Affaire de famille
19 juillet 2021Je m’appelle Carine, j’ai 22 ans et je m’adresse à mon Ludo chéri, voici mon histoire porno. Je ne t’ai pas offert la bonne baise dont tu rêvais. Je t’offre un petit récit des faits, pour bien te les remettre en tête. Je suis sûre que tu te branles déjà en me lisant !
Par le petit trou
Ludo, mon cousin, tu es vraiment un gros coquin. Si je flashe sur toi depuis que nous sommes petits, je me suis toujours bien comportée. Alors que toi, profitant que tu sois plus âgé de 2 ans, tu m’as entraînée dans bien de tes délires. Comme cette fois où, à 16 ans, tu m’as dit que les cousins-cousines devaient s’entraîner à s’embrasser avec la langue. Ou encore, à 17 ans, quand tu m’as demandée une photo de mes seins « pour une amie qui avait des complexes ». Bien sûr, je savais que tout ça, n’était pas bien, mais comment te refuser ces plaisirs, à toi, mon préféré ? Avec tes yeux noirs pétillants, tu as toujours su me faire craquer. Enfin, lors de ta dernière incartade, tu as quand même poussé le bouchon très loin…
Nous étions en plein mois de juillet, la période où toute la famille se retrouve dans notre belle maison de campagne du Périgord. Il faisait très chaud, j’avais donc piqué une tête dans la piscine. Il me fallait maintenant me faire un bon shampooing, direction : la salle de bain. Tu sais, celle qui est mitoyenne de ta chambre… Et dont le mur a été percé d’un trou par tes soins, afin de pouvoir me mater ! Jamais je ne m’en serais rendue compte, si je n’avais pas fermé les persiennes de la pièce pour me protéger du soleil. Dans la pénombre, j’ai juste vu ce trou de lumière et ton ombre qui passait devant, petit salaud ! Tu étais en train de me regarder, la chatoune à l’air. Évidemment, j’ai fait irruption dans ta chambre, furieuse. Mais ma colère a fondu en te voyant.
Furieuse puis jouisseuse
Tu avais l’air si penaud, avec ta petite moue de gamin. Par contre, dans ta main, j’ai repéré direct une belle bite d’homme, en bandaison extrême, qui plus est. De quoi calmer tout à fait ma colère… Je me suis avancée vers toi. Plein d’espoir, tu as tendu la main vers mes seins. « Pas touche ! », t’ai-je dit, bien décidée à te punir pour ton voyeurisme. « Qui regardes-tu d’autre, cochon ? », ai-je continué. « Ma mère ? La tienne ? Ou peut-être ta sœur, qui a un si beau cul… » « Non, arrête, m’as-tu répondu. Je ne regarde que toi, la plus belle ! ». Vil flatteur ! Mais tu m’avais convaincue. Je t’avais assez titillé, après tout, et il était temps de te donner de belles choses à voir…
Je me suis allongée sur ton lit, qui sentait si bon ton parfum et ta sueur mélangées. Là, je me suis exhibée dans tous les sens. Le cul, la chatte, fermés, ouverts… Je me suis bien sûr tripotée en même temps, la situation étant également très excitante pour moi. Au début, tu es resté là, bouche bée, pendant que je tournicotais sous ton nez. Hum…, comme j’ai aimé voir ta queue très dure tendue vers moi, sans avoir le droit d’entrer là où elle le souhaitait. Et puis, au bout d’un moment, c’est devenu cruel. Tes couilles devaient te faire si mal ! Je t’ai regardé en souriant et j’ai fait : « Viens près de moi, si tu veux. Je t’autorise à te branler. »
Pas besoin de te le dire deux fois ! Tu as sauté sur le lit et nous nous sommes mis face à face, jambes imbriquées, pour nous caresser. Attention, sans enfreindre la loi : mes mains sur mon corps, les tiennes, sur le tien. Mais nous étions tellement en symbiose, le jeu de regards était si parfait, que c’était comme si nous nous faisions mutuellement du bien. Dehors, on entendait le reste de la famille qui jouait dans la piscine. S’ils savaient ! L’interdit total, la chaleur, nos corps surexcités… Nous avons fini par jouir en nous regardant dans les yeux. J’ai regretté que ton sperme jaillisse en direction de ton ventre, et pas de mon sexe, mais ça n’a pas terni mon orgasme. Maintenant que je t’écris en repensant à la scène, me voilà toute chose…
Je pose la plume pour aller me soulager, en pensant à ta queue bien dressée.
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