Un petit tour sur les sites porno au parlement britannique !
10 janvier 2018160, c’est le nombre de tentatives d’accès journalier à des sites pornographiques dans les salles du Parlement Britannique !
Les chiffres tombent…
Press Association, une agence permettant d’accéder à des documents administratifs, révèle les données recueillies dans le réseau informatique du Parlement Britannique : les députés du Parlement auraient réalisé un total de entre Mars et Octobre 2017.
Ce qui fait une moyenne de 160 par jour!
Un porte-parole parlementaire défend : « Tous les sites pornographiques sont bloqués par le réseau informatique du Parlement. La grande majorité des tentatives d’accès ne sont pas délibérées. Les données montrent des demandes d’accès à des sites Web, et non des visites. »
Il ajoute ensuite: »Il y a 8 500 ordinateurs sur le réseau parlementaire, qui sont utilisés par les députés, leurs pairs, leur personnel et le personnel des deux chambres. Ces données couvrent également les appareils personnels utilisés lors de la connexion au Wi-Fi du Parlement. »
Un pic de tentatives de connexion se serait accentué au mois de septembre 2017, depuis la Chambre des Lords mais également de la Chambre des communes. Malgré tout, le nombre d’essai s’est considérablement réduit ces dernières années. Les chiffres s’élèveraient à 231 000 en 2015 et 113 208 en 2016.
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Damian Green, passion porno…
Cette histoire n’est pas sans rappeler une fin d’année chamboulée pour Damian Green, vice-premier ministre britannique qui a été . Il aurait nié la découverte de contenu pornographique sur son ordinateur. Le mercredi 20 Décembre 2017, il a été accusé à raison, par Kate Maltby, ancienne militante du parti travailliste.
Interviewé par un journaliste de la BBC, le détective de Scotland Yard, Neil Lewis affirme: » L’ordinateur était dans le bureau de Green, sur son bureau, connecté, avec son compte et son nom « .
Il poursuit « Entre la pornographie, il envoyait des courriels à partir de son compte professionnel, de son compte personnel, lisait des documents… C’est ridicule de suggérer que quelqu’un d’autre aurait pu le faire. »
Il rassure le journaliste en lui expliquant que les images n’étaient pas extrêmes et ne présentaient aucune image d’enfants ou d’abus sexuels.