Un trio pour des vacances à Saint-Tropez.

Mon copain, Vlad, m’a emmenée à Saint-Tropez, il avait loué une villa pour trois semaines au mois d’août, mais au dernier moment un de ses amis s’est incrusté. L’occasion pour moi de vous raconter une histoire de sexe amateur. Philippe est adorable et très discret, cela ne m’a donc pas gênée, mais il tenait un peu la chandelle tout de même. C’est aussi un très bon photographe, et grâce à lui nous avons pu garder de beaux souvenirs de ce séjour dans le Var.

Vacances à poil et soirée sexe

Lorsque Vlad a parlé de naturisme et de se foutre à poil, je n’étais pas très chaude, mais je me suis laissé convaincre. Évidemment, de fil en aiguille, de juste nus, nous sommes très vite passés aux caresses entre mon mec et moi. Philippe nous a proposé de me shooter dans le plus simple appareil, j’ai entrepris de poser à la maison et en bord de mer. Doucement, je me suis dévergondée et, voyant l’énorme bosse qui déformait le pantalon de mon preneur de vues, j’ai commencé à oser de plus en plus de choses, jouant avec mes jolis petits seins, montrant ostensiblement ma chatte, j’ai même été jusqu’à écarter mes fesses pour lui dévoiler toute mon intimité, petit trou compris.

Les caresses avec mon homme ont cédé la place à du sexe pur et dur. Plus les jours passaient, plus je me sentais salope, gagnant en assurance, telle une star de X sur un tournage porno. Je me suis laissé lécher le minou sur un matelas près de la piscine, les yeux clos ou regardant Vlad me laper la fente, j’ai eu un premier orgasme fulgurant cet après-midi-là. Juste après, il a ôté son jean et m’a doigtée, accroupie, dos contre son torse en train de lui rouler une pelle, tant et si bien qu’il m’a fait gicler sur l’herbe fraîche. Il m’a finalement culbutée sur le gazon, les genoux enfoncés dans la terre meuble, lui dans mon con serré. Il m’a burinée comme un marteau-pilon jusqu’à ce qu’il lâche toute sa semence épaisse au fond de ma grotte. Les deux garçons m’ont alors demandé de me remettre en position accroupie pour admirer ma fente et le filet de sperme qui en coulait doucement.

Les soirées n’ont plus été que des séances de sexe hardcore, mon homme me plugant l’anus avec un jouet d’un bon diamètre. Je devais interpréter une soubrette, vicieuse, cheveux attachés, bouche offerte pour lui tailler des pipes et bouffer sa grosse queue jusqu’à ce qu’il me jute au fond de la gorge et qu’enfin il daigne s’occuper de mon petit minou. Philippe, lui, bandant, stoïque, continuait à nous photographier, seule cette belle queue recourbée vers le ciel me donnait la preuve que je l’excitais et que ce qu’il voyait lui donnait envie de moi.

Changement de rôle et caudalisme

Le scénario a changé lors d’une session de poses. J’avais enfilé un ensemble de lingerie noire, mais, très vite, il ne m’est resté de ma tenue que les bas. Je devais les troubler fortement, car, mes deux spectateurs, entièrement nus, ne pouvaient cacher l’effet que je leur faisais. J’ai craqué et j’ai proposé que les hommes échangent leurs rôles. Vlad n’attendait que cela, il me l’a avoué un peu plus tard.

Philippe lui a donc confié son boîtier et, ému, il est venu me rejoindre sur le lit. Sa bite était grande et sucrée, je me suis régalée à l’accueillir dans ma bouche tout en lui caressant doucement les testicules. Lui me glissait la main dans les cheveux en répétant à quel point il me trouvait belle. Je regardais Vlad par moment, il passait plus de temps à se branler qu’à nous prendre en photo. Il m’a fait signe d’y aller franchement, alors je me suis allongée en ouvrant les cuisses pour que Philippe puisse enfin venir m’offrir le cunnilingus dont il rêvait depuis si longtemps. Mon mec lèche mieux, il faut dire qu’il me connaît par cœur, mais ça n’était pas si mal. Le parfum de la nouveauté et de l’interdit compensait ses maladresses. Je suis restée étendue sur le dos, soumise et alanguie, je savais que c’était ce qu’apprécieraient le plus mes mâles amants, une petite catin docile qui écarte ses gambettes sur commande.

Je me suis touché la chatte pour laisser éclore mes nymphes, j’étais trempée d’excitation à l’idée de me faire prendre par une autre queue que celle de Vlad, le tout, devant lui ! Philippe m’a masturbée la fente avec son gland, c’était d’une douceur incroyable comme caresse, toute la longueur de sa hampe s’insérait dans mon sillon pour finir par agir en pressions plus ou moins intenses sur mon clitoris. Ma cyprine était si abondante que je lui lubrifiais toute la colonne sans peine et que, lorsqu’il a dirigé son bulbe vers mon vagin, c’est entré tout seul ! Il m’a baisée par tous les trous et a juté sur mon corps en criant, tandis que Vlad se répandait en grandes giclées sur la moquette !

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