Giulia a oublié sa culotte !

La rédaction 19 mars 2021

Giulia, une belle Italienne de 29 ans, recherche une location dans le 93… mais sans sa culotte ! Ce qui peut décontenancer certains propriétaires.

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Bonjour à tous,

Voici mon histoire de cul. Ici Giulia, 29 ans, dans la communication digitale d’une boîte de jardinage qui, en cette période de confinement, gère plutôt bien ses affaires. Les gens s’occupent tous de leur jardin, en province.
Moi, c’est pas mon cas, j’habite en région parisienne et mon propriétaire m’a annoncé très récemment qu’il voulait récupérer l’appartement et j’ai dû trouver un nouveau lieu hyper rapidement.
Avec l’annonce du prochain confinement et comme je suis de nationalité italienne, je ne le cache pas, j’ai galéré à trouver la perle rare. Dans mon quartier, je n’arrivais pas à trouver l’équivalent, et j’ai du sortir de ma zone de confort, aller fouiner près de mon lieu de travail (dans le 93). Je me suis dit que quitte à changer, autant trouver quelque chose qui diminue mon temps de trajet.

Bref, au fil de mes recherches sur le net, je suis tombée sur LE petit studio sympa, vue sur un parc charmant, au troisième étage, avec une déco assez cool. J’ai contacté le propriétaire par message, et comme j’avais son prénom et nom de famille, j’ai été chercher sa photo sur le web.
Il était ca-non ! Un mix entre Johnny Depp (dans sa période beau goss) et Pete Doherty, un mec à la gueule un peu cassée, un air sauvage et ténébreux, et surtout il devait avoir 30-35 ans grand max. On a vite convenu d’un rendez-vous pour la visite.

La veille, en parlant au téléphone avec Sofia, ma meilleure amie, elle m’a dit « chiche t’y vas sans culotte ? ». Comme on était un peu bourrée, et parce que ça me faisait marrer, j’ai accepté. Le lendemain, je me suis retrouvée en jupe-bottine, sans culotte, assise dans le métro parisien, en plein mois de mars. J’avais l’impression que tous les regards portaient sur moi, que tout le monde savait que j’avais la foufoune à l’air. Surtout un noir, assis juste devant moi, écouteurs plantés dans les oreilles, un cardigan assez classe qui couvrait un costume de travail, qui me fixait étrangement. Je croisais bien fort les jambes et je voyais bien son regard scotché à mes cuisses, comme s’il n’attendait qu’un mauvais geste de ma part pour dévoiler mon intimité.

Il était lui aussi assez beau mec, pas trop ma came avec son allure BCBG, mais beau mec quand même. Ca m’a un peu excitée, et je crois bien que y’a des trucs humides qui ont du glisser sur la petite mousse du strapontin, près de mon cul. Quand je me suis levée, il y avait une petite tâche baveuse, mais quelle honte ! En même temps, on ne s’en rend pas compte en s’habillant tous les jours, mais ça change vraiment tout de se promener la moule à l’air libre. Les sensations sont totalement décuplées et tout nous ramène au sexe, tout le temps.

Dans la rue, des hommes comme des femmes, pressés, masqués, me frôlaient et ça ne faisait qu’amplifier mon excitation. Quand je suis arrivée devant l’adresse, j’étais vraiment à fleur de peau, et quand j’ai vu Depp-Doherty débarquer, évidemment, j’ai eu envie de lui bouffer le cul.

Il m’a tout montré, salle-de-bain, kitchenette, clic-clac, et je ne faisais que me trémousser en rigolant à des blagues qui n’en étaient pas vraiment. Je puais l’envie de sexe, je pense qu’il l’a senti. Il a vite été hyper mal à l’aise, je crois bien qu’il avait envie lui aussi de me croquer l’arrière-train, mais devait certainement y’avoir bobonne à la maison avec laquelle il avait signé un contrat exclusif.

Bref, dans un frôlement, au moment de me montrer le dressing dans l’entrée, j’ai collé mes fesses près de sa cuisse, et j’ai bien senti qu’il bandait comme un âne, le salaud. Je pense qu’il devait y avoir un bon quinze centimètres, c’était déjà pas mal, y’avait de quoi faire. Je crois bien qu’il a aussi « pas fait exprès » de me coller une main au cul, sur ma jupe. Je pense qu’à ce moment-là, il ne pouvait plus ignorer que je ne portais pas de culotte, la messe était dite !

Je lui ai demandé si je pouvais utiliser ses chiottes, il a accepté, je m’y suis enfermée et me suis masturbée comme une grosse malade. C’était pratique, pour me toucher, de ne pas avoir l’élastique du sous-vêtement qui vient vous gêner. Mon clito était déjà gonflé à bloc, j’ai joué de la guitare dessus comme si ma vie en dépendait, pour jouir au plus vite. J’ai tendu bien fort les cuisses, j’ai gratté à une vitesse folle, je me suis mise un doigt, juste à l’entrée, et -bim- orgasme. Trop forte ! Des années d’expériences pour arriver à jouir en moins de cinq minutes. J’étais trop fière.

Je suis sortie de ses toilettes les joues rouges, le souffle saccadé, les doigts puants. J’ai regardé Depp-Doherty d’un air de défi, en lui disant : « hum, elles sont sexy, tes chiottes ! »
Si avec ça, il avait pas compris le message, c’est qu’il était teu-bé.

J’ai envoyé un message à Sofia : « Cool la vie sans culotte. Pas sûr que j’aurai l’appart avec mon comportement d’allumeuse, mais je me suis bien marrée. »

A quoi sert la vie, si on peut pas s’y amuser un peu ?

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