Toilette intime
8 avril 2024Lena, 19 ans, a sa première expérience intime avec son infirmière curieuse.
Cela s’est passé l’année dernière, je venais de fêter mes 19 ans. Après un accident de ski, je me suis retrouvée dans un hôpital de Grenoble. J’en avais pour deux semaines d’immobilisation. Le premier matin, une infirmière est venue s’occuper de moi. Elle devait avoir 35 ans. J’ai cru mourir de honte quand elle m’a annoncé qu’elle allait m’aider pour ce qu’elle appelait ma « toilette intime »… Voici mon histoire de sexe.
Ma toilette intime
A l’époque, j’étais vierge. Elle a commencé par glisser un bassin sous mes fesses, puis elle a écarté mes lèvres avec deux doigts. Elle a fait couler un liquide savonneux sur un gros morceau de coton qu’elle a passé délicatement dans ma fente, de haut en bas. Ensuite, pour me rincer, elle a pressé un gros flacon de plastique blanc, faisant gicler de l’eau tiède, avant de me sécher avec une serviette. Ça me faisait un drôle d’effet. Un mélange de honte et d’excitation. À quoi pensait-elle quand elle faisait ça ? En tout cas, elle ne m’avait pas dit un mot pendant toute cette opération.
Le deuxième matin, en l’attendant, j’ai repensé à elle, au sillon qui séparait ses gros seins sous le coton blanc de sa blouse pendant qu’elle s’occupait de ma chatte. Je sentais mes joues toutes chaudes au moment où elle est arrivée. Elle a mis le bassin sous mes fesses, et elle s’est arrêtée un instant pour contempler mon bas-ventre. « Tu t’es branlée… », a-t-elle constaté. Tout m’a choqué : le tutoiement, les mots crus, son sourire bizarre.
J’ai rougi de plus belle. Je ne m’étais pas masturbée, mais j’avais certainement beaucoup mouillé en pensant à elle car, lorsqu’elle a écarté mes lèvres, Ça a produit un petit bruit qui prouvait bien que je devais être trempée.
Un cunni pour me faire jouir
Elle a passé le morceau de coton savonneux dans ma fente. J’ai fermé les yeux au contact du liquide froid. « Tu penses à quoi quand tu te branles ? » Je n’ai pas répondu. Elle s’est attardée un peu plus que la veille, puis elle m’a rincée. Elle a pressé par à-coups sur le flacon plein, faisant gicler l’eau avec force en visant mon bouton. À ma grande honte, je l’ai senti durcir. Elle a vidé tout le récipient comme ça. Ça aurait duré un peu plus longtemps, je crois que j’aurais pu jouir. Elle m’a séchée, puis elle a maintenu ma fente écartée, la regardant fixement. Elle a ri en disant : « C’était bien la peine que je te lave, petite vicieuse. Tu es encore toute gluante. » Et c’est vrai, je sentais que ça coulait entre mes cuisses…
Elle a attrapé une mèche de mes poils pubiens entre ses doigts, puis elle me les a placés sous le nez. « Renifle. Tu vois, ça sent la petite femelle en chaleur… C’est tout collé, tout gluant. » Et elle a passé ses doigts sur mes lèvres. « Lèche. » J’ai obéi sans savoir pourquoi. C’était salé. Alors, elle m’a fourré deux doigts dans la bouche, allant et venant comme pour une fellation (que je n’avais encore jamais pratiquée à l’époque). Elle me regardait dans les yeux. Les siens luisaient d’excitation. Elle a ajouté deux doigts. J’avais la bouche totalement distendue comme sous l’effet d’une énorme bite. La salive me dégoulinait sur le menton.
Puis, elle a retiré ses doigts et elle s’est penchée entre mes cuisses. Elle a fourré sa langue aussi loin qu’elle a pu dans mon vagin, puis elle a aspiré mon clito entre ses lèvres et là , j’ai joui à n’en plus finir. Elle s’est redressée en s’essuyant la bouche. Elle a rabattu le drap sur moi et elle est sortie. C’est depuis ce jour que je suis devenue cochonne.
(Image à la une : Getty Images)
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« Je savais que l’accueillir en caleçon, ce serait un peu quitte ou double. Je l’ai vue venir du bout du couloir. Sous le drap, j’ai commencé à me la malaxer pour la faire durcir. Quand elle est entrée, elle m’a vu allongé et à travers le caleçon, elle devait discerner ma grosse et bonne érection. » Julien
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« Je travaille dans un petit hôpital local où plusieurs de mes collègues ont eu des histoires de cul avec des mecs du boulot, qu’elles soient en couple ou célibataires. Et moi… jamais rien ! Alors je me suis dit que j’aimerais bien me faire baiser au boulot, moi aussi. Je suis en couple depuis plusieurs années et je voulais sortir du quotidien. » Marina