Administration … de plaisir

La rédaction 7 janvier 2025

Je suis fonctionnaire, vous allez me dire « et alors ? », et je vous répondrais que je suis fonctionnaire du ministère de la Culture et là encore, vous n’en avez cure. Mais mon métier est très particulier, puisque l’état me rémunère (pas assez à mon goût) pour être à poil toute la journée. Mais quel est donc ce métier mystérieux !? Vous donnez votre langue au chat ? Je suis modèle nue aux beaux-arts ! Je passe de longues heures, immobile telle une statue, nue comme un ver à attendre sagement qu’on me … croque ! Voici mon histoire de sexe amateur.

Fellation et pénétration

Nous avons droit à des pauses, pour nous dégourdir les jambes, dans la salle de repos, j’y vais en peignoir, à l’instar de mes collègues de travail homme et femme, et quand il y en a un qui me plaît … tout peut arriver… Charles en fait partie et à voir son corps, on comprend le succès qu’il a comme modèle. Lorsqu’on se rencontre, ce n’est pas compliqué, on baise ! Souvent, il nous prend en photo, il nous trouve beaux quand on s’accouple et je ne peux que lui donner raison.

J’aime caresser sa silhouette anguleuse, passer mes doigts sur ses abdominaux de folie, venir perdre mes ongles dans la jungle de ses poils pubiens et découvrir au milieu de ce bosquet sa belle queue déjà à moitié bandée. Je m’installe à ses pieds et il me la donne à sucer, j’adore le faire durcir dans ma bouche, sentir la puissance qui est la mienne à l’instant précis où, juste avec les mouvements de ma langue et la pression douce de mes lèvres, je gonfle ce monolithe de sang et de désir. Je le fixe dans les yeux, il immortalise la scène en me disant que je suis belle et que je le pompe bien, que je suis sa gentille suceuse d’amour et qu’il va me posséder puis m’enculer avant de me livrer son foutre, gelée royale, généralement sucrée.

Je me penche en avant, lui offrant mon cul et l’accès à tous mes orifices, nous baisons sans capotes parce que nous nous connaissons et réalisons des tests régulièrement, mais cela impose tout de même quelques règles d’hygiène, il me prend donc toujours d’abord par devant, la sodomie venant à la fin de nos petites danses intimes. J’aime lorsqu’il me possède ainsi debout, mon corps arqué pour plus de sensations. Parfois il me fait un cunnilingus au préalable, mais j’adore aussi cet empressement sans préliminaire, il me la fout directement dans la chatte. Je mouille beaucoup de toute façon, donc mon vagin est lubrifié idéalement pour l’accueillir profondément en moi sans aucune gêne ni douleur.

Un amant formidable

Sa queue est longue et assez épaisse, il m’ouvre bien, mes petites lèvres épousent les contours de sa hampe, et, de là où j’ai la tête, je peux voir la pénétration en direct, ça m’excite comme quand je mate un porno, j’ai presque l’impression que la moule que je regarde n’est pas la mienne. Je peux aussi tendre la main et caresser les belles couilles qui ballottent contre mon bourgeon au rythme des coups de reins que je reçois. Je jouis généralement une première fois ainsi. Charles sait très bien sentir le moment de vacillement qui précède mon orgasme, alors il accélère et me baise de plus en plus fort jusqu’à me glisser son pouce dans le cul, j’explose alors d’une force incroyable.

Souvent, après cette première manche, c’est moi qui prends les opérations en charge, lui allongé sur nos peignoirs, bite bien raide et érigée vers le ciel. Je m’accroupis au-dessus de ce Corcovado et m’empale avec une lenteur calculée dessus. J’y vais toujours par étapes, histoire de faire durer le plaisir. Je me fourre le gland dans le vagin, puis l’en ressort, je redescends pour absorber quelques centimètres de plus après la couronne et me relève, ainsi de suite jusqu’à ce qu’il soit calé au fond de moi jusqu’à la garde. Souvent je me tripote en même temps, j’adore l’exciter en me touchant devant lui. Parfois il tient la base de sa queue et la secoue très fort, les vibrations se propagent en moi et je fonds de bonheur.

Ma cyprine coule en flot continu tant je jouis fort. Et quand je me retire et me retourne, je vois le sourire carnassier de mon amant qui comprend que le moment est venu. Je m’accroupis donc de nouveau, mais cette fois, c’est Charles qui guide son braquemart et il ne rate pas sa cible, la fusée se fige au centre de mon cul, j’écarte bien les fesses, je détends mon sphincter et je m’encule toute seule, d’un coup ! Je sens que ça dilate mon anneau. Je sais que Charles est ravi d’être ainsi au chaud dans le cocon serré de mon trou de balle. Il me fait jouir du cul, mes orgasmes par la petite porte sont encore plus puissants que les autres et il se termine en général sur mes seins. J’aime boire son foutre, mais il trouve que son sperme sur mes nichons est un acte artistique !

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