’apporter. “C’est la première fois et j’ai besoin d’être initiée, mon grand.L’employé blond m’a fait un baise main. Un baise main ! J’avais envie qu’il me baise autre chose… Après un peu de causette, ils m’ont emmenée dans un coin câlins fait de banquettes recouvertes de tissus gris tout doux avec des coussins partout, derrière des rideaux. Un coin assez discret pour une première. Je me suis étendue comme une princesse romaine prête à se faire servir, mon champagne à la main. Ça avait du bon !

Mon baptême

L’employé blond a enlevé le verre de ma main et m’en a versé dans le décolleté, puis il a léché tendrement la petite rivière d’alcool qui coulait là, entre mes miches… Waouh, le grand frisson que je me suis tapé ! J’étais fin prête à me faire entreprendre… Et prendre. Les types qui m’avaient hameçonnée étaient juste ce qu’il me fallait… Les deux mecs ont décidé d’enlever ma robe et je me suis retrouvée en petit ensemble de dentelle et porte-jarretelle au milieu des coussins. Je me sens super chaude dans ce genre de fringues. Deux mecs rien que pour moi, j’étais au septième ciel !

Les mains du quadra sur ma gauche se baladaient sur les pressions de mon accoutrement au niveau des seins. Ma poitrine a surgi et les deux mecs ont pris un sein chacun entre leurs lèvres. J’ai direct senti la sève du plaisir couler dans mon corps. Le patron s’est glissé entre mes pattes pour me faire un cunni de l’au-delà… On ne m’avait jamais fait ça comme ça… Pourquoi j’avais attendu tant de temps avant de franchir cette porte du paradis ? J’ai joui direct comme si ma chatte avait été au bord de l’orgasme pendant des années.

Le mignon blond a massé mes tétons comme un dieu… D’autres mecs avaient glissé leur tronche entre les plis des rideaux pour me mater en train de prendre mon pied. Je m’en moquais, bien et au contraire, j’aimais trop être au centre des regards de ces initiés, moi qui avais été toute ma vie dans l’ombre de mon ex-mari. Enfin, j’étais sur un piédestal. “T’es tellement belle et bonne…” Mes amants s’émerveillaient de ma détente, de mon côté relax et de ma propension à me laisser emmener vers des contrées inconnues. J’étais tellement en extase de m’être fait polir la minette que je me suis mise à pattes pour les sucer l’un après l’autre. Je n’avais pas vu de queues aussi dures depuis un bail ! A genoux près de moi, ils s’enfonçaient gaiement dans ma bouche. Puis, une bite dans chaque main, je les ai secouées ensemble dans un même mouvement. Ils ont juté en même temps sur mon décolleté déboutonné. J’étais fourbue, pleine de leurs fluides, et pleine d’un entrain nouveau… J’ai levé les yeux et j’ai vu les voyeurs qui nous mataient, jouir en se branlant, en me regardant et en me souriant. “Très joli coup ! Bienvenue ! Vous êtes superbe !” Je venais de faire mon entrée dans ce monde si étonnant qu’est le libertinage.

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