D.R.H. – Direction des Ressources … Hédonistes
5 janvier 2025Voici mon histoire de sexe amateur. Je suis directrice du personnel d’une grande PME familiale, je ne manque ni de travail ni d’occasion m’amuser. Je me suis lancée dans un tour de France du sexe « corporate » et suis fière de vous présenter ma quarante-huitième étape, l’Ariège et mon crush local, Étienne !
Fellation et doigt de fée
Quand je suis arrivée dans l’agence de Foix, que des filles, ça n’était pas gagné, bien que je ne crache pas sur une aventure lesbienne de temps en temps, heureusement le commercial sénior est revenu de tournée le lendemain, du haut de ses cinquante ans, il m’a tout de suite séduite. Une voix grave, de l’humour, je n’y suis pas allée par quatre chemins et le soir même, je couchais avec lui.
Ses cuisses étaient musclées et il avait une lueur cochonne dans le regard, deux choses qui me font mouiller chez les hommes. Je ne m’étais pas trompé, lorsque je lui ai proposé de me photographier, il a sauté sur l’occasion. J’ai joué le jeu à fond, allant jusqu’à me faire doigter, par lui ou par moi. Cela a eu l’air de beaucoup lui plaire, Étienne s’est mis à bander aussitôt, il m’a léché le minou, très bien je dois dire, en n’omettant pas de sucer ses phalanges afin de les lubrifier avant de me le mettre dans les deux orifices à la fois.
Un orgasme plus tard, c’est la bouche qui entrait en action, sa queue était une des plus belles du groupe jusque-là, pas trop longue, mais épaisse et dure comme du bois. Je l’ai pompé, ses couilles et la base de sa hampe bien calée entre mes énormes nibards, il gémissait pour me signifier son approbation et poussait son membre pour que je le reçoive le plus loin possible. Il m’a prévenue de son éjaculation imminente, j’ai été à la fois flattée et inquiète d’une aussi piètre endurance, mais je n’ai rien dit, effectivement, Étienne a laissé son foutre gicler dans ma gorge et j’ai tout avalé, prête à me satisfaire, déçue, avec mes doigts ! Pas du tout, il n’a pas débandé une seule seconde, affichant toujours une érection du tonnerre.
Un amant qui tient la distance
Je me suis empressé de reprendre le dessus et, en l’enfourchant, la position que je préfère entre toutes, à cheval sur sa bonne bite d’amarrage. De dos, de face, je me suis déchaîné, offrant à mon amant mes seins aux mamelons sensibles et mon clitoris explosif ou ma croupe avec, en son centre, mon petit trou qui ne rechigne pas au plaisir de recevoir un ou deux doigts pendant que je me baise en mouvements lascifs ou en grandes envolées lyriques, accompagnées de gémissements forts explicites afin de guider les gestes masculins là où je veux qu’ils se concentrent.
Étienne tenait la distance, sa queue restait bien ferme dans mon fourreau, il m’a néanmoins culbutée sur le dos au bout d’un certain temps, m’écartant les cuisses, monsieur avait décidé d’une pause que j’ai été ravie d’accueillir. Il m’a besognée avec ses mains, entrant quasiment une paume entière dans mon minou et réussissant presque à me fister, nouvelle expérience pour moi qui ne m’a pas portée à l’orgasme, mais qui m’a fichtrement excitée ! Fichtre, l’Ariège recelait de vrais trésors et ce collègue aux talents commerciaux hors pair en possédait bien d’autres visiblement.
Après cette séance aux allures d’assaut en règle, la fête a continué, comme tous les hommes, Étienne était très voyeur, je lui en ai donné pour son compte, lui offrant toutes mes courbes à regarder tandis qu’il se branlait, avide de me prendre de nouveau. Lorsque j’ai vu son œil friser alors que je m’installais à quatre pattes, j’ai compris que la levrette qui allait suivre allait être à la hauteur de ce qui avait précédé. Je ne me suis pas trompé, attirée au bord du lit, le cul dans le vide, mes petites fesses ont été écartées, j’ai reçu un crachat sur mes trous et le manche qui venait en moi. Je me suis laissée limer à un rythme fou, j’en hoquetais tellement les coups de boutoir étaient puissants, j’ai joui pleinement, m’égosillant en pétrissant les couilles et en abandonnant mon corps en proie aux spasmes orgasmiques.
J’ai décidé que cet homme méritait un bonus, je me suis retournée pour le sucer, les sucs de ma chatte étaient agréables sur la langue, puis je lui ai de nouveau offert ma chute de reins, mais cette fois, c’est moi qui ai orienté le gland … vers mon anus. La taille de son vit était parfaite pour une sodomie et Étienne a été aussi surpris que ravi de cette initiative. Il m’a enculé avec beaucoup de tact, me demandant de lui griffer doucement les couilles, je me suis exécutée et il a éjaculé dans mon trou bien serré en me broyant les hanches auxquelles il était agrippé.
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