On stage !

La rédaction 4 février 2025

Voici mon histoire de sexe amateur. J’étais stagiaire dans une agence publicitaire lyonnaise quand j’ai rencontré Louise, 20 ans, elle aussi stagiaire dans le même service que moi. Nous sommes devenus assez proches au fil des semaines, à force de se côtoyer toute la journée. Quand nous sommes devenus suffisamment complices, elle m’a confié qu’elle faisait des photos de nu à ses heures perdues. Elle m’a dit que sa passion dans la vie était de poser dans de la lingerie fine, qu’elle collectionne en grandes quantités. Elle m’a montré des photos d’elles sur son téléphone, absolument superbe, en petite tenue, posant pour des regards que je devinais être ceux d’hommes qui la désiraient. Ça m’a pas mal émoustillé de voir ça. Elle m’a dit qu’elle venait justement de recevoir un ensemble de style BDSM qu’elle rêvait d’essayer et ce, devant témoin…

Des photos et de la lingerie fine

Je lui ai humblement proposé mes services de photographe amateur, sur le ton de la blague pour ne pas qu’elle pense que j’étais un gros pervers. L’idée lui a plu et elle m’a même proposé d’utiliser le studio photo de notre agence, un soir après le boulot. Rendez-vous fût pris et je m’y suis rendu le jour-J, un peu dans mes petits souliers, ne sachant pas s’il s’agissait vraiment d’une rencontre “artistique” ou d’une entrevue coquine. Louise était dans le studio, derrière le paravent pour se changer. On se la jouait vraiment comme dans un shooting pour une marque. Elle est apparue en peignoir pour me claquer la bise, puis elle l’a retiré devant moi. Là, j’ai vu que son accoutrement était totalement indécent. C’est-à-dire que ce n’était pas seulement de la lingerie fine, c’était un ensemble tout à fait provoquant, fait de vinyle et de lanières noires, qui encadraient son intimité.

C’est-à-dire qu’ils ne cachaient rien et laissaient voir tout ce qui en général est caché par le tissu : les lèvres de son sexe, parfaitement dessinées, avec un mince liseré de poils, gracieusement soulignées par la large fente ouverte de la culotte sur sa chatte. De la même manière, le soutien-gorge était fendu sur la longueur pour révéler ses tétons et les deux globes de ses seins. J’ai été assez surpris de la découvrir ainsi, pour ainsi dire toute nue devant moi, et elle semblait ravie de son petit effet.

Je n’ai rien dit et j’ai fait des clichés de son corps renversant et de son petit air mutin, qui avaient tout pour me plaire. Le silence et la tension sexuelle nous enveloppaient. Son air provocateur ne faisait qu’ajouter à l’intensité de l’instant. Le studio jetait sa lumière crue sur ses courbes fines et harmonieuses. Elle m’a dit de m’approcher d’elle au plus près pour faire des gros plans sur son corps. Je me suis mis à hauteur de son sexe pour faire une photo en contre-plongée de sa vulve dans son string affolant. C’était une photo aussi indécente que sa tenue et j’ai trouvé ça très puissant de pouvoir ainsi observer d’aussi près le détail de son intimité la plus secrète.

Cunni, fellation et partie fine photographiée

J’ai senti son excitation et j’ai cru percevoir qu’elle mouillait. Je me suis penché pour me rapprocher encore un peu. Seuls quelques centimètres me séparaient de sa peau. J’ai levé les yeux vers elle, comme une question, et elle a acquiescé de la tête. J’ai embrassé ses lèvres intimes et me suis mis à la lécher, agenouillé à ses pieds, elle debout, me dominant de toute sa hauteur, dans son look de dominatrice, se laissant laper la chatte par son co-stagiaire, renversant la tête en arrière sous la montée du plaisir.

Louise a coulé dans ma bouche. Son goût était frais et salé comme un crustacé. Puis c’est elle qui s’est agenouillé et elle m’a dit de me relever pour me gratifier de la même attention. J’ai pu faire des photos d’elle en train de prendre ma queue dans sa gorge. Nous avons tiré un matelas d’un coin du studio pour nous installer dessus. Elle m’a taillé une pipe inoubliable, chaude et humide comme un french kiss en été. J’ai pu photographier ma bite contre son sexe, en train de la frotter ou de la pénétrer. Je ne pensais pas que ce shooting prendrait une tournure à ce point pimentée…

Nous avons posé le téléphone sur un support avec un retardateur pour nous prendre en train de copuler. Je l’ai prise à quatre pattes, essayant de me donner au maximum pour la photo, ce troisième regard qui excitait encore plus nos sens. Pour finir, elle a posé sans ses dessous, entièrement nue face à moi, se caressant d’une main pour que je photographie l’orgasme qu’elle se donnait. C’est une expérience “professionnelle” dont je me souviendrai !

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