Week-end germa…nique !
4 avril 2025Paolo, 42 ans, va se rendre dans une soirée techno libertine à Berlin, où il rencontrera deux belles chaudasses bisexuelles !
Paolo nous fait part de son histoire de sexe avec son ami Manuel et ses 2 invitées sexy !
Tous les ans, nous passons une semaine à Berlin avec Manuel, mon meilleur ami. Il est plein aux as et m’invite pour sept jours de folie ! Versé dans le BDSM, il a ses entrées partout, en particulier dans la capitale allemande, renommée pour ses clubs très spéciaux et ses fêtes undergrounds déjantées !
Direction l’hôtel pour ses demoiselles
C’est dans une usine désaffectée que nous avons rencontré Pétra et Johana, deux bombes libertines, soumises et de surcroît bisexuelles ! Elles portaient tout l’apanage, tenues cuir et latex, chaînes et colliers. Après nous avoir pompés entre deux frénésies musicales aux accents technos, nous avons décidé de poursuivre la soirée dans notre hôtel. Ce sont elles, les petites coquines, qui ont pris les premières photos, nous avons donc continué tout en entreprenant ces demoiselles.
Dès les premières caresses, elles se sont avérées être de véritables fontaines, les chattes coulaient sans sembler vouloir se tarir, des rus émergeaient de leur fente et toutes deux n’avaient qu’une obsession, capter nos queues pour les sucer tout en écartant les cuisses au maximum afin de nous révéler tous leurs secrets et nous inviter à les doigter le plus profondément possible.
Pétra, dans son ensemble lacé, s’est totalement offerte à nous, allongée sur l’horrible couette à carreaux, je lui ai donné ce qu’elle souhaitait, ma bite à pomper et, penché sur son corps de folie, j’ai joué avec sa moule trempée. Son clitoris était très sorti de sa gangue protectrice, cela a été un jeu d’enfant de la faire jouir, elle est venue sans retenue, sans se soucier des cris qui provenaient de sa gorge ouverte.
Un sandwich à deux saveurs
Manuel, qui lui tenait les jambes, s’est étendu à son tour et a attiré la blonde incendiaire sur lui. Il est monté comme un âne. D’un côté je suis jaloux de la taille de son engin, d’un autre, les filles m’autorisent souvent plus de choses, ma queue passe facilement partout, même dans les orifices les plus serrés.
Pétra s’est introduit l’énorme chibre dans la chatte tandis que sa copine prenait le relais côté photos, je me suis glissé à genoux dans l’enchevêtrement de cuisses et, mes mains en appuis sur ses reins, j’ai tâtonné du bout de la bite, mon gland cherchant l’entonnoir de l’anus.
Pétra s’est tortillée pour l’aider dans ma tâche et enfin, j’ai pu l’enculer. Ma petite verge n’a eu aucun mal à passer les défenses de l’anneau. Le doux visage de celle qui était prise en étau s’est tourné, elle souriait d’extase de se sentir ainsi possédée de tous bords.
Nous avons accordé nos mouvements avec Manuel, nos pénis étaient tels deux pistons bien réglés, bien huilés, allants et venants, l’un dans le vagin, l’autre dans l’œillet désormais parfaitement ouvert. Notre cavalière a joui deux fois avec les mêmes cris désinhibés et des contractions dans le sphincter qui m’ont confirmé que ses orgasmes n’étaient pas feints.
Au tour de Johanna la sublime
Johana a alors montré des signes d’impatience, nous nous sommes excusés et l’avons conviée à nous rejoindre. Elle s’est lovée comme une tigresse à nos côtés et, à quatre pattes, a exhibé sa chatte et la raie de ses fesses bien écartée. Son sexe était sublime, j’en ai fait un gros plan avant de poser une bouche gourmande dessus.
Au contraire de sa copine, Johana poussait de petits gémissements timides et très mignons. Cela ne l’a pas empêchée de venir aussi vite et aussi fort qu’elle. Après nous avoir sucés tous les deux, elle a demandé à subir le même traitement que Pétra, mais en inversant les rôles des garçons, elle voulait que ce soir manuel qui l’encule.
J’avais eu mon lot, je lui ai donc cédé la place sans opposition. Il a été très doux et ne s’est pas pressé. À force de lubrifiant et en y allant centimètre par centimètre l’intégralité de sa hampe s’est retrouvée tout entière dans le tunnel étroit. Il bandait tellement fort que je pouvais sentir les pulsations dans sa bite à travers la fine cloison qui la séparait de la mienne. La montée a été plus lente pour Johana, il faut dire qu’elle a dû dompter l’énorme tube qu’elle se prenait si profondément dans les fesses, mais son extase a été à la hauteur de son attente, surtout lorsque les doigts de Pétra sont venus jouer en frétillant sur sa perle rose.
Ces dames avaient eu leur dose de plaisir, elles souhaitaient, en bonnes soumises, nous rendre la pareille. C’est en position de génuflexion que nous avons été délivrés. Chacune avec un membre en bouche, elles nous ont sucé et peloté les couilles, s’embrassant à pleine bouche lors de quelques interruptions très érotiques, jusqu’à ce que nous nous vidions les bourses dans leurs gorges ouvertes.