Partouze party

La rédaction 10 octobre 2024

Suzanne, 23 ans fait des études en sexologie et prépare avec des amis une étude sur le sexe à plusieurs. inspirés par leur lecture, l’orgie commence.

Cette histoire de sexe amateur s’est passée alors que je poursuivais mon doctorat de sexologie. Avec d’autres étudiants, nous avions décidé de mener une recherche sur la question du sexe à plusieurs, avec plus de deux partenaires. Trois, quatre… quinze ! Nous avions mené des entretiens à ce sujet auprès de volontaires de tous âges, que nous avons interrogés sur leurs parties fines et autres partouzes. Notre groupe de travail se composait de ma copine Luce, trois autres étudiants, Nathan, Alex et Mathieu et moi-même, Suzanne. À nous cinq, nous faisions souvent des nocturnes de travail pour décortiquer les résultats de nos entretiens tous ensemble.

Soirée révisions et pipe partagée

Un soir, nous étions tous chez moi et Mathieu s’est mis à lire à voix haute les notes qu’il avait retranscrites d’un de ses entretiens particulièrement marquant. Il s’agissait du témoignage d’un homme d’à peu près notre âge, dans la vingtaine, qui racontait, en détails, un de ses plans cul avec quatre autres personnes. Ce qui était troublant, c’est qu’il décrivait une configuration qui était semblable à la nôtre : trois garçons, deux filles, une complicité dans le groupe. Le jeune homme, interviewé par Mathieu dans le cadre de son travail de recherche, n’avait eu aucun mal à décrire cette nuit particulière en des termes très imagés. Mathieu a lu : « À ce moment-là, les deux filles ont commencé à se rouler des pelles pour nous exciter, nous les hommes. Leur petit jeu a commencé à nous faire bander. » Nous avons ri de cette lecture et j’ai commencé à essayer de mimer la scène. Nous étions déjà un peu dissipés et n’avions plus très envie de travailler. Je me suis placée au milieu d’eux, car j’ai toute confiance en mes camarades, et je me suis mise dans la peau des protagonistes du témoignage. Un trouble a émergé. J’ai fait signe à Luce, qui s’est avancée vers moi, piquée de curiosité et d’audace.

Je l’ai embrassée sur la bouche délicatement. Elle m’a rendu mon baiser en mordant mes lèvres et en glissant sa langue contre la mienne. J’ai promené mes mains sur ses seins. Un silence s’est installé. Mathieu a continué la lecture du témoignage : « Puis, ma copine s’est mise à me sucer sur le canapé pour nous exciter encore davantage. » Le baiser avec Luce m’avait donné du courage, et je me suis avancée vers Nathan, puis Alex, pour leur rouler des pelles à leur tour. J’avais allumé la mèche qui allait mener à une explosion de toutes les barrières dans notre relation d’amitié. Ils m’ont rendu mes embrassades et je me suis retrouvée à passer de bouche en bouche. Je me suis déshabillée, ivre de tous les regards braqués sur moi, et je me suis étendue sur le canapé, nue. Alex, désormais nu lui aussi, s’est avancé vers moi, la queue bandée dans ma direction. Je l’ai prise en bouche tandis que Mathieu finissait de lire le témoignage : « Et là, tout le monde s’est mis à baiser sans qu’on ait vraiment compris d’où cette folie était partie. » Moi, je n’écoutais déjà plus, et j’étais en train de reproduire tous ces gestes qu’on nous avait racontés pendant notre enquête, à sucer la queue d’Alex sur le canapé. Mathieu s’est fait sucer par Luce à nos côtés et nos désirs se sont déchaînés.

Orgie entre amis

Nathan s’est mis à prendre des photos, comme certains de nos enquêtés nous avaient avoué le faire lors de leurs orgies. Nous étions grisés par toutes ces paroles qui résonnaient dans notre mémoire, tous ces récits de parties de jambes en l’air dans lesquelles on ne savait plus à qui étaient ces mains, à qui étaient ces bouches, à qui étaient ces sexes. Luce et moi avons pris Mathieu, le lecteur, pour cible de notre luxure. Nous l’avons emmené dans la chambre. Pendant que je le suçais, mon amie, elle, s’était accroupie sur son visage afin de se faire lécher en même temps qu’il recevait mes caresses buccales. Nous étions toutes les deux en string et nous nous savions extrêmement désirables. Depuis mon point de vue, je pouvais voir le visage de Mathieu disparaître sous la chatte de Luce, et sa queue se raidissait dans ma bouche à mesure qu’elle l’étouffait presque de son entrejambe trempé d’excitation. Sa cyprine venait se mêler à la salive de la langue qui allait à la rencontre de son sexe. Alex a pris des photos de nous en pleine action, dans une tentative de documenter nos ébats. Peut-être une façon de poursuivre le travail sociologique par les images ! Luce et moi avons ensuite jeté notre dévolu sur Nathan, qui était resté spectateur jusque-là.

À quatre pattes tout autour de lui, sa queue est passée entre nos bouches, comme si nous échangions à nouveau un baiser par fellations interposées. Je prenais sa queue, pleine de la salive de mon amie et désormais amante, et j’y rajoutais la mienne, et nos langues se rencontraient sur sa délicate turgescence. Nous avons alors entrepris de faire du côte-à-côtisme. Luce s’est fait prendre en levrette par le pieu de Nathan, et moi j’ai enjambé Alex en le prenant entre mes cuisses, me propulsant sur sa queue à l’aide de mes coups de reins. Mathieu a endossé le rôle de photographe tout en se donnant du plaisir avec sa main et ses yeux. Je regardais Luce bouger sous les à-coups de Nathan à côté de moi et j’essayais de reproduire la même rythmique en baisant Alex, en jouant du bassin. Nos quatre corps étaient à l’unisson de la jouissance, moites, tremblants sous les pénétrations vigoureuses, enveloppés de tous nos gémissements étouffés. Voilà donc le récit de quelques moments d’égarement dans une vie d’étudiants… pour vous montrer que nous ne sommes pas que des rats de bibliothèque !

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