Une maison close de poupées pose ses valises à Paris !

Julia Malano 19 février 2018

La société Xdolls.fr lance un concept de location de poupées sexuelles dans la capitale française !

Un concept venu d’ailleurs

 Du Nord au Sud et d’Est en Ouest, on ne parle plus que de ces belles poupées siliconnées: un carton plein en Europe, en Asie et sur tout le continent Américain.

Victime de son succès la maison de Barcelone se voit par manque de discrétion de la part de ses clients via les réseaux sociaux. Une enquête qui s’est également ouverte mettait en doute la légalité de l’activité.

L’idée c’est la (ou presque) qu’il sera possible de « câliner » dans un espace dédié à ce type d’activité (une « maison close ») . Trois pièces, trois poupées, trois univers. Cela requiert un paiement en amont et la plus grande discrétion pour garder le lieu secret, bien qu’il n’ait rien de juridiquement illégal selon le fondateur.

Interdites depuis 1946, les font leur timide retour. Le gérant, Joachim Lousquy assure profiter d’un flou juridique: «Nous avons deux cabinets d’avocats qui nous suivent. Le cadre légal, c’est que nous louons des jouets, un morceau de métal avec du silicone.» 

Il déclare alors «C’est le futur! C’est comme dans les années 1980 où les premiers godemichés sont devenus à la mode. Désormais, c’est quelque chose de normal. C’est la même chose pour nous, c’est l’évolution du sextoy pour les hommes.  »

Paris et sa nouvelle maison de poupées

Après avoir fait succès dans quelques pays européens , les poupées débarquent à Paris ! Et plus précisément dans le XIVe arrondissement(mais chut c’est un secret).

La maison de Paris dispose de trois poupées « de luxe » avec qui il sera possible de partager un moment intime. Les prix s’élèvent à 89€ pour une heure à 149€ pour deux heures. L’entreprise propose pour . Et pour ceux qui le souhaitent, la possibilité de se la faire livrer à domicile (250€).

« Proposer en plein Paris un espace dédié aux poupées sexuelles, c’est inédit, et je m’attends à créer la polémique« , avoue Joachim Lousquy, avant de préciser :   «On ne vient pas ici pour avoir une relation sexuelle mais pour vivre une expérience novatrice qui relève davantage de la masturbation de luxe ». Selon lui,

À lire aussi, un robot sexuel programmé pour être violé ?


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru