Un cours à noter dans les an(n)ales !
12 mars 2025Chloé, 22 ans, tombe sous le charme d’un de ses professeurs âgé de 31 ans : Dimitri. Après un cours très particulier, il lui dévoile toute son anatomie !

Chloé nous raconte son histoire de sexe qu’elle à vécu avec son professeur d’économie, oubliez Adam Smith car Dimitri montre sa bite !
Bonjour à tous les lecteurs d’UNION,
J’ai à peine 22 ans, mais déjà, je sens que j’ai réalisé l’action la plus osée de ma vie sexuelle. Alors que toutes mes copines bavaient devant notre professeur d’économie, Dimitri, un sublime biélorusse de tout juste 31 ans, j’ai osé l’aborder à la fin d’un cours, à la faculté de Lille. J’ai prétexté une incompréhension sur un point de son exposé, tout en matraquant quelques compliments polis, au fil de mes questions.
Un cours très particulier
Il m’a interrompue, d’un coup. « Mademoiselle, vous me draguez là ? » Démasquée, je me suis mise à rougir, à nier du bout des lèvres, à m’excuser de mon manque de clarté. Mais je voyais à son petit sourire en coin que l’interaction lui plaisait (et qu’il n’était pas non plus insensible à mon charme). J’ai donc fini par lâcher : « Oui, monsieur, je vous drague. Je voudrais vous inviter à boire un verre. » Ça avait au moins le mérite d’être franc et honnête, et ça me permettait de le regarder droit dans les yeux. Il s’est penché à mon oreille et m’a proposé quelque chose d’encore plus salace : « Non pour le verre. Mais je vous invite chez moi. Ce n’est pas d’un soda dont votre bouche a besoin. » Je n’ai pas su quoi répondre tant son audace surpassait la mienne ! Et il était doué en négociation, ce Dimitri. J’ai accepté en plaçant ma main dans le creux de la sienne, aucun son ne pouvait sortir de mes cordes vocales, de toute façon.
Mes copines m’ont fait plein de signes quand elles nous ont vu sortir tous les deux du campus. Je comprenais bien à leur regard qu’elles crevaient de jalousie !
Nous sommes allés chez lui à pied, il habitait dans une résidence à 10 minutes à peine de son lieu de travail. Il en a profité pour me bombarder de tout un tas de compliments sur le chemin — comme quoi il m’avait remarquée depuis le jour de la rentrée et qu’il trouvait toujours mes réflexions très pertinentes. J’étais très flattée d’avoir réussi à taper dans l’œil (et l’esprit) d’un homme aussi distingué que lui.
Chloé veut se faire démonter
Notre discussion amplifiait les papillons qui voltigeaient déjà dans mon ventre. Aussi, à peine le pas de sa porte passé, je l’ai embrassé à pleine bouche. Je me suis littéralement pendue à son cou et il a glissé ses mains autour de mes hanches. J’avais l’impression de flotter, que mes jambes me lâchaient. J’étais si inconsciente ! Jamais je ne me m’étais permise un geste aussi audacieux de ma vie, et surtout, d’aller si vite dans les étapes avec un homme. Sa bouche avait le goût de la menthe fraîche, le goût de la maturité aussi. Et puis, ne sachant comment continuer l’interaction, j’ai commencé à me déshabiller. Mes vêtements ont volé un à un. Et je me suis retrouvée nue face à lui, encore habillé, le manteau sur les épaules. Il s’est mis à rire en me disant : « Qu’est-ce que tu es empressée ! Tu avais vraiment envie de moi ! » puis il a plongé son regard dans le mien et m’a dit : « Je veux que tu me déshabilles, moi aussi je veux être nu près de toi ».
J’ai trouvé cette demande incroyablement sexy. J’ai retiré un à un tous ses vêtements. Le moment le plus excitant, c’était de déboutonner sa chemise et de découvrir les poils de son torse. Tout nu, il était encore plus beau qu’habillé ! J’avais envie de prendre plein de photos pour mes copines de cours, mais c’est lui qui a pris l’initiative d’immortaliser le moment. « Et si je conservais quelques souvenirs pour ma collection personnelle ? » m’a-t-il demandé d’un air coquin. J’ai accepté, très fière de faire maintenant partie des souvenirs de son téléphone.
Il a commencé par prendre en photo ma chatte. Il jouait avec mon piercing, celui que j’avais fait placer près de mon clitoris et il l’a léché de la pointe de sa langue. Inutile de vous préciser que je mouillais déjà à grandes eaux. Puis, il a pris aussi quelques photos d’autres parties de mon corps, de mes petits seins et de mon cul. C’était très étrange de jouer les exhibes, mais en même temps très excitant de commencer une histoire de sexe ainsi.
Révisions pour la partiel de sodomie
J’ai eu moi aussi envie de sucer sa belle queue. Elle était déjà très dure, glabre et très belle. Certains garçons de mon âge, avec qui j’avais déjà fait des trucs, l’avaient un peu de travers ou avec un gros prépuce. La sienne était sublime. Je l’ai prise en bouche et l’ai sucée le plus fort possible. J’y allais gaiement, plongeais ma tête au plus loin, jusqu’à ses bourses et je remontais ensuite dans un grand jet de bave.
Dimitri me félicitait, il me disait qu’il n’avait jamais vu une fille prendre autant d’initiatives et avoir tant de compétences. J’étais ravie de me démarquer du lot.
Il m’a ensuite avoué son péché mignon : la sodomie. Je n’avais jamais encore testé cette pratique sexuelle, mais j’avais très envie qu’il devienne aussi mon professeur dans cette matière, même si elle n’était pas au programme des partiels ! Il m’a expliqué et montré comment il voulait bien lubrifier mon cul, dilater mon anus, comment pousser pour éviter d’avoir mal et il est rentré, centimètre par centimètre.
C’était une sensation absolument incroyable de me sentir écartelée par l’arrière. Je me masturbais en même temps pour dissiper quelques inquiétudes. Et puis, quand tout son membre fut en moi, j’ai enfin senti monter les salves de plaisir. C’était absolument divin de le sentir bouger ainsi au fond de moi, les sensations étaient décuplées. J’ai joui rapidement comme ça, la main sur mon sexe et sa bite dans mon cul.
Il a joui aussi, quelques secondes après.
Je suis vite repartie, après l’avoir remercié de « son deuxième cours du jour, plus privé ». Il m’a dit qu’il fallait que je vienne plus régulièrement pour obtenir mon diplôme de « petite dépravée ». Et j’en avais bien l’intention de poursuivre cette histoire de sexe !
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