Agence coquine
30 janvier 2023Je m’appelle Abdul, j’ai 22 ans et voici mon histoire de sexe. Je me décris comme étant un beau black bien gaulé, avec une queue à faire saliver vos copines. La bête m’a valu de décrocher un contrat en agence de mannequinat le mois dernier. Comme quoi, ce n’est pas toujours bon de la garder dans son caleçon.
La chatte juteuse de l’agence
Depuis que je suis ado, on me conseille de passer des castings. C’est en m’installant à Paris il y a quelques mois que je me suis lancé, en me disant que ça aiderait à payer le loyer. J’ai demandé à un pote de fac qui fait de la photo de prendre une dizaine de clichés avantageux, je les ai fait imprimer et je me suis pointé dans une agence du premier arrondissement. Sur place, j’ai capté le délire. Rien que le hall était dingue, avec du marbre et des dorures partout. Deux jolies gazelles m’ont accueilli derrière le comptoir. Je n’avais pas de rendez-vous avec l’agence, mais une des deux a lâché que la patronne avait prévu des entretiens 30 minutes plus tard. Grâce à mon charme légendaire, elles ont fini par me laisser monter.
Dans le couloir de l’agence, il y avait des rangées de chaises et des mecs tout maigres assis dessus. Plus de place pour moi, donc je suis resté debout en faisant l’indifférent pour ne pas me faire griller. Mais quand la boss s’est ramenée devant nous, j’ai senti mes bourses se ratatiner. Clairement, la meuf était une ex-mannequin : super grande, blonde avec un brushing style Hollywood et une tête de Ruskov. Elle m’a regardé de haut en bas et a balancé, avec un accent qui a confirmé ma théorie : « Toi, tu viens dans mon bureau. »
Son « bureau », ressemblait à une salle de défilé, avec un podium et deux assistantes habillées en noir. Elles m’ont demandé de me changer derrière un paravent. Et quand je dis « changer », je veux dire enlever mes fringues et passer un boxer blanc super serré, qui faisait ressortir ma grosse poutre. Faut dire que je n’étais pas galbé comme les maigrichons de l’entrée !
Quand je suis sorti, les assistantes avaient disparu comme par magie. Il ne restait que la boss, installée dans un fauteuil au bout du podium. Elle souriait. J’ai tenté le tout pour le tout : assurance, pectoraux et sourire fatal, je suis monté sur l’estrade pour défiler. Est-ce que c’est ça qui lui a plu ? Ou la poutre dans le boxer a suffi ? En tout cas, la Ruskov a claqué des doigts pour me dire d’arrêter de marcher, puis s’est levée de son fauteuil. Quand elle s’est avancée et a passé un doigt dans l’élastique du sous-vêtement, j’ai cru qu’une des assistantes allait revenir dans la pièce en hurlant « caméra cachée ! »
Mais pas du tout. Avec un air gourmand sur les lèvres, la boss a tourné autour de moi, son doigt toujours coincé dans le boxer. J’avais une boule dans la gorge tellement j’étais mal : plus l’index s’enfonçait à l’intérieur, plus je sentais que je bandais !
Si moi j’étais gêné, la blonde, elle, était dans son élément. Elle m’a regardé dans les yeux et d’un geste précis, elle a baissé mon caleçon. Ma bite est sortie d’un bond comme pour montrer qu’elle avait faim. Ça tombait bien : au menu, il y avait une petite chatte juteuse…
Défoncée sur le bureau
Sans un mot, la Russe m’a pris par la main et m’a positionné devant son bureau. Elle a fermé l’ordi portable et l’a posé délicatement sur une chaise, puis a pris le temps d’enlever son tailleur pour l’accrocher sur un cintre. Elle n’a gardé que ses chaussures, des talons hauts ultra-sexy. Planté comme un ail, elle s’est assise sur le bureau. Elle était incroyablement belle… Lorsqu’elle a écarté grand les jambes, j’ai pu admirer sa chatte parfaite, totalement épilée, avec des lèvres roses et un clito percé d’un petit anneau en or.
Elle a de nouveau claqué des doigts et je me suis dit qu’elle abusait à mort. Non mais quoi, elle se prenait pour une princesse et moi, j’étais le larbin ? En même temps, c’était la chef, et sa chatte était beaucoup trop belle pour que je joue les caractériels… Je me suis avancé jusqu’à elle en prenant mon air ténébreux. Là, elle a passé la main sur mes fesses et m’a fait venir tout contre elle.
Le bout de ma grosse queue a touché l’anneau d’or et c’est comme si sa chatte m’avait appelé en elle. Tout doucement, je me suis senti glisser et sans même comprendre, je l’ai enfilée. Dedans, c’était doux comme du satin… J’ai commencé à onduler et la Ruskov a soupiré de plaisir.
Elle s’est penchée en arrière sur le bureau tout en glissant sa main entre nous, histoire de titiller son clito percé. La vision de sa main sur l’anneau m’a fait décoller et je l’ai bourrée un peu plus fort. La blonde a aimé : les soupirs sont devenus des gémissements.
J’avais peur que les assistantes reviennent, alors j’ai pressé le rythme. Les jambes de la belle se sont enroulées autour de moi et dans le grand miroir suspendu au mur, j’ai vu notre reflet. C’était vraiment beau, le contraste de sa peau claire contre ma peau noire. Et puis elle semblait si fine contre mon corps musclé…
J’ai baissé les yeux. Ma bite avait l’air encore plus grosse que d’habitude, enfoncée dans son minou étroit. Elle a planté ses ongles dans mes fesses et je me suis mis à la défoncer gravement. Le bureau prenait super cher, mais je m’en foutais, car j’avais juste envie de lui faire du bien et c’est clairement ça qu’elle demandait. Ses petits seins tout durs bougeaient maintenant au rythme du pilonnage… La blonde s’est mise à se branler encore plus fort et quand elle a été prête à jouir, elle s’est plaquée contre mon torse. Elle a été obligée de me mordre pour ne pas crier.
Elle a ensuite guidé mon engin hors d’elle qui est ressorti avec un bruit mou… J’ai pris mon sexe tout collant en main et la boss m’a incité de sa main droite, alors je me suis branlé en regardant la scène dans le miroir. Elle, appuyée sur le bureau, la tête penchée en avant et les cheveux blonds qui cachaient son beau visage. Moi, tout contre son cul, en train de me séguer. Je me suis reculé légèrement et j’ai pu voir partir le jet puissant, qui s’est étalé sur ses reins puis a coulé lentement. J’ai osé écarter un peu ses fesses pour regarder perler le liquide dans sa raie. C’était dément.
Je n’ai croisé personne en sortant du bureau. C’est comme si j’avais rêvé toute l’histoire. Les filles en bas m’ont simplement dit qu’elles avaient eu comme consigne de prendre mon nom et mes coordonnées. Une semaine après, dans ma boîte aux lettres, je recevais un contrat d’un an dans l’agence de mannequinat.