À la quête des femmes bisexuelles!!

Cloth67 : Une femme seule dans les soirées privées

Originaire de Strasbourg, Cloth, 38 ans, a commencé par les clubs avant de s’orienter vers les soirées privées : « Quand je me suis lancée dans le libertinage, c’était au départ pour rencontrer des femmes bi et je me suis orientée naturellement vers les clubs. J’y ai passé de très bons moments avec de délicieux souvenirs, mais aujourd’hui ma recherche est différente. J’ai été déçue par certains établissements chez qui, cet esprit libertin qui m’avait totalement conquise, n’était plus du tout le même. »

Cloth s’oriente alors, et de plus en plus, vers les soirées privées toujours en quête de femmes bi, mais pour goûter à d’autres plaisirs, également. La région strasbourgeoise et l’Allemagne, à deux pas, sont des terrains de jeux où elle trouve régulièrement son bonheur : « Aujourd’hui, je prends autant de plaisir à coquiner avec des femmes qu’avec des hommes. En revanche, dans ces soirées privées, je croise rarement d’autres femmes qui vivent seules leur libertinage. Après avoir connu la foule, les clubs bondés, j’apprécie les soirées plus intimistes. J’aime me retrouver avec trois ou quatre couples, discuter autour d’un repas ou d’un verre et échanger avant d’aller plus loin. On commence parfois par un petit jeu de société érotique pour faire monter la température et le désir. »

Nos délires pendants les soirées

Le fait de se retrouver en petit comité, d’après Cloth, aide beaucoup à mieux s’accorder sur le plan sexuel : « Avant de se rencontrer pour une soirée privée, on dialogue ensemble, bien sûr. On connaît les attentes, les désirs de chacun, les fantasmes aussi. »

Elle a essayé plusieurs types de soirées privées : soirées à thème, soirées teintées de BDSM, ce sont les femmes qui décident de tout, et même une soirée privée allemande strictement réservée aux femmes : « En Allemagne, l’esprit est différent. Pendant l’absence de son mari, une amie a lancé une invitation pour une soirée rien qu’entre filles. On a beaucoup ri, un peu bu aussi et on s’est beaucoup amusées. Et bizarrement, les relations entre nous ont été beaucoup plus hard qu’en présence d’hommes. On a joué, on a testé, on avait plusieurs godes à notre disposition. On s’est quittées avec toutes la même idée en tête : à refaire… »

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