Été pluvieux ? Été au pieu !

La rédaction 30 septembre 2024

Élisa, 28 ans passe ses vacances en Normandie avec son compagnon. Face à la météo maussade ils restent sous la couette et découvrent de nouveaux plaisirs.

Aujourd’hui, je vais partager avec une histoire de sexe amateur. C’était il y a deux ans, avec mon amour nous n’avions pas d’argent, aussi la maison familiale en Normandie nous a accueillis pendant trois semaines. Pardon pour nos amis normands, mais, la réputation du climat a quand même un fond de vérité. Tandis que nous regardions, jaloux, les trente degrés de la Côte d’Azur, nous, nous étions sous un crachin tenace et le mercure ne dépassait que rarement les vingt ! Météo maussade, porte-monnaie en dégringolade, nous nous sommes rabattus un temps sur la console vidéo et puis j’ai très vite eu envie de m’amuser avec un autre joystick.

Vacances déguisée au pieu

J’ai eu l’idée du jeu de rôle quelques jours après notre arrivée, lingerie, vêtements de soubrette, coiffures changeantes, je voulais en mettre plein les yeux à Fab. Cela s’est avéré être un plan des plus torrides et qui a fonctionné à merveille. J’ai débuté par un striptease impromptu lors d’une balade en forêt, mon homme a été super surpris de me voir me déshabiller au fur et à mesure de la promenade que j’ai finie entièrement nue, lui adossé à un chêne pendant que je lui taillais une pipe dont j’ai le secret. J’ai avalé tout son sperme et suis rentrée encore à moitié à poil. C’est Fab, en revanche, qui a tenu à nous prendre en photos et j’en suis la plus heureuse. Les visualiser sur nos téléphones me fait mouiller ma petite culotte instantanément. J’ai posé pour lui, me caressant les seins, la chatte, les fesses, jouant du regard, un ongle entre les dents, tout cela a eu pour effet, à chaque fois, de l’exciter comme un tigre !

Cela commençait dès le matin, soit je le réveillais avec une fellation sous la couette, soit c’est lui qui me sortait de ma torpeur, secouée que j’étais par ses mouvements de branle sur sa longue tige bien droite, un ou plusieurs doigts plantés dans mon con, parfois même dans mon petit trou. Nous avons baisé dans toute la maison, sous la douche, à même le sol devant la cheminée que nous avions été obligés d’allumer pour réchauffer la maison et nos corps…, sur la machine à laver, la table de la cuisine. Je n’étais que libido, avide de sa queue, de son sperme sucré et d’orgasmes multiples. Je l’aguichais sans relâche, lui exhibant ma chatte luisante de cyprine, mes seins aux tétons gonflés, mon petit trou qui réclamait progressivement ses attentions et sa langue.

Initiation sodomie

C’est durant cet été d’ailleurs que j’ai franchi le cap de la sodomie. Nous étions tellement chauds tous les deux que Fab a bien compris que je me laissais de plus en plus facilement tripoter le derrière. Il y est allé en douceur, me baisant en cuillère ou sur le ventre pour me faire jouir plusieurs fois, me léchant la rondelle et y introduisant ses longues phalanges habiles puis un jouet que j’avais eu la bonne idée de glisser dans ma valise. J’étais vraiment décidé à tenter l’expérience lorsqu’il m’a prise en double, sa queue dans mon vagin trempé et le sextoy dans le cul. Les vibrations de ce dernier se communiquaient à sa hampe, cela résonnait jusque dans mon clitoris, j’ai eu les meilleurs orgasmes de ma vie en sentant bien que l’euphorie due à cette transgression y était pour quelque chose.

Alors un soir, il m’a enduite de gel, mon anneau s’est agrandi lentement sous ses caresses et il a écarté ma culotte tandis que j’étais en levrette, les fesses bien relevées, les reins cambrés. Il m’a décrit ce qu’il voyait et cela m’a excitée encore un peu plus. Fab a capturé quelques clichés de ma chatte dégoulinante et de mon œillet ouvert puis d’autres de son gland disparaissant avec aisance dans mon fondement. Je me chatouillais le bourgeon en même temps qu’il m’enculait centimètre par centimètre, jusqu’à ce que je sente le gros paquet de ses bourses venir s’écraser contre mon sexe mielleux. Un peu de patience encore pour que mon orifice interdit accepte le volume de sa hampe et je lui ai donné le feu vert. Il m’a assaillie comme s’il me possédait par devant, c’était trop bon et je suis partie dans un orgasme qui m’a laissée totalement K.O.

Nos petits jeux ont continué ainsi jusqu’à la fin de nos congés, nous nous sommes filmés en train de faire l’amour, mettant en scène notre propre court métrage porno. Fab réalisait la prouesse de me baiser et de tourner en même temps, le plus beau moment, sans conteste, a été celui où il a éjaculé en faciale, son sperme chaud a giclé puissamment et j’ai tout reçu sur le visage. J’adore quand il me jute dessus, lorsque j’ai vu la photo qu’il avait réussi à faire, je n’en suis pas revenue. Moralité, vacances pluvieuses ont rimé avec vacances aussi heureuses que vicieuses ! Vive les intempéries !

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