La chatte de la vendeuse

La rédaction 14 octobre 2021

Je m’appelle Cédric, j’ai 30 ans et avant de rentrer au coeur de mon histoire de sexe, laissez moi vous expliquer le contexte. Le confinement m’a poussé, comme beaucoup, à la consommation de proximité. J’ai découvert à cette occasion le marché du Plessis-Robinson, où je réside depuis une dizaine d’années. Quelle richesse de commerçants, de produits frais et… de jeunes filles plus charmantes les unes que les autres ! On parle souvent du milieu hospitalier où l’on s’en donne à cœur joie ou, devrais-je dire, à « cul joie », j’ai appris, pour mon plus grand bonheur, que les halles étaient également des lieux de rencontres formidables.

Gourmande la vendeuse !

Pour l’occasion, j’ai acheté un beau, beau chariot aux motifs tartans, une glacière et je suis parti à la découverte des allées aux étals bigarrés. Un commerçant vous en recommandant un autre, j’ai atterri devant un magnifique achalandage de charcuterie et la rayonnante Marjorie. Elle m’a tapé dans l’œil immédiatement, gironde, un regard mutin, une voix suave et des gestes tout en précision. Surtout, j’ai repéré les étranges petites protubérances qu’elle arborait au bout des seins. La machine à fantasmes s’est mise en branle, je l’imaginais déjà avec des piercings sur les tétons, ses oreilles en étaient garnies, pourquoi pas sa poitrine ?

Une visite en entraînant une autre nous avons tissé des liens et un beau matin la ravissante Marjorie m’a laissé entendre qu’elle terminait son service à quatorze heures et qu’elle n’avait rien de prévu après. Ni une, ni deux, j’ai pris mon courage à deux mains et je lui ai lancé une invitation à déjeuner.

J’ai préparé un bon repas et ma pétillante vendeuse est arrivée, les joues roses, en mini-jupe et bas résille, oublié le jean et la ceinture-tablier du boulot. Elle était maquillée et son tee-shirt blanc moulant m’a clairement fait comprendre qu’elle ne portait rien en dessous, et que j’avais raison de soupçonner la présence de corps étrangers sur ses mamelons, je voyais désormais nettement les petites boules de part et d’autre de ses pointes érigées.

À peine la porte fermée, elle m’a embrassé fougueusement. Le déjeuner pouvait bien attendre et puis le sexe ouvre l’appétit n’est-ce pas ?

Les baisers se sont enchaînés, profonds, doux, sensuels, je n’ai pu résister à poser mes mains sur cette poitrine qui me séduisait tant. Marjorie m’a laissé tout le loisir de caresser ses beaux orbes charnus, elle a même fini par se déshabiller entièrement, m’offrant son corps aux courbes rondes et pleines.

Je bandais à en avoir mal, j’avais tellement rêvé cette scène, je ne parvenais pas à réaliser ce qui m’arrivait. Surtout lorsqu’elle s’est accroupie devant moi pour descendre mon jean à mi-cuisse et faire jaillir ma queue. J’avais mon portable à portée de main, j’ai immortalisé le moment tant il me paraissait hallucinant. Marjorie a penché la tête en arrière, le flash a illuminé son visage et elle a avalé mon membre. Une vraie gourmande ! Au-delà d’une bonne technicienne, elle aimait ça et je le ressentais au plus profond de moi. Elle a dégusté mon chibre comme s’il avait été une sucette ou un esquimau appétissant. Léchant ma hampe, goûtant mes couilles, reprenant le gland entre ses lèvres, aspirant juste mon fruit pour finir par engloutir ma tige entièrement dans sa gorge. Cette fille avait une fierté du « travail » bien fait impressionnante.

Jouir par tous les trous

Ses seins chaloupaient au rythme de ses va-et-vient, les cheveux attachés, elle m’a pompé avec passion, je ne savais plus où poser mes yeux, sur ma bite avalée en cadence, sur les bijoux coquins qui brillaient en fonction de ses mouvements. Mais je ne voulais pas jouir si rapidement, j’avais envie d’elle depuis trop longtemps pour jouer les éjaculateurs précoces !

Je me suis libéré de mes vêtements à mon tour et je l’ai invitée à gagner mon lit, elle a vite sorti un vibromasseur rose métal de son sac et est allée s’allonger sur le ventre. Elle s’est étalée comme un félin, me donnant son joli cul en spectacle tout en se caressant la fente et le petit trou. Cette fille n’avait pas froid aux yeux, ni ailleurs. Je me suis approché et j’ai compris à ses gémissements insistants qu’elle avait envie de ma langue. J’ai butiné ses fesses de mille baisers, un fumet brûlant de désir montait à mes narines, Marjorie sentait le sexe brut. J’ai été conquis par ses fragrances et je me suis mis à la lécher de partout. Elle a glissé son jouet dans son sillon et j’ai pris le relais. Un doigt dans son anus souple, mon pouce activant le vibro au fond de sa chatte. Elle ondulait des hanches, écartant ses fesses, venant à ma rencontre, réclamant des intromissions de plus en plus puissantes.

Sa mouille nappait son sexe et la raie de ses fesses, j’ai enfilé un préservatif pendant qu’elle continuait à se masturber frénétiquement. À peine prenais-je appui sur mes genoux qu’elle se lovait en levrette, le cul bien relevé, ouvert comme rarement il m’avait été donné de voir. J’ai posé ma fraise sur ce con bouillant et j’ai imprimé un grand coup de reins, agrippant les formes généreuses des globes charnus de Marjorie. Sa chatte était serrée et ma queue s’est trouvée happée par ce puits délicieux. Je me suis interrogé un instant, devais-je lui demander l’autorisation d’asséner quelques claques sur ses montgolfières callipyges ? J’ai pris la liberté d’essayer. Ce doux léger châtiment l’a rendue folle, quasi hystérique. Elle s’est mise à crier, à en ameuter le quartier ! M’intimant de la baiser, de la défoncer pour finir par me supplier de l’enculer.

Je suis un gentleman et on ne refuse pas un plaisir, aussi coquin soit-il, à une dame ! En fait, j’étais aux anges. Je ne me suis pas fait prier, je suis sorti de sa fente ruisselante et je l’ai sodomisée direct. Je suis entrée dans son anneau comme dans du beurre, j’ai failli gicler sans même l’avoir limée. J’ai stoppé ma progression, j’ai respiré à fond, l’alerte est passée et je me suis mis en devoir de lui prendre le petit trou avec frénésie. Elle s’est glissé le jouet à nouveau par devant, je sentais les vibrations le long de mon pieu. Nous avons joui de concert.


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