La réceptionniste
3 octobre 2025
J’étais en vacances dans le Sud quand j’ai fait la connaissance d’Estelle. Dès que je suis entré dans le hall de l’hôtel où je devais séjourner, mon regard s’est accroché à elle. Derrière son comptoir, elle portait un sourire aussi lumineux que le soleil qui baignait la côte. Une voix douce, un regard pétillant – elle n’avait pourtant échangé avec moi que quelques mots polis en me tendant la carte de ma chambre –, mais déjà elle m’avait troublé.Voici mon histoire de sexe érotique.
Rencontre à la réception
Chaque matin, je trouvais un prétexte pour passer à la réception. Un renseignement sur les excursions, un problème inexistant avec la climatisation, même un simple « Bonjour ». Et à chaque fois, elle me souriait avec cette bienveillance naturelle qui me donnait l’impression d’être le seul client de l’hôtel. Un soir, alors que je revenais d’une longue balade, je l’ai trouvée assise sur le banc près de l’entrée, profitant de la brise nocturne. Nos regards se sont croisés et cette fois, c’est elle qui m’a adressé la parole.
-Vous aimez les couchers de soleil ?
-Ça dépend de la compagnie.
Elle a ri. Peut-être que mes vacances allaient devenir plus belles que je ne l’imaginais.
Je venais d’acheter une bouteille de vin local. Il n’y avait personne, il était minuit et les clients étaient tous couchés. Nous l’avons débouchée et elle est allée chercher deux verres à pied au bar pour nous servir. Nous avons siroté ce vin blanc sec et frais tout en discutant. Elle a continué à regarder l’horizon, avec un sourire en coin. L’instant était parfait, suspendu, et pourtant, une part de moi redoutait de briser cette harmonie en allant trop vite. Je ne voulais pas la mettre dans une posture délicate vis-à-vis de son travail. Aussi, après avoir discuté de nos vies et nous être fait comprendre que nous nous plaisions, je suis monté dans ma chambre en lui disant que ma porte lui était ouverte si elle voulait poursuivre la discussion.
Une heure plus tard, je rêvassais dans ma chambre, fenêtres ouvertes, la peau légèrement humide de sueur, avec le désir de cette femme qui me trottait encore dans la tête et le corps. C’est alors que j’ai entendu toquer doucement à la porte. Je suis allé ouvrir et elle était là, Estelle, la réceptionniste, avec son haut légèrement entrouvert sur sa poitrine, quelques cheveux, s’échappant de son chignon, collés contre sa nuque à cause de la sueur. Je l’ai fait entrer. Nous nous sommes assis sur les fauteuils près de la fenêtre pour profiter de l’air du dehors.
Une réceptionniste ouverte
Nous avons continué notre discussion, puis elle s’est levée pour s’asseoir sur mes genoux et m’enlacer. J’ai été un peu pris de court, mais je lui ai enlacé la taille en retour. J’ai senti l’odeur de son parfum mêlée à celle de sa sueur de fin de journée. Elle m’a embrassé. Nos bouches se sont ouvertes, nos langues se sont rencontrées. Elle a collé sa poitrine contre la mienne, j’ai senti ses seins s’écraser contre moi. Elle a déboutonné ma chemise et j’en ai fait de même avec son haut sexy orange que j’ai pris grand plaisir à remonter pour dévoiler sa peau hâlée centimètre par centimètre. J’ai aussi déboutonné sa jupe-crayon qui est tombée sur ses jolis pieds chaussés d’escarpins. Elle était en string et en talons, éblouissante. Elle les a retirés pour se retrouver pieds nus sur la moquette. Nous sommes tombés à la renverse sur le lit, toujours enlacés, nos corps moites enfin peau contre peau.
La complicité entre nous était telle qu’elle a attrapé son téléphone pour nous prendre en selfie sur le lit pendant qu’elle commençait à me branler. Elle aimait jouer et nous avions une grande complicité. Son t-shirt était relevé sur ses seins blancs, ornés d’une marque de bronzage qui tranchait avec le cuivre de la peau de ses épaules. J’ai pris des photos d’elle alanguie sur le lit. J’ai vu qu’elle aimait jouer à ce petit jeu des photos pour amplifier encore notre excitation. Une fois nue, elle m’a laissé la prendre en photo en contre-plongée, pour que je puisse admirer sa fente. Elle n’avait aucun tabou. Elle s’est doigtée par-derrière avec ses mains délicates pour des photos encore plus sensuelles. Puis elle s’est allongée sur moi, son dos contre mon torse. Je l’ai prise par en-dessous et elle a immortalisé ma queue en train de la pénétrer. Vertige de nous voir sur l’écran de nos téléphones, de voir mon membre fermement enfoncé dans son sexe. Elle s’est caressé le clito en même temps. J’ai senti sa cyprine couler sur moi.
Elle s’est retirée pour se mettre à me sucer avec lenteur et sensualité, tout en se caressant les seins pour s’exciter en même temps. J’adorais qu’elle prenne les rênes de son désir et aille au bout de ce fantasme qui aurait pu compromettre son emploi. Délestée de son uniforme de réceptionniste, Estelle était encore plus attrayante. Elle n’avait plus cette barrière de la politesse ou des sourires un peu figés que lui imposait la réception. Elle a détaché son chignon et a continué à me gober avec sensualité, à tel point que j’avais du mal à retenir mon éjaculation. J’ai pris des photos d’elle dans cet abandon, puis elle s’est installée à quatre pattes sur le lit pour que je la prenne. Je me suis engouffré en elle. Elle me jetait des regards de braise par-dessus son épaule tout en gémissant à chacun de mes coups de reins. J’étais entouré de sa chair qui prenait mon membre et j’ai éprouvé une telle extase de la sentir si proche, de me sentir à ce point en fusion avec elle… J’ai fait une photo de cette vue plongeante. Je n’aurais jamais pensé vivre ce genre d’aventure pendant ces vacances où j’étais censé me reposer et écrire au calme. Et voilà que j’étais en train de baiser comme un fauve avec cette déesse. Nous avons encore photographié nos ébats, qui deviendraient de jolies cartes postales de cette soirée que je ne suis pas prêt d’oublier.
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