On monte !

La rédaction 4 février 2019

Corentin profite de cette fin de soirée pour raccompagner la correspondante de sa sœur, peu habituée au métro de notre capitale. Le désir se fait trop fort, et les deux tourtereaux ne résistent pas à l’appel de la chair dans cette cage d’escalier où ils vont enfin pouvoir libérer toutes leurs pulsions.

Le concert était vraiment pas mal et j’avais bien senti que la petite correspondante de ma frangine avait passé une bonne soirée elle aussi. Tellement bonne à vrai dire que nous étions déjà en train de nous tenir la main et de nous coller des petits bisous au creux du cou dans la rue. Ça commençait à me chauffer dans le slip.

Quand on est arrivés à l’immeuble, au bout de quelques marches, on a commencé à vraiment s’emballer. Je savais que ma sœur ne reviendrait pas avant le petit matin, vu qu’elle avait quitté la salle de concert avec son mec… Donc à moi la petite Suédoise !

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Elle n’avait pas plus de patience que moi, alors nous avons tout de suite commencé à nous désaper dans les marches. Sa langue douce me fouillait la bouche. Elle murmurait des trucs sales que je ne comprenais pas. J’ai baissé son pantalon.

Ses petites fesses étaient rebondies sous la résille. J’ai tiré sur tout ce que je pouvais pour toucher la peau de son cul qui m’appelait. Elle s’est retrouvée à moitié à poil.

J’ai pu la doigter, sentir sa petite rosette hyperréactive sous la pulpe de mon index, son bassin venait à la rencontre de ma main, on sentait bien les heures de vol et l’instinct de la fille qui sait s’amuser.

Tout à coup, elle s’est accroupie et a commencé à me travailler la fermeture du jean. On était au beau milieu de la cage d’escalier, mais ça n’avait pas l’air de l’inquiéter plus que ça…

Mon manche a jailli, j’étais tendax ! Mon arbalète était prête à servir.

La coquine a tendu sa langue chaude et humide. J’ai senti qu’elle me lapait, un vrai petit minou. Elle ne me prenait pas en bouche. Le temps était suspendu, j’avais la bite cramoisie et tellement gonflée que ça me faisait presque mal. Mais elle, elle me faisait encore plus poireauter, juste pour s’amuser. Et ma foi, ça me faisait un drôle d’effet. Une vraie torture nordique qui alternait le chaud et le froid, j’étais déjà accro à cette meuf. Je l’ai laissé jouer du flûtiau sur mon instrument turgescent. Sa main est venue caresser mes couilles lentement, avec une douceur extrême.

Puis, elle a commencé à me branler tranquillement, sans se presser, mais avec une certaine fermeté. Elle me regardait dans les yeux. Et de temps en temps, elle me tétait le gland. Il y avait de l’amour entre ses lèvres.

Quand elle voyait dans mon regard que j’allais céder si elle continuait, elle ralentissait. Elle comprenait tout, sans aucun mot. Elle m’a sucé de plus en plus profondément sans arrêter de me chatouiller les couilles. J’allais très loin dans sa gorge maintenant. Quelle experte ! On ne m’avait jamais pompé comme ça, et dans une cage d’escalier en plus !

Mais bientôt elle a manifesté son envie de gravir quelques marches supplémentaires dans les degrés du plaisir. Elle s’est relevée et je l’ai déshabillée, une fringue après l’autre tout en l’embrassant. Sur son haleine, je sentais l’odeur discrète de ma queue et c’était plutôt excitant. Toute nue, c’était une vraie déesse septentrionale. Une liane chaude comme un volcan et au charme glacé telles les eaux du pôle Nord. Sa main a encore fait quelques allers-retours sur ma bite. Elle s’est retournée en même temps, m’invitant à pointer mon dard au cœur de sa fleur toute serrée.

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Elle a collé ses mains contre le mur et a attendu que je la baise. Moi aussi j’ai décidé de faire durer le plaisir. J’ai posé une main sur sa bouche pour l’empêcher de crier et je lui ai collé une bonne gifle sur le fessier. Le bruit a résonné dans la cage d’escalier, de haut en bas. C’était très beau.

Une magnifique ambiance de cathédrale… pas très catholique ! C’était plutôt la religion du stupre. Les flammes de l’enfer nous léchaient les chevilles. J’ai braqué l’engin sur l’entrée de son temple de chair et je suis entré comme un pèlerin satanique cherchant l’asile. Sur le seuil du beau culte, j’ai lâché un soupir de contentement, et elle a geint.

Je sentais la transe insoutenable qui la saisissait. Sa colonne vertébrale s’est alignée avec les étoiles, son cul et sa nuque pointaient droit vers la pleine lune.

