Une Scandinave offerte

La rédaction 27 janvier 2023

Je m’appelle Christophe, j’ai 43 ans et j’ai une histoire porno à partager.

Du porno à la réalité

C’est ma femme ! Ma femme ! Qui a insisté pour qu’on prenne une jeune fille au pair ! Et comme je ne peux rien lui refuser, j’ai dit oui. Et voilà qu’Agnetha a débarqué de sa Suède natale il y a trois mois, avec une énorme valise, une paire de nénés à vous arracher le slip, un cul parfait et un septum irrésistible. Avec son look décalé et ses paupières tombantes elle m’a tout de suite fait penser à la nana punk dont on suit les aventures du roman « Millenium », Lisbeth Salander. Et je n’étais pas loin de la vérité. Geek, se foutant des diktats de la mode, aimant le foot, la bière et, j’allais le découvrir très vite, le sexe !

Comme tous les hommes je me masturbe régulièrement, mon épouse est toujours une amante, mais après vingt ans de mariage et trois enfants, nous n’avons plus autant la niaque pour baiser. Une ou deux étreintes mensuelles, tout au plus…

Un matin, pas moyen de retrouver ma tablette. Isabelle, ma femme, était partie pour la semaine chez ses parents avec notre progéniture et j’avais envie de me payer un peu de bon temps en compagnie de madame « veuve poignet ». J’ai appelé Agnetha à la rescousse et j’ai entendu sa voix au fond de l’appartement. Elle était dans sa chambre. J’ai toqué et j’ai entendu un «Oufre !» étouffé. (Elle a encore du mal avec les V). Je suis entré et j’ai trouvé la jeune fille au pair à moitié nue, tout juste vêtue d’un ensemble de lingerie rouge. Les genoux au sol, son corps était penché sur son lit et elle matait le dernier porno que j’avais téléchargé.

«C’est… chiant de chuste rekarter… c’est mieux… faire non ?» Même avec son accent et son français encore approximatif, l’invitation était claire. Sans me laisser le temps de répondre, elle a abandonné la tablette, s’est tournée et m’a foutu le zgeg à l’air. Aussi vite dénudé, aussi vite avalé ! Quelques secondes plus tard, j’étais à moitié à poil et Agnetha me bouffait les couilles avec une voracité que je n’avais plus connu depuis longtemps chez ma femme.

Son piercing m’excitait, sa blondeur aussi. J’ai vite grossi et elle m’a branlé tout en embrassant mon gland, mon ventre et mes burnes qu’elle gobait de temps à autre. Le temps d’attraper la tablette et, sans lui demander son avis, je l’ai photographiée en train de me sucer les boules. Elle avait beau être jeune, la belle suédoise savait s’y prendre, pour sûr.

Ma queue et mes bourses rasées de près bien recouvert de salive, elle s’est relevée, a enlevé sa culotte et a repris sa pose, cul bien écarté vers moi. Je ne savais pas si la pipe était le plat de résistance, je restais là, à la regarder comme un con. Elle est alors grimpée sur le lit et s’est allongée, le rouge de la dentelle du soutif faisait contraste avec la blancheur scandinave de sa peau, elle a replié les jambes et a commencé à se caresser, ses doigts dessinant des arabesques sur son clitoris et ouvrant ses lèvres afin de me monter son cône mouillé et tout brillant de cyprine.

La chatte Scandinave

Le reste est allé de soi, si je puis dire. Je l’ai encore prise en photo tant l’instant était surréaliste. Elle a commencé à se doigter, la chatte puis le cul, suçant ses doigts comme une chatte déchaînée. Elle minaudait, miaulait, geignait. Je l’ai rejoint sur le lit, les lattes du sommier ont grincé sous mon poids, son parfum, accord de mimosa, de freesia, de violette et de jasmin m’est monté à la tête.

J’ai pensé à ma femme, je ne pouvais pas … ne pas posséder cette viking au petit drakkar de chair rose ouvert et brûlant. Je me suis débarrassé de ma chemise et je me suis allongé sur elle, elle m’a emprisonné les hanches avec ses jambes et je l’ai baisée comme je baisais mon épouse lorsque nous avions vingt ans. La même fougue, la même énergie, un peu de souffle en moins mais, de la technique et du savoir-faire en plus. J’ai cessé de la limer pour descendre lui lécher son sillon. Acidulé et parfumé, j’ai découvert d’autres flaveurs que celles du fourreau de mon officielle, son cul sentait bon aussi, boisé et ardent. J’ai osé une langue là, pas de soucis, l’anneau s’est ouvert et j’ai senti comme une invitation à y aller plus franchement. J’ai poussé un doigt puis deux, quelques secondes plus tard, Agnetha était en levrette, elle guidait elle-même mon pieu au fond de son anus visiblement rompu à l’exercice sodomite.

Elle écartait ses fesses pour que je l’encule au plus profond, je n’ai pourtant pas une petite queue et je n’ai que très rarement eu l’occasion de la planter entièrement dans l’anus de ma femme. Là, ça rentrait tout seul, Agnetha y a même rajouter des doigts par en-dessous ! Je l’ai baisée pendant des heures, des jours, la semaine est passée en un battement de paupière, j’ai même posé des jours de congé tant je voulais consommer cette parenthèse jusqu’au bout du bout.

Et est venue la veille du retour de ma femme, Agnetha a vu ma mine de chien battu, non que je n’aime pas Isabelle mon épouse, mais j’allais retrouver la platitude de saillies aussi mornes que monotones. Quand elle m’a appelé une nouvelle fois dans sa chambre. Elle était à poil, comme toujours mais, avant que nous ne nous envoyions en l’air une dernière fois, elle tenait à me montrer quelque chose sur son portable.

Baba, je suis resté baba. Là, sous mes yeux, s’étalaient des photos d’Agnetha en train de… bouffer la chatte d’Isa, ma chère et tendre. D’autres clichés montraient que cette dernière savait tout à fait rendre la politesse. J’ai été tour à tour, furieux, excité, malheureux, plein d’incompréhension puis la lumière a jailli. Notre « pièce manquante » pour que notre vie sexuelle se réveille enfin, c’était notre jeune fille au pair !

Depuis nous filons un parfait amour à trois, de temps en temps les filles font des trucs entre elles, parfois je ne baise qu’avec ma femme ou qu’avec Agnetha mais la plupart du temps, nous faisons l’amour tous les trois ensembles.

A lire aussi :

Une vengeance à trois 

LA blonde du VTC

Offerte à un pote Viking

À propos de l’auteur

La rédaction


Réagir à cet article

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

interstron.ru