Télé travail

Depuis le Covid, comme beaucoup de salariés, je travaille trois jours par semaine à la maison, mais je n’aime pas être seul, du coup, j’ai demandé à Chloé, une collègue qui habite à deux rues de chez moi si cela la tentait de venir chez moi. Elle a été ravie de la proposition et nous avons convenu d’organiser nos jours « off » en commun. Voici notre histoire de sexe amateur.

Fellation improvisée

Comment son ordinateur s’est-il retrouvé avec un plein accès à mes fichiers photos ? Impossible à dire, mais lorsque je suis revenu de la cuisine avec des sandwiches pour la pause déjeuner, elle ouvrait de grands yeux ronds sur des gros plans de ma bite et quelques clichés très « sexe » pris avec des copines de passage. Je me suis excusé qu’elle ait vu cela, mais lorsqu’elle a posé ses yeux sur moi, son regard avait changé et elle a tiré sur son décolleté afin de mettre sa paire de nichons à l’air ! J’étais estomaqué, je la pensais lesbienne ! Et subjugué par ses seins absolument somptueux.

« Tu me montres ta bite en échange ? » m’a-t-elle dit.

Comme un robot, j’ai ouvert ma braguette, tiré sur mon slip et sorti mon engin qui bandait déjà. La miss s’est approchée de moi et m’a caressé le membre et le toisant comme s’il était une friandise appétissante. Mon érection s’est raffermie encore un peu et Chloé a ouvert sa bouche sensuelle pour y glisser ma queue toute entière. Je n’ai pas réfléchi, elle avait vu mes photos, elle se doutait de ce qui allait suivre, je l’ai mitraillée pendant la pipe et tout ce qui a suivi.

« Elle est vraiment énorme, ton gland aussi, j’adore sa forme de gros champignon » a-t-elle encore dit avant de me pomper le nœud avec une technique et une application qui m’ont amené au bord de l’éjaculation. Embrassant mes bourses, glissant ses doigts dans la toison de mon pubis, palpant ma tige lorsqu’elle la ressortait du fon fond de sa gorge. Elle l’a ensuite glissée entre ses seins volumineux, la branlette espagnole n’est pas ce que je préfère dans le sexe, mais là, j’avoue qu’avec ses globes extravagants, elle m’a emprisonné tout le matériel, m’a branlé en me décalottant à fond et en gobant mon fruit rose et gonflé, une merveille.

Sa fellation a duré un moment, je me laissais faire comme un pacha, c’était délicieux et Chloé n’arrêtait pas de me regarder en me turlutant, ce qui m’excitait encore davantage. Lorsqu’elle a été bien chaude, elle est remontée jusqu’à mon visage pour me rouler une pelle sans jamais lâcher mon mandrin, puis elle a craché dans sa main, a écarté un pan de sa culotte et s’est lubrifié la chatte à plusieurs reprises.

Partie de mouille et de foutre

J’ai continué à ne rien faire, juste à me laisser faire, j’ai eu raison, après avoir joué avec toute la longueur de mon chibre, à se frotter la moule dessus, à agacer son bourgeon, Chloé s’est enfilée ma queue dans la chatte jusqu’à la garde. Son con était hyper serré et moulait chaque aspérité de mon pénis, elle bougeait délicieusement bien et s’est mise à danser et à onduler du cul tout en se caressant les mamelons et en étirant ses larges aréoles roses. Elle a joui une première fois, coulant sur moi d’un jus épais et parfumé, elle ne s’est pourtant pas arrêtée, continuant de rouler des fesses et de se peloter la poitrine, j’étais dur comme un barreau d’acier, ma queue et mes tempes battaient au rythme de mes pulsations cardiaques.

Nous nous sommes finalement décollés et je l’ai pénétrée en levrette, les yeux rivés sur mon barreau de chaise qui pourfendait ses chairs et sur sa petite étoile rose qui s’épanouissait à chaque fois que je lui rentrais mon gourdin, je l’ai besognée comme un fou jusqu’à ce qu’elle perde pied une seconde fois. Mon pouce s’est doucement glissé jusqu’à son anus, elle m’a dit oui pour le doigt mais pas plus, je l’ai donc enculée doucement en tournant bien mes phalanges dans l’orifice serré et son deuxième orgasme a éclos un peu par surprise. Elle a couiné et gémi très fort, de nouveau son sillon a produit un liquide épais, presque blanchâtre qui a nappé mes couilles. Je me suis arrêté de la limer pour goûter à ce lait tiède, c’était doux et presque sucré, Cholé m’a alors dit qu’elle aussi, voulait me boire.

Elle a renfourné l’intégralité de mon pieu dans sa bouche et m’a travaillé de la main et des lèvres jusqu’à ce que je gicle. Plusieurs jets de spermes ont maculé sa gorge, puissants, libérateurs, j’ai crié et j’ai eu un orgasme sublime, renforcé par les déglutissions successives de mon amante qui a nettoyé mon chibre jusqu’à la dernière goutte de foutre. Dix minutes plus tard, nous étions en « conf call », à poil, discutant de je ne plus quel plan marketing avec un gros client de la société !

A lire aussi :

Grosse bite dans la grosse pomme

Cours de plongée particulier

La pipe de ma vie