Les queues Japonaises

La rédaction 10 octobre 2021

Je m’appelle Jia. J’ai 18 ans et j’aimerais partager mon histoire de sexe. Je suis émancipée suite au retour de mes parents au Japon, quand j’avais 16 ans. Je voulais rester en Belgique, où j’avais tous mes amis et où je faisais mes études. Je ne vais chez mes parents que tous les deux ans car les billets sont très chers. Et même si je suis heureuse de vivre ici, ma famille et ma culture d’origine me manquent. J’ai décidé récemment de devenir membre d’une association japonaise que j’ai trouvée sur Internet. Les membres sont des Belges fanas du Japon ou des expatriés qui veulent partager leur culture. C’était le cas de Ken et Yugo.

Retrouver ses racines

Ken a trente ans et il est très beau. Brun, mat de peau, des yeux en amandes avec des longs cils, les cheveux mi-longs, un corps athlétique. Plus petit et moins beau gosse, Yugo a énormément de charme, avec ses pommettes taillées et ses looks tendance. On s’est tout de suite bien entendus, moi et les deux colocataires, et on a commencé à aller boire des coups après les soirées de l’association. On se draguait pas mal mais, comme je les voyais tout le temps écrire à des filles sur leur portable, je prenais ça pour un jeu qui n’irait pas bien loin.

Jusqu’à ce soir-là, alors qu’on sortait d’une tournée des bars. Le coquin Yugo m’a branchée : «Tu veux te connecter à tes racines. Mais est-ce que tu as déjà couché avec un Japonais ? L’amour, c’est quand même la base de l’héritage.» J’étais désinhibée par l’alcool, d’où ma réponse : «Non, mais j’aimerais bien. Faudra juste que je choisisse entre toi et Ken». Yugo ne s’est pas démonté : «Ça tombe bien, on n’est pas jaloux. On peut partager. On l’a déjà fait, tu sais ?» J’ai rougi et il a éclaté de rire. J’ai voulu reprendre le dessus : «Parfait ! On attend que Ken raccroche son portable et on va chez vous». Yugo m’a prise par le bras et m’a entrainée dans la rue, ignorant son coloc en grand conversation téléphonique. Nous allions vers leur appart’.

Je connaissais leur grande coloc’ avec un mobilier design, mais pas la salle où m’a emmenée Yugo, tout au fond. Contrairement au reste de leur domicile, les murs avaient été laissés bruts, comme dans une cave. Un lit était au centre et un placard, contre le mur. J’ai réalisé que cette pièce avait une utilité bien particulière… Mes réflexions ont été interrompues par le claquement de la porte d’entrée. Ken. Quand il est entré, j’ai vu à son regard qu’il avait été prévenu par son coloc. Ils allaient me faire tourner et ça le rendait fou de désir. Il s’est avancé vers moi, encore plus sexy que d’habitude. Quand nous nous sommes embrassés, c’est comme si mon esprit quittait mon corps et que je les regardais faire.

La pièce de la baise

Car Yugo est entré dans la danse, lui aussi. De longs baisers à trois, avec les langues qui s’emmêlent et les lèvres qui brûlent. Nous avons fini dénudés. Je ne portais plus que mon cardigan rose et ma culotte quand ils m’ont emmenée sur le lit. Je me suis vue d’en haut tandis qu’ils se mettaient en position. Deux sexes tendus et moi, au milieu, qui m’en empare. Le goût aigre dans ma bouche. Le rythme qu’il faut trouver, les glands qui se touchent et s’électrisent, mon sexe qui se met à mouiller comme une fontaine. Yugo et Ken soupirent à l’unisson, connectés via mes lèvres.

Puis Ken craque, il me soulève et m’assoie, jambes ouvertes. Le jeu qui suit est terriblement excitant. Les deux amis jouent avec ma culotte, titillent mon clito, poussent le tissu en moi… Yugo me saisit à son tour, me met à genoux, visage plaqué contre le lit. Ma culotte est arrachée. Mon cul est écarté, ma vulve reçoit un premier doigt. Je ne sais plus à qui appartiennent les mains qui me caressent. Mes cris sont étouffés par le matelas, car oui, je crie, maintenant. De plaisir et d’excitation : je sais ce qui m’attend.

Yugo profite de la position et m’enfile. Comme ça, sans attendre que je réclame. La mouille qui coule à flots suffit à dire ce que je veux… Son sexe est dur comme du bois. Mais la vraie surprise, c’est Ken, en face, qui écarte mes cheveux et guide doucement mon visage vers sa queue. Après quelques instants de rodage, il prend toute la place. Je lève les yeux : son regard noir est aimanté à ma croupe, que Yugo a saisie pour mieux me pilonner. Le beau gosse ordonne : «Vas-y, mets-lui à fond ! Plus fort !» Je lâche des bruits inarticulés car je suis à présent secouée des deux côtés. Je ne sens même pas quand Yugo éjacule en moi. Ken me bascule soudain sur le dos.

Entre deux soupirs d’épuisement, Yugo se lève pour admirer la scène. Ken me baise tandis que je suis sur le dos, jambes retenues par ses bras puissants. Il lève les yeux au ciel et souffle : «Tu es pleine…» Je comprends alors qu’il sent le foutre de son ami et qu’il va venir, lui aussi… Je voudrais jouir mais j’attends la dernière seconde, celle où je le sens se raidir et tout balancer. Ma chatte dégouline, Ken fait vibrer son index sur mon clito et pousse un râle animal. La délivrance, enfin. Je pars dans un hurlement.

Gentlemen, les deux coloc’ m’ont proposé un dernier verre puis m’ont offert le taxi. Je n’ai pas osé les recontacter mais je rêve de la salle du fond et de ce mystérieux placard qu’ils ne m’ont pas encore fait explorer.

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