Open « très » space !
3 février 2025J’avais remarqué le petit manège de Sabrina depuis un moment déjà, et ça me faisait rigoler intérieurement. Sabrina, c’est cette collègue trentenaire qui est en face de moi dans le même open space. Belle brune métisse, superbe, sur laquelle mes yeux se baladent souvent quand je prends une pause de mon écran d’ordinateur. Voici mon histoire de sexe amateur.
Une collègue coquine
Elle se levait souvent pour aller aux toilettes et, un jour que les WC pour hommes étaient fermés, je me suis lavé les mains dans les toilettes pour femmes tout en sachant qu’elle s’y trouvait. C’est alors que j’ai entendu comme de faibles gémissements qui passaient au travers de la porte. Est-ce qu’elle était en train de… ? Mais oui ! J’ai plaqué mon oreille contre la porte de la cabine.
La coquine était bel et bien en train de se masturber sur son lieu de travail ! J’ai entendu une respiration saccadée et des petits sons qui étaient clairement ceux du plaisir qui monte, jusqu’à ce que j’entende qu’elle étouffait son orgasme par une main plaquée sur la bouche. J’ai senti la sève faire durcir ma bite, à l’imaginer de l’autre côté de cette porte en train de se faire du bien, et je suis passé dans les chiottes d’à côté pour me soulager de cette tension.
Puis nous nous sommes retrouvés dans l’open space, face à face comme à notre habitude, moi sachant ce qu’elle venait de faire, elle, les joues rosies, ne sachant pas que je l’avais surprise en train de prendre son pied tranquille derrière une porte close.
Un soir, à un pot d’entreprise, nous avons beaucoup discuté et, un peu éméché, je lui ai laissé entendre que je m’étais déjà masturbé dans les toilettes du bureau, sans préciser que je savais qu’elle en faisait tout autant. “Mais moi aussi, je le fais !” s’est-elle exclamée. Elle était très extravertie et a ouvert son sac à main pour me montrer le vibro bleu clair qui se trouvait là, fidèle au poste pour lui donner des orgasmes quand elle avait besoin de se déstresser au boulot.
Aventure adultère
Cette connivence de branlette sur le lieu professionnel nous a fait mourir de rire, à tel point que je lui ai avoué que je l’avais déjà entendue à travers la porte des toilettes. Elle s’est légèrement troublée, mais j’ai senti que cet aveu l’avait excitée.
Plus tard dans la soirée, elle m’a demandé si je voulais la voir en train d’utiliser son vibro “en live”. Et comment ! J’ai dit que rien ne me ferait plus plaisir… Nous avons fini chez elle, elle s’est foutue à poil, découvrant son corps à la peau mate et veloutée et un petit string vert qui fendait un cul rebondi qui en aurait fait baver plus d’un.
Elle m’a dit qu’elle avait un mec et que ça l’exciterait de se savoir baisée par moi. Alors, elle m’a tendu son téléphone. “On va lui envoyer des petites photos, il adore ça.” J’ai trouvé ça étonnant, mais aussi plaisant de faire partie de leur délire sexuel à tous les deux.
J’ai fait des photos de cette belle panthère lubrique, qui a commencé à me montrer son corps sous toutes les coutures. Allongée sur le dos au milieu de son salon, nous avons fait un 69. Moi au-dessus d’elle, ma queue dans sa bouche et ma langue sur sa chatte, à me tordre le bras pour faire une photo d’elle dans cette position indécente afin d’exciter son mec. Je n’aurais même pas imaginé pareil scénario dans mes fantasmes quand je me branlais à côté d’elle, séparés par un simple mur !
Nous sommes allés dans la chambre conjugale. Je l’ai pénétrée en missionnaire, admirant sa poitrine, puis elle s’est mise à genoux, buste contre le matelas, cul en l’air. J’étais en ébullition face à ce cul fier et conquérant tendu vers ma queue, que j’ai pu enfiler de plus belle. J’ai encore fait des photos, que j’envoyais en temps réel à son officiel. Il répondait par des photos de sa queue qu’il était en train de branler et des mots tels que : “Dis-lui que je l’aime.”
Ce triangle sexuel était dingo. A sa demande, j’ai fini par me glisser dans son postérieur, enveloppé par le conduit étroit de son fondement. Elle s’est remise sur le dos pour se goder avec le vibro tandis que je continuais à l’enculer. Je l’ai sentie s’ouvrir de plus en plus, à mesure que son orgasme montait et faisait vibrer son périnée. Ce jouet qui la faisait jouir au taf a fait des merveilles en la faisant jouir de nouveau, tout en recevant mes coups de bite dans son fessier renversant. Je n’ai jamais regretté de l’avoir écoutée en douce, en train de se branler derrière une porte fermée.
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