Boulot, Lolo, sodo

La rédaction 25 janvier 2025

Je rêvais depuis longtemps d’un trio avec mon mari, bizarrement, j’étais persuadée qu’il avait envie de me voir avec une autre femme, c’est le fantasme le plus répandu chez les hommes, mais pas du tout. Son côté candauliste m’a poussé à chercher non pas une amante, mais un amant. Voici notre histoire de sexe amateur.

Projet de triolisme

Pas le temps d’aller draguer, j’ai été pragmatique et jeté mon dévolu sur Laurent, un jeune commercial aussi fougueux que sportif. Je l’ai accompagné un midi à la salle de gym de la société et notre séance de CrossFit s’est terminée par une bonne pipe sous la douche ! Après plusieurs sessions de fitness et de fellations gourmandes, je me suis ouverte à lui de notre projet conjugal, d’abord réticent, il a fini par accepter. Le jour J, les deux mâles se sont jaugés et se sont immédiatement plus, à tel point que leur complicité a été quasi instantanée et que nous avions décidé de conclure notre petite affaire le soir même.

Nous avons loué une chambre d’hôtel et après une douche, nous nous sommes retrouvés à poil avec Laurent sur le dessus de lit à fleurs tandis que mon compagnon s’armait de son appareil photo pour immortaliser cet instant de partage intime. Il bandait aussi dur que mon amant, c’était bon signe, la situation l’excitait vraiment. J’ai raconté en détail comment j’avais séduit mon collègue ainsi que donné force détail sur nos baises furtives dans les vestiaires de l’entreprise, cela a fait bander Laurent comme un âne ! Mon mari l’a complimenté sur la taille impressionnante de sa queue, cela dit, il n’a pas eu l’occasion de la voir beaucoup ensuite puisqu’elle a disparu tout au fond de ma chatte sans que j’aie même eu le temps de la sucer un minimum.

J’ai senti mon con s’ouvrir, mes petites lèvres se sont écartées au passage de son chibre, mon clitoris a bientôt été écrasé par un pubis bien rasé, j’ai écarquillé les yeux, jeté un regard à mon homme et me suis laissée baiser comme une reine. Je n’avais rien à faire, ce qui est tout à fait à mon goût, j’aime être passive pendant le sexe et dominée par un amant qui sait ce qu’il veut. Et Laurent savait ce qu’il voulait, me faire jouir par tous les trous et le plus grand nombre de fois possible.

Ses coups de pistons étaient aussi puissants que rythmés, il ne soufflait même pas, régulier, j’ai presque eu l’impression d’être démontée par une machine ! Toujours est-il que cela a été très efficace, entre mon homme qui me matait et Lolo qui ne se lassait pas de m’enfoncer sa longue et grosse bite dans la chatte tout en me pelotant de partout, en me mangeant les seins, en jouant avec mes nibars et en me glissant des doigts dans le cul, j’ai joui tout mon saoul ! J’en ai même crié alors que je suis plutôt une taiseuse pendant le sexe, ce qui a le don de frustrer mon mari !

Sodomie et candaulisme

Après plusieurs décollages, je me suis alors fait bouffer le minou, un délice également, index et majeur dans le con, annulaire et auriculaire dans l’anus et une langue qui n’arrêtait de flirter avec mon clitoris et l’entrée de mes deux orifices, cette séance de cunnilingus m’a ouvert l’esprit à d’autres pratiques. J’avais briefé mon amant sur mes appétences anales et c’est une proposition que l’on a rarement besoin de faire deux fois à un homme. La raie de mes petites fesses était totalement inondée de mouille et de salive, ma porte arrière était largement ouverte, le forage en règle qu’elle venait de subir avait fait son office, le gland volumineux s’est glissé par le sas assoupli et toute la hampe a suivi.

J’avais déjà pris gros par-derrière, mais jamais à ce point ! Je savais mon sphincter distendu, heureusement, j’étais allongée sur le ventre et j’ai pu mordre les draps durant les premiers aller-retour. Quand le chibre a fini de creuser son logement, la douleur est passée et j’ai commencé à sentir une douce chaleur envahir tout mon bas-ventre. J’ai envoyé une main fureteuse à la recherche du paquet de Laurent et je lui ai malaxé les boules jusqu’à ce qu’il jouisse en plusieurs giclées puissantes qui ont inondé ma grotte secrète. Lorsqu’il s’est retiré, le sperme a coulé de mon trou béant sur les draps et j’ai goûté cette semence qui était tout à fait à mon goût.

Mais Laurent bandait toujours et je voyais bien que mon cher et tendre avait atteint sa limite, il fallait que je fasse quelque chose, c’est donc en double que la soirée s’est achevée. Une queue dans chaque caverne, mon corps parsemé de caresses, j’ai eu un orgasme terrible et mes tremblements ont déclenché deux belles éjaculations quasi simultanées.

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