Assemblée générale
17 janvier 2025
« Mêlée » générale devrais-je dire ! Voici mon histoire de sexe amateur. Voilà deux ans, j’ai monté ma startup, n’ayant pas assez de fonds, j’ai trouvé trois investisseurs qui ont versé la mise de départ pour acheter le matériel, louer les locaux et payer les premiers salaires.
3 amants bien montés
Lors de l’assemblée générale, les résultats étant fous, nous avons fêté cela dans un restaurant gastronomique puis un club huppé de la ville rose. J’ai dansé avec mes trois cavaliers qui, chacun leur tour, m’ont fait une cour qui ne s’est arrêtée qu’une fois que je les ai tous embrassés. Le premier pas, le plus difficile, était franchi, je ne voyais pas d’inconvénient à passer la nuit avec trois amants, bien au contraire. Et quelle meilleure occasion pour approfondir notre relation et découvrir véritablement les « membres » de notre équipe ?!
J’ai tâté les entrejambes de ces messieurs, celle de l’un d’entre eux était particulièrement prometteuse, lorsque nous nous sommes retrouvés dans la chambre d’hôtel et que les corps se sont dévoilés, j’ai pu constater que tel était le cas. En réalité, ces mousquetaires étaient tous très bien montés et j’allais être leur milady à tour de rôle … ou en même temps !
J’ai été traitée comme une reine, léchée, massée, caressée, j’étais au paradis, mais surtout, j’ai eu le droit de me régaler de leurs trois grosses bites. Je n’ai pas eu le temps de dire quoi que ce soit que déjà une queue pénétrait ma chatte et qu’une seconde se matérialisait comme par enchantement au-dessus de mon visage, je n’ai plus eu qu’à ouvrir la bouche pour accueillir le plus volumineux des braquemarts et le sucer avec une énergie et une gourmandise que je ne me connaissais pas. Pendant ce temps, entre caresses et attouchements divers sur mes seins et ma fente, le dernier du trio a commencé à nous prendre en photo, cela m’a fait mouiller en mode raz-de-marée !
Ma robe à moitié enlevée, mes bas soulignant la nudité de mon triangle d’or, j’ai été baisée par mes trois associés en missionnaire puis installée à quatre pattes. Là encore, même ritournelle, j’ai reçu les bites de ces messieurs entre les cuisses tandis qu’un beau membre bien bandé venait réclamer sa pitance à mes lèvres, me donnant à lécher et à avaler ma propre liqueur qui coulait en abondance de mon vagin transpercé.
Partie de foutre à quatre
Pour cette première, j’ai pris mon pied avec les trois successivement et eux m’ont couverte de leur foutre des pieds à la tête !
Depuis, nous nous voyons tous les quatre régulièrement, tout est bon pour se lancer dans une partie fine où le sexe règne en maître. Ils font tout pour me faire plaisir et me faire jouir, de mon côté, j’essaye d’être attentive aux petites manies de chacun, par exemple, mister « grosse barre » a un faible pour les bas résille, je tâche donc d’en parer mes jambes le plus souvent possible, cela le met dans un état d’excitation folle !
Je me fais bouffer le bonbon par trois langues expertes, sucer les tétons par des lèvres qui ne le sont pas moins, doigter vagin et anus, ce dernier intéressant de plus en plus mes amants terribles. Je n’étais pas très sodomie avant ces trois-là, ils m’ont rendue accro, les chameaux. Il faut dire qu’une fois ma bouche et ma chatte pleines, il me reste toujours les mains pour branler un beau membre, mais un fourreau serré, d’après ces messieurs, est bien plus confortable et jouissif. On m’a donc entrepris le petit trou avec des godes, des vibros et des encolures de bouteilles d’eau en verre ! Ils ont pris le temps qu’il a fallu pour m’élargir et m’assouplir le trou de balle et y sont allés crescendo, m’enculant lentement de la plus modeste des queues à la plus volumineuse.
On me prend la rondelle comme on veut maintenant, de face en missionnaire, de dos en levrette, même, cela a été une de mes expériences les plus folles avec eux, debout ! Mon corps léger fiché sur la plus imposante des barres, un second est venu me la mettre dans les fesses, à tel point qu’à un moment donné, j’étais en apesanteur, juste embrochée sur ces deux pieux qui m’ont fait jouir par tous les orifices !
Quelque fois, l’un d’entre eux passe au bureau, nous nous éclipsons alors discrètement, soit aux toilettes, soit dans la berline de celui qui m’a rejointe, là je me laisse baiser telle une belle petite salope, ils adorent tous me traiter quand ils me fourrent et j’adore ça ! Ces baises individuelles sont moins excitantes que nos quadrilles, mais j’en tire un plaisir tout particulier du fait d’être à quelques mètres de mes salariés. Et moi, pendant ce temps-là, je « touche » mes dividendes en nature !
A lire aussi :