L’amant de ma cousine

La rédaction 23 février 2021

Élodie 29 ans, aime batifoler et enchainer les conquêtes, ce qui la met parfois dans des situations compliquées… comme la fois ou elle a couché avec le mec de sa cousine.

Je suis une jeune femme assez indépendante, célibataire endurcie, mais j’aime beaucoup batifoler et je collectionne les conquêtes. Je plais pas mal, en tant que fille mignonne aux cheveux mi-longs châtains avec un corps attrayant, et peu d’hommes me résistent. Le problème, c’est que je me mets parfois dans des situations compliquées. Notamment la fois que je vais vous raconter dans cette histoire de sexe.

Ma cousine avait rencontré un homme depuis quelques semaines, François. C’est un quinquagénaire assez beau, barbu et aux yeux bleus. Je le trouvais séduisant et intéressant et j’étais vraiment contente pour elle. De ce que j’avais compris, ils apprenaient à se connaître, mais ce n’était pas encore vraiment officiel entre eux. Un soir, elle me l’a présenté et nous avons bu un verre tous les trois en terrasse. Nous avons passé une très bonne soirée. Cependant, j’étais un peu gênée de sentir que François m’attirait. Qu’est-ce qui clochait chez moi ? Pourquoi je ne pouvais pas laisser les gens tranquilles ? Ma cousine avait galéré en amour et moi, voilà que j’avais des vues sur lui ? En plus, quand je veux quelque chose, j’ai vraiment du mal à me censurer, si je puis dire… Ce soir-là, nous avons donc fini tard et ma cousine, qui avait trop bu, est rentrée se coucher chez elle. Nous sommes restés avec François profiter encore un peu de la soirée. Nous étions dans un bar dansant, alors nous nous sommes rapprochés, le temps d’une danse. Je sentais qu’il me tenait contre lui un peu plus serrée que nécessaire, et moi-même je me laissais aller à ce contact presque charnel. Sauf qu’à un moment, très naturellement, nos bouches se sont cherchées, et trouvées. Et c’était un baiser tellement sensuel ! Nos jambes entrelacées se frottaient l’une contre l’autre et je sentais son corps se presser contre le mien, sa bite qui durcissait.

On est allés chez lui pour « boire un dernier verre », et les choses ont bien sûr dérapé. Il s’est remis à m’embrasser. « Mais enfin, et ma cousine ? » « Elle ne m’attire pas comme toi », m’a-t-il répondu. Il a passé ses mains sur mes cuisses. Il faut dire que j’avais une tenue de vraie petite coquine : mini-jupe écossaise et talons hauts. Rapidement, je me suis retrouvée avec uniquement cette jupe et ces chaussures sur le lit, mes seins pointés par le désir et ma chatte nue que je caressais avec ma main. François a fait un truc très sexy : il m’a donné des consignes pour me masturber. « Allez, ma belle, fais-toi du bien, commence par te toucher le clito, ouais comme ça, est-ce que c’est bon ? Caresse-toi. Maintenant, mets-toi un doigt, fais-toi du bien. On fait rien de mal après tout… »

Je me suis doigtée, portée par sa voix grave et suave. Le pouvoir érotique de la voix, c’est quelque chose ! Mes doigts s’agitaient dans mon sexe, recourbés pour bien appuyer sur mon point G. Je dégoulinais de plaisir. François est venu au-dessus de mon visage pour me faire goûter sa bite. Elle était bien grosse et me remplissait bien la bouche. J’aimais son goût et sa texture et il me la fourrait bien profond dans le gosier. Il me dominait, et j’adorais son assurance. Je me suis mise à genoux pour être plus à l’aise et continuer à le pomper. Qu’adviendrait-il de sa relation avec ma cousine si elle apprenait ça ? Il fallait vraiment que j’apprenne à dompter mes pulsions sexuelles, mais c’était si bon de se laisser aller à un nouveau toucher, à toutes les formes de bites et de caresses…

François m’a prise en photo, en me disant à quel point il me trouvait belle. Il me demandait de poser pour lui, de lui montrer ma chatte, et j’aimais lui obéir. Je ne résiste pas longtemps aux compliments, alors quand il s’est avancé avec sa belle bite dressée contre moi, je n’en ai fait qu’une bouchée avec ma chatte. Ah, que c’était bon de se prendre une queue bien vaillante ! Nous nous sommes mis en cuillère sur le lit, car j’adore cette position. Il tenait mon cul d’une main pour mieux m’empoigner et me fourrer. Les cuisses resserrées, je sentais la voluptueuse sensation de son chibre, et je me laissais aller à sa pénétration délicate, tantôt lente et tranquille, tantôt impatiente et furieuse… Ses mains ont contourné mon corps pour prendre mes seins et les caresser. Une main caressait mes tétons, l’autre mon clito, et sa bite me prenait sans discontinuer, nos corps encastrés l’un dans l’autre… Le vertige total !

Je comprenais mieux l’allure radieuse de ma cousine, à présent ! J’adorais me prendre sa queue gonflée de désir, et c’était une sensation enivrante que de sentir nos désirs aller crescendo ensemble. Je tenais sa main pour qu’il me caresse comme je le voulais et je le guidais en lui donnant à mon tour des ordres : « Plus fort, plus vite, plus par ici, vas-y branle-moi, c’est bon ! » Il s’y prenait très bien et il m’a caressée jusqu’au spasme final, pendant que ses derniers coups de bite le faisaient éjaculer lui aussi… Nous nous étions attrapés sans nous lâcher tellement nous étions attirés l’un par l’autre et seulement maintenant, nous nous posions la question des conséquences de notre acte…

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