Trois, non … quatre étoiles !
2 novembre 2024Patrick, 53 ans de Gironde raconte la fois où il a été invité à partager le dessert chez un couple candauliste. Devant son mari, il se tape sa femme coquine
Je suis sommelier dans un restaurant qui compte une clientèle riche et très coquine. Un soir, Ève et Olivier m’ont mandé à plusieurs reprises, curieux de tout ce qui se rapportait aux nectars dont ils s’enivraient et, en fin de repas, ils m’ont proposé de les rejoindre à leur villa toute proche. J’ai accepté avec plaisir et me suis présenté à l’entrée de la propriété dès la fin de mon service. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.
Candaulisme et voyeurisme pour le dessert
Olivier a sorti une bouteille d’un champagne millésimé à tomber et Eve, elle, a sorti ses seins de sa robe hyper moulante ! Affichant nettement de belles marques de maillot, ils éclataient de blancheur au milieu d’un océan de peau hâlée par le soleil. Son cul et sa chatte ont suivi dans un mouvement leste qui l’a laissé … en tenue éponyme devant mes deux billes incrédules.
Entre-temps, le mari plein aux as avait extrait son engin, non, pas son machin, mais un énorme appareil photo monté avec un objectif gros comme un télescope. Il nous prenait en photo en veux-tu en voilà en m’invitant à me déshabiller pour aller baiser sa moitié sous son œil attentif.
Je me suis exécuté et, en quelques instants, Ève se jetait sur ma queue pour me sucer tout en glissant une main remuante dans sa culotte à la blancheur immaculée. Seuls quelques allers-retours sur mon chibre ont suffi pour le métamorphoser en une colonne plus dure que du diamant. La langue perdurait son labeur. Je ne savais pas trop si j’avais le droit de toucher madame, mais je n’en pouvais plus et j’ai tendu des doigts tremblants vers cette poitrine idéale et dodue comme dans mes rêves les plus fous.
Enfin, je tenais ma petite revanche, j’allais m’envoyer une belle bourgeoise bien cochonne devant son époux richissime et incapable de la baiser lui-même ! Les obus étaient lourds dans mes paumes, moelleux, chauds et bien hauts. Je m’en suis donné à cœur joie, tâtant les loches, tripotant les bouts, pinçant les tétons bandés pour finir par aspirer goulûment les aréoles roses.
Eve prise devant son mari
Puis Ève a déroulé un préservatif sur ma queue. Ses ongles manucurés étaient fins et délicats. Elle m’a branlé avec la capote et s’est installée au-dessus de moi, agrippant mon chibre entre l’index et le majeur, comme un gros cigare. Elle s’est amusée un moment à agacer son bourgeon tendu puis s’est enfilé mon mât d’un coup au fond de la chatte. Le fourreau était serré, je sentais mon gland écarter les chairs tandis que mon amante émettait les premiers sons de sa satisfaction, jetant des regards brûlants à un Olivier rougeot et transpirant.
Dans cette position, j’avais tout loisir de jouer avec les nichons de ma cavalière ainsi qu’avec son clitoris qui frottait contre la toison de mon pubis, je ne me suis pas gêné, saisissant de nouveau les nénés à pleine main pour les malaxer encore plus énergiquement que tantôt ou glissant un doigt sur le capuchon trempé afin de faire rouler la perle de plaisir de la dame.
Son orgasme a été un feu d’artifice. Elle a jeté sa jolie tête en arrière, émettant une quantité impressionnante de cyprine sur ma bite et mes couilles, criant sa jouissance tout en prenant appui sur mon torse. Le reflux a été long, elle voulait profiter de l’instant, aussi l’ai-je laissée redescendre à son rythme et, une fois apaisée, lui ai proposé de la pénétrer en missionnaire. Très docile, elle s’est levée et s’est allongée sur le dos, exhibant sa fente ourlée et gonflée par notre premier rapport.
Je me suis faufilé entre ses cuisses qu’elle a écartées davantage pour me laisser le champ libre et je l’ai prise de nouveau. Ma queue était bandée au maximum, la situation m’excitait, la présence d’Olivier, le mari, n’y était pas étrangère non plus. Il s’est d’ailleurs penché pour mieux voir ma bite disparaître en totalité dans le sexe trempé de sa femme bien aimée. J’ai regardé Ève droit dans les yeux et l’ai traitée de « petite salope ». Elle m’a encouragé à l’agonir en un souffle « ouiiiiiii … » et à la baiser à fond en me disant qu’elle était « ma petite chienne et que je pouvais jouir sur ses gros seins laiteux ».
Je l’ai démontée si fort que nous en sommes tombés du sofa dans un grand éclat de rire. Une fois remis de cette cascade et après une bonne rasade de champagne, Ève m’a repris un moment en bouche, gobant mes bourses, pour se réinstaller en position soumise, vagin béant, sa fleur en corolle écartelée qui réclamait ma bite, encore.
Je l’ai baisée en propulsant mon bassin aussi fort que je pouvais. J’en avais mal aux hanches tant les chocs étaient violents. Elle a eu un second orgasme en me roulant une pelle. J’ai sorti mon pieu, arraché la capote et ai laissé la belle me masturber à fond jusqu’à ce que j’éjacule abondamment sur ses seins.
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