Je l’ai possédée comme on possède trop peu souvent une femme. Ma nubile descendante d’Odin savait comment bien prendre un chibre. Elle se l’est enfoncé jusqu’aux tréfonds de son ventre. Nous avons entamé une joyeuse danse macabre, entre magie blanche et magie noire. Mon piston tournait à plein régime et je sentais la sainte huile qui me coulait jusque sur les couilles.

J’étais oint de l’humidité de ma barbare compagne qui produisait des vocalises guerrières dans son sabir incompréhensible.

Elle entrecoupait ses appels à la baise par des chuchotements qui flirtaient avec l’invocation démoniaque. J’étais sous le charme de cette sorcière et je n’avais plus aucun doute : elle avait été envoyée depuis un autre monde pour rallier les imbéciles tels que moi à sa cause.

Mais j’avais beau chercher tout au fond d’elle, je ne trouvais toujours pas les esprits de son peuple… Ils devaient se cacher ailleurs !

J’ai fait claquer mes couilles sur ses cuisses, elle s’est accrochée à mes épaules pour ne pas perdre sa prise. Elle manquait une respiration sur deux à présent et elle hoquetait en suédois. J’ai tenu fermement sa douce cuisse entre mes mains, je voulais qu’elle me sente bien en elle.

J’ai donné tout ce que j’avais. Je la martelais, ses cheveux blonds partaient dans tous les sens. Ma princesse nordique perdait toute la contenance qui seyait à son rang.

Nous sommes remontés de quelques étages et je me suis aperçu que je n’avais pas retiré tous ses oripeaux, il en restait entre ses gambettes. J’ai enlevé tout ça, et on est allés à l’étage de notre appartement familial (le dernier). Je savais que mes parents n’étaient pas là et que ma sœur ne reviendrait qu’au matin, alors on pouvait s’en donner à cœur joie.

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J’ai repris mon poste derrière elle et j’ai retrouvé son fourreau brûlant. Quel sacré brin de fille ! Elle est repartie au quart de tour, comme une voiture qu’on a laissée tout l’hiver au garage et qui démarre sans aucun sursaut. Elle était toujours prête à se faire prendre.

J’ai senti la tête de mon gland taper au fond d’elle. J’ai coulissé très fort, tout de suite, quelques secondes pour passer de zéro à cent. La berline suédoise avait du répondant. Son intérieur cuir était parfaitement adapté à mon allonge. Je me suis étendu entièrement en elle. Comme on est bien installé dans une jeune fille en fleur !

Elle faisait une sorte de pole dance sur ma hampe. Elle se dandinait de droite à gauche et de haut en bas, cherchant un maximum de friction entre nos délicieux organes. Et ça marchait du tonnerre, je commençais déjà à refréner un besoin presque irrépressible en moi, la sève menaçait de s’échapper de ma fiole en ébullition…

Pour faire diversion, je lui ai fait traverser le palier sans me retirer de sa croupe si douce et parfaitement épilée.

Je me sentais serpent tout à coup, me tortillant pour mieux me faufiler dans cette chatte adorable. À l’image de mon tatouage dragon, j’étais un reptile venu des âges lointains pour conquérir le monde, son monde. Je voulais la posséder corps et âme, au-delà de la rencontre physique, notre comminterstron.ru serait un avènement. Elle le savait, je le sentais. Son corps était presque en équilibre sur la rambarde de l’escalier. Ses tétons pointaient dangereusement vers le carrelage, six étages plus bas. Elle a posé un pied sur le rebord pour que je la prenne au plus loin, plus loin que la vie et la mort. J’avais l’impression que mon dragon commençait à remuer, qu’il prenait vie pour délivrer sa petite mort en recouvrant l’univers d’un déluge de feu.

J’entendais son feulement me souffler aux oreilles, il arrivait de loin et aucune forteresse ne serait de taille à lui résister… À commencer par celle de ma divine partenaire de jeu qui se cambrait toujours plus, qui m’accueillait avec un empressement renouvelé, elle voulait ma semence, cela devenait évident.

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La sucrerie allait être déposée avec autant de délicatesse, directement sur sa langue. Je sentais ma réserve qui montait tout doucement le long de ma hampe et ne demandait plus qu’à être dûment distribuée à l’impétrante qui allait très prochainement rejoindre mon tableau de chasse.

Ma mignonne pécheresse s’est mise à genoux pour la recevoir et être délivrée du grand mal qui la guettait : les flammes éternelles de la luxure. Le Mal qui la travaillait m’offrait un spectacle particulièrement poignant, ses yeux m’imploraient de lui apporter cette décoction huileuse et parfumée dont la soif la tenaillait ferme.

Elle m’a pompé avec la vigueur d’une pénitente qui n’a jamais été aussi proche des portes de l’outre-monde… Allait-elle trouver des diables fourchus ou des anges blonds derrière ces portes ? Quand mon sperme épais est venu lui tartiner les molaires, la question ne se posait plus…

(Photo à la une : Getty Images)

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