Gérard le voisin voyeur

La rédaction 12 mars 2025

Jérémy, 58 ans, et sa femme Patricia s’éclatent au lit, mais quoi de mieux que de pimenter le tout avec…Gérard le voisin voyeur bien monté !

Jérémy nous raconte sa folle histoire de sexe à 3 vécue dans sa jeunesse.

Les années 80 ont été folles ! En tout cas, elles l’ont été pour Patricia et moi ! Nous avions soif de tous les plaisirs et d’explorer notre sexualité ! Nous baisions comme des malades, partout, chez nous, dehors, dans notre cage d’escalier jusqu’au jour où nous nous sommes fait surprendre par un voisin. Gérard n’avait rien de particulier, gentil, presque timide, il nous a suppliés de continuer et nous a demandé s’il pouvait se masturber en nous regardant. Patricia lui a répondu du tac au tac « Je peux vous proposer mieux que ça, si Jérémy est d’accord … un peu que j’étais d’accord !

Le petit (et le gros) oiseau va sortir !

Cinq minutes plus tard, j’avais mon appareil photo instantané autour du cou et Patricia, la bite de Gérard dans la bouche. Notre voisin s’est révélé être pourvu d’une queue bien épaisse qui bandait déjà, il avait dû nous reluquer un moment avant de signaler sa présence. Ma délicieuse épouse m’a regardé longtemps dans le fond des yeux tout en suçant ce beau bâton volumineux à souhait. J’étais aux anges, d’autant que je pressentais que notre invité était un vicelard de première, et je ne m’étais pas trompé.

Après cette fellation aussi passionnée que profonde, Patricia et notre hôte se sont dénudés, les petits seins de ma femme ont tout de suite été la cible de caresses tendres et de pincements plus mordants, tout ce qu’il fallait (et qu’il faut toujours), pour la faire mouiller jusqu’à l’inondation.

Ce joli couple nouvellement formé s’est lové en soixante-neuf. De là où j’étais, j’entendais les bruits de langue dans le cloaque de ma moitié ! Évidemment, à ce rythme de léchouille, ma chérie n’a pas été longue à venir et elle s’est laissé aller à un premier orgasme tonitruant. Je bandais comme un taré dans mon caleçon, mais j’ai respecté leur moment et je ne me suis même pas branlé, me réservant pour après le départ de Gérard.

 Sextoys dans tous les orifices

Sans doute précurseurs, nous avions déjà des godes (on n’appelait pas encore ces objets des ), l’un d’eux devait traîner sur le canapé et Gégé s’est ai saisi et l’a allumé. Les vibrations ont dû lui donner des idées, il s’est amusé à oindre le vibromasseur avec la mouille de plus en plus abondante de Patricia avant de lui enfoncer dans le con. Il a demandé à ma femme de se tourner et de lui présenter son arrière-train en levrette. Patricia s’est exécutée de bonne grâce. J’ai alors vu les fesses de ma chérie lentement se décontracter et s’abandonner de plus en plus. Cela a incité notre homme à extraire l’ustensile de son vagin et à venir agacer l’orée du trou du cul. Voyant qu’il n’offrait aucune résistance, il a poussé son avantage et l’anus a absorbé toute la tige rose fuchsia.

La sodomie qui s’en est suivie a été aussi profonde que plaisante pour tous. Gérard se branlait d’une main, de l’autre, il faisait entrer et sortir le jouet de l’orifice maintenant totalement ouvert et disponible. Il n’y avait plus qu’un pas à franchir, cela s’est réalisé dans la plus grande complicité. Le gode s’est envolé et c’est une vraie et bonne queue qui l’a remplacé. Ma moitié a toujours eu un penchant pour la sodomie, j’étais ravie de la voir se laisser ainsi attraper par le petit trou et de pouvoir observer sur son visage à quel point elle prenait son pied à se faire enculer de la sorte.

Elle a même demandé à notre voisin de continuer en changeant de position. Gérard s’est donc allongé sur le canapé et Patricia a pu venir le chevaucher de face comme de dos. Dans cette dernière variante, j’avais le privilège, non seulement de pouvoir détailler parfaitement la bite qui s’encastrait idéalement dans l’œillet de ma femme, mais également de voir sa chatte aux nymphes brunes et épaisses ainsi que son sourire mutin, trop heureuse de se faire démonter le derrière par une si bonne queue.

Deux fois plus de plaisir

Ma chérie a joui deux ou trois fois à ce petit jeu, puis le couple a diversifié les plaisirs, lui venant lui rebrouter le minou tout en la masturbant avec les doigts ou avec le jouet. Pendant ce temps, elle le suçait en mode gorge profonde et tentait une approche pour lui masser la prostate. Monsieur a donné son plein accord en écartant les fesses, ce qui fait qu’il s’est, lui aussi, retrouvé godé jusqu’à ce qu’il éjacule entre les lèvres de Patricia qui n’a pas laissé une goutte de sperme se perdre.

Gérard, vidé, heureux, m’a proposé de prendre sa place et j’ai rejoint ma belle blonde, la queue à l’air. Elle m’a turluté et je lui ai pris le cul devant un Gégé qui rebandait de plus belle et qui est venu se faire pomper le nœud. J’ai juté dans le fondement de ma femme qui a reçu une seconde dose de foutre au fond de la bouche ! Voici notre histoire de sexe, gardée précieusement dans un polaroïd nostalgique de ses belles années.


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