Copines comme cochonnes
5 janvier 2023C’était un mercredi soir et j’avais invité deux amies à venir dîner à la maison. Mes deux complices sont très différentes et toutes aussi impressionnantes. Caroline a un carré châtain, un corps très mince, des hauts moulants hyper sexy et un franc-parler désarmant. Elle raconte souvent ses exploits sexuels et elle est très dominatrice au lit avec ses partenaires. Mélanie, sa meilleure amie et colocataire, est une rousse plantureuse à la peau de lait. Elle travaille dans la lingerie de luxe et son corps est une splendeur à regarder. Ces premières lignes pourraient vous faire penser que je suis un vieux mec libidineux qui bave sur ses amies imaginaires, mais non. Je suis une jeune femme de 26 ans et ce sont mes confidentes, avec lesquelles je discute de choses très personnelles et notamment de sexualité. Nous nous étions déjà dit, entre deux verres, que nous serions assez dingues pour coucher toutes les trois ensemble. Mais je n’y croyais pas vraiment… Je m’appelle Paola, j’ai 26 ans et voici mon histoire porno.
Initiation au plaisir
Ce mercredi soir, pourtant, les choses ont dérapé agréablement. On se trouvait sur le canapé de mon salon à siroter notre thé de fin de repas et à parler de notre sujet favori. Je leur ai avoué que je n’avais jamais éjaculé de ma vie et que j’attendais impatiemment le moment où ça m’arriverait. Elles se sont regardées en rigolant. Vu ma liberté et ma curiosité, elles pensaient que cela m’était déjà arrivée. « C’est pas compliqué pourtant », a lancé Mélanie. « On est toutes fontaines, il suffit d’appuyer là où il faut. Si ça ne t’est pas encore arrivé, il ne faut pas attendre que ça tombe du ciel. Expérimente ! ».
J’étais moyennement convaincue. Mélanie s’est alors lancée dans une explication avec moult détails et mouvements avec ses mains. J’ai trouvé assez excitant de regarder ses jolis doigts blancs s’agiter dans les airs pour mimer des choses sexuelles. Nos regards se sont croisés et elle a dit : « Bon, est-ce que ce n’est pas l’occasion d’essayer justement ? Moi, ça m’emmerde de me dire que tu vas attendre qu’un mec appuie au bon endroit. » J’ai rougi et regardé Caroline, qui avait l’air d’accord et elle aussi était émoustillée par la conversation.
C’était un peu étrange au départ, mais nous avons commencé par nous embrasser. Mélanie a posé ses lèvres sur les miennes et je me sentais très maladroite et en même temps grisée. « Détends-toi, ça va le faire. » C’était hyper doux et sensuel à la fois. Caroline nous matait et s’est approchée pour m’embrasser à son tour. Nos bouches se caressaient et nous échangions nos salives en toute convivialité… Puis les filles, plus expérimentées que moi dans les relations sexuelles avec d’autres femmes, se sont mises à me caresser les seins et à faire leurs baisers plus pressants. Je commençais à mouiller franchement. Mélanie a porté sa main sur mon entrejambe et s’est mise à frotter sous ma jupe, à travers ma culotte. C’était chaud et très excitant, je retrouvais des sensations d’enfance quand je me frottais sur mes coussins à travers mon pyjama…
Objectif fontaine
Mon amie a remarqué que j’étais déjà trempée et ça l’a d’autant plus excitée. Elle a redoublé ses caresses sur mon clitoris de sorte que ma chatte lubrifiait abondamment, prête à accueillir des caresses à l’intérieur d’elle. Pendant ce temps, Caroline embrassait mon cou et mes lèvres tout en titillant mes pointes de seins de manière assez brutale et sexuelle, à son image. Ses dents mordillaient ma peau, qui était parcourue de frissons. C’était tellement intime et vertigineux comme situation ! L’incongruité des événements ne faisaient qu’intensifier mon désir. Les filles se sont mises en soutien-gorge et m’ont déshabillée. Je me suis retrouvée à poil sur le canapé, avec le contact du cuir froid sous mes fesses. J’ai aussi rendu ses caresses à Mélanie en promenant mes mains sur son minou, tentant de la branler en me faisant guider par ses soupirs.
Elle s’est un peu laissée faire, mes doigts s’aventurant sur ses lèvres, petites et grandes, découvrant la peau plissée de sa minette. Puis elle m’a plaquée dans le fond du canapé et fait écarter les cuisses. Là, elle a introduit deux doigts dans mon sexe et s’est mise à faire des mouvements de pression sur le haut de la paroi en recourbant ses jolis doigts. Elle a frotté en insistant, pas trop fort pour que la sensation ne soit pas trop envahissante, mais suffisamment pour me faire couiner comme une petite bête.
Je sursautais : la sensations était profonde, intense. Je réalisais que je n’avais jamais pris le temps de me concentrer ici, sur ce centre de moi-même, où ça pulsait de désir et où un énorme réservoir de plaisirs n’attendait qu’à être percé pour libérer son jus extatique. Mélanie a continué à appuyer sur cet endroit en raclant de plus en plus précisément la paroi ultrasensible. Pendant ce temps, Caroline la branlait, de sorte que mon amante se mettait elle-aussi à couiner en fermant les yeux, sans perdre de vue les caresses qu’elle me prodiguait. Je voyais ses seins lourds et blancs bouger devant moi dans leur cage de dentelle et le corps filiforme de Caroline s’activer sur les courbes de notre amie.
Là, j’ai senti le liquide s’écouler de moi et le plaisir m’envahir en une vague très intérieure et très profonde, qui venait me cueillir aux tréfonds de moi-même et de mon sexe, dans une sensation entre la douleur et le délire. J’en ai foutu partout. Dans notre excitation, nous n’avions pas pensé à mettre un linge sur le canapé et le cuir s’est retrouvé inondé de ma mouille. ça nous a beaucoup fait rire et j’ai fini par regarder les filles se caresser ensuite et se faire jouir à tour de rôle, en essayant d’aider chacune d’elle avec des baisers doux et tendres, même si j’étais complètement shootée par ma propre éjaculation. Le dîner s’était terminé de manière très joyeuse. Nous n’en avons jamais parlé à nos amis, mais nous faisons parfois référence à cette petite incartade entre nous, surtout quand nous sommes assises sur ce canapé des plaisirs.
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