Les 400 coups
13 février 2025![](http://interstron.ru/javfull/wp-content/uploads/2025/02/histoire-de-sexe-les-400-coups.jpg)
Depuis quelques mois, j’ai pris un amant. Oui, car mon copain me saoulait un peu, je le trouvais plan-plan. Je l’aime, mais j’avais besoin d’un peu de sel dans mon quotidien. Un peu de pep’s, quoi ! Surtout qu’il n’est pas très joueur. Or, moi j’ai besoin pour kiffer d’un petit brin de folie. Alors, je me suis dégoté un mec un peu fou-fou comme moi, sur une application de dating et avec lui, je fais les 400 coups du cul. Par exemple, notre dernier méfait en date a été de s’amuser à me prendre en photo dénudée dans l’espace public. Bien sûr sans témoin, mais avec toujours ce risque qui nous tenait à la gorge. Je vous raconte tout dans cette histoire de sexe amateur.
Un amant et des exhibitions
Ça nous a pris, la première fois, lors d’un de nos rendez-vous coquins. Ce jour-là, nous nous étions retrouvés dehors, dans un café où nous avions commencé à nous chauffer gentiment par-dessus nos verres. Puis nous nous sommes baladés dans la rue, dans un quartier suffisamment loin du mien pour ne pas risquer de tomber sur mon mec. C’est alors que nous avons trouvé cette rue déserte, bordée de vieux lampadaires éteints, à l’abri des regards indiscrets. J’ai rigolé en déboutonnant le haut de ma veste, me dévoilant un peu plus sous ses yeux, tout en gardant une fausse part de mystère. Il m’a prise en photo avec son téléphone, son regard trahissant son excitation. J’adore le voir suspendu à chacun de mes gestes, dans l’attente de ma prochaine action qui l’aidera à faire dresser sa queue.
« Regardez-moi comme ça », murmura-t-il en cadrant. Je me suis appuyée contre un mur rugueux, relevant ma jupe un peu plus haut que ce qui serait jugé raisonnable. Je me sentais libre, un peu sauvage. J’ai ouvert ma veste sur mon torse. Surprise, je n’avais rien en dessous ! Juste ma poitrine nue et mes petits seins refroidis par l’air frais du Nord. Nous partagions tous les deux ce goût pour la transgression, le fait de ne pas être très sages…
Poussés par l’envie d’en faire plus, alors que la nuit tombait, on a pris la voiture pour aller s’encanailler aux abords d’un petit bois en périphérie de la ville. La fraîcheur de la nuit caressait ma peau à travers la vitre baissée, amplifiant l’adrénaline qui pulsait dans mes veines. Quelques kilomètres plus loin, un chemin de campagne nous a fait de l’œil. Il n’y avait que nous deux et les étoiles.
Je suis sortie du véhicule en l’invitant à faire de même d’un signe de tête. Il faisait frisquet, j’avais une jupe chaude, un manteau, des bottes. Je me suis avancée sur la route en riant, en plein dans ses phares de voiture. Et hop, j’ai baissé ma jupe pour lui montrer mon cul. Apparition prise dans ses feux, en rase campagne. Ça l’a grave chauffé. J’ai senti cette liberté mêlée au danger, comme si nous étions seuls au monde. Mon rire a résonné dans la nuit qui n’appartenait qu’à nous. J’ai dandiné mes fesses sur cette route plongée dans la pénombre et j’ai fait la pitre.
Adultère en photos
Quand je suis remontée à côté de lui, il était chaud bouillant. Il nous a reconduits chez lui en roulant vite, ma main dans son froc à caresser sa queue, qu’il avait bien raide et bien durcie par le désir. Quelle joie de constater l’effet que je lui faisais ! Une fois chez lui, nous avions tellement fait durer la montée du désir que nous nous sommes jetés l’un sur l’autre. Moi sur sa queue, que j’ai pompée avec force. Il a encore pris quelques photos de moi en train de le goûter, puis de moi en sous-vêtements.
Pour prolonger encore le plaisir des préliminaires, j’ai revêtu des accessoires avec lesquels nous aimons nous amuser, bas, long gants à résille. Il pourrait me faire chanter, vu le nombre de clichés qu’il a de moi, mais il a eu la délicatesse de me les envoyer et de les effacer de son téléphone. Un chic type, je vous dis. N’en pouvant plus, j’ai fini sur le lit, prise comme une chienne pour ma plus grande satisfaction, sa bite se frayant un chemin avec fluidité.
Je ne suis pas du genre à aimer le sexe doux et lent, alors il m’a pilonnée tout en prenant des photos de mes expressions de plaisir en tenant son téléphone sur le côté. J’aime me mettre dans la peau de ce rôle de la chaudasse qui a trop le feu pour se contenter d’un petit missionnaire du samedi soir avec son copain. Cet amant a su capturer mon vrai visage.
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