Redevenir objet de désir

La rédaction 9 juin 2019

Camille, 36 ans, Fontainebleau.

redevenir objet de désir - histoire de sexe

Bonjour, moi c’est Camille, et ma vie n’a pas toujours été facile. J’ai été hospitalisée pendant de longues semaines pour un grave problème gastrique, j’ai perdu pas mal de poids (et de temps)… Mais cela m’aura permis de découvrir votre revue qu’une de mes amies m’a offerte pour tuer le temps !

Pour en revenir à mon histoire de cul, j’ai un très bon pote, Romain, qui m’a promis de me changer les idées le temps d’un week-end en m’emmenant au bord de la plage. On se connaît depuis l’enfance, et je savais qu’il saurait parfaitement comment me remonter le moral. Il avait loué une chambre d’hôtel pour deux (pour des raisons économiques principalement) avec une vue imprenable sur la mer ! J’avais l’impression de renaître, c’était terriblement bon. Je peux vous dire que rien ne vaut l’embrun marin qui vous caresse le visage lorsque vous avez été enfermé entre quatre murs blancs et stériles pendant de trop longues journées.

Mais le plus dur à subir, dans cette prison immaculée, c’est évidemment la privation de sexe. Enfin, j’arrivais à me masturber quelques soirs, mais c’est surtout le corps de l’autre qui me manquait. La chaleur humaine. L’odeur de la sueur. La complicité. Cette privation sensorielle était presque inhumaine. Alors forcément, le premier soir où je me suis retrouvée seule avec Romain dans la chambre d’hôtel, je n’ai pu m’empêcher de le rejoindre sous la couette. Il fallait que je me colle à son corps, que je caresse sa peau, qu’il me fasse me sentir femme, à nouveau. Romain a très bien pris mes avances et m’a enveloppée dans ses bras d’un geste protecteur. J’avais l’impression d’oublier tous mes problèmes d’un coup. Comme si plus rien ne comptait à part nos deux corps collés l’un contre l’autre.

Romain m’a donné quelques baisers tendres sur le front, j’ai trouvé ça très sensuel. J’ai massé tout doucement son entrejambe, pour m’assurer qu’il acceptait cette génitalité encore inconnue entre nous. Il n’a pas eu l’air d’en souffrir outre mesure et a fait de même avec ma chatte. Mon clitoris s’est immédiatement mis à gonfler, cela faisait trop longtemps qu’il avait uniquement les caresses de ma main. Je devinais à travers la toile de son slip que sa bite était plutôt petite mais tout de même assez dure. Heureusement ! Je ne suis pas sûre que mon corps aurait pu supporter tout de suite un gros calibre. Désireuse de le sentir entre mes reins, je suis montée sur son corps et me suis embrochée sur son sexe.
Ma chatte était à vif, j’avais l’impression de tout ressentir puissance 10. Je n’avais jamais autant fait l’amour en pleine conscience que cette nuit-là. Romain tentait de timides basculements de son bassin, comme s’il avait peur de me casser, de me blesser. Il tenait fermement ma taille de guêpe comme pour éviter que je tombe. Dans son étreinte, j’avais l’impression d’être une petite poupée de porcelaine. Une petite poupée bien cochonne et entièrement nue, mais une poupée quand même. C’était grisant de se sentir à nouveau objet de désir. Trop longtemps je n’avais été qu’un corps, manipulé avec froideur par des hommes et des femmes en blouse blanche, indifférents à mon ressenti, à mes émotions.

On se sent très vite objectifié. Un objet cassé que l’on tente de réparer par obligation plus que par réelle envie. Avec Romain, je redevenais cette femme vivante, sensuelle et sexuelle, cette femme que j’avais toujours été mais que la maladie avait transformée. J’étais celle d’avant. Comme je voyais que Romain accélérait ses mouvements, j’ai calmé le jeu. J’avais peur d’avoir mal, de ne pas supporter la cadence. Je suis venue le sucer tendrement à la place, le laissant éjaculer dans ma bouche tout le foutre qu’il avait su maintenir dans ses couilles. Il a essuyé la commissure de mes lèvres d’un geste amical. « Camille… » a-t-il soufflé, comme si enfin je redevenais cette Camille….

Voilà, c’était les souvenirs coquins d’une femme qui s’ennuie une fois de plus dans sa grande chambre d’hôpital…

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