Le baby-sitting parfait
30 septembre 2020Steve, 36 ans, rentre chez lui et voit la baby-sitter endormie sur le canapé sans jean : il en profite pour mater sa culotte blanche et son joli cul…
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Vous aimez les belles suceuses ? Moi, je les adore, Je viens justement d’en rajouter une à ma collection.
J’ai deux fils de 8 et 5 ans. Comme je suis séparé de leur mère, je sors moins qu’avant le soir, alors que j’adore aller en boîte et dans les bars pour lever des gazelles. Parfois, je me paie quand même une baby-sitter pour m’échapper un peu. La nouvelle s’appelle Alice. Un peu trop mince pour moi mais bien roulée malgré tout, elle a surtout un bon contact avec les gosses. Je l’ai donc appelée le mois dernier, avec dans l’idée de me faire une nuit au grand air, Une fois qu’elle a été installée avec les petits devant ta télé, j’ai filé rejoindre mes potes.
Ce soir là, pas grand chose à choper. J’ai bien emballé une blonde à gros nichons dans un bar, mais après m’avoir foutu la gaule en me titillant avec son piercing, la chienne s’est tirée en me laissant ses consommations à payer. J’ai décidé d’arrêter les frais et je suis rentré sur les coups d’une heure du matin.
J’ai trouvé les gosses couchés et Alice endormie sur le canapé devant un film. Elle avait enlevé son jean et s’était à moitié enroulée dans une couverture. J’en ai profité pour mater sa petite culotte blanche et son joli cul. J’avais du mal à redescendre après la blonde du bar et mater à son insu cette petite chatte me rendait tout chose. J’ai sorti ma queue de mon falzar et j’ai commencé à m’astiquer. Les lèvres entrouvertes d’Alice me donnaient des pensées très chaudes, mais je ne pouvais quand même pas aller plus loin.
J’ai dû pousser un soupir un peu plus fort que les autres en me tirant sur le noeud… Toujours est-il que la garce s’est réveillée en sursaut. Je suis resté comme un con, la bite à la main, m’attendant à ce qu’elle se mette à beugler. Sauf que la petite avait elle aussi de la suite dans les idées…
Alice s’est frotté les yeux et m’a regardé en souriant. Je n’ai pas bougé d’un pouce. Quand elle a posé ses yeux sur mon gourdin, j’étais en train de débander à moitié. Elle a poussé un petit cri : « Ah non, on va terminer ce que vous avez commencé ! » Interloqué, je l’ai laissée me prendre par la main et m’asseoir sur le canapé-lit. Elle a saisi mon chibre et s’est mise à le branler délicatement. Quel kif… Je me sentais grossir à vue d’oeil !
BOUTIQUE SEXY
J’ai commencé à me détendre, jusqu’à oser lui passer la main dans les cheveux, espérant que j’allais enfin sentir ses lèvres sur mon mandrin. La mignonne n’attendait que ce signal. Elle s’est littéralement jetée sur ma bite et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle était maintenant parfaitement réveillée !
J’étais tendu comme un arc et je guidais les gestes d’Alice, qui enroulait sa langue et aspirait mon dard comme une pro. Quelle belle pompeuse… Je cherchais ses petits seins et pinçais du bout des doigts ses tétons tout durs. D’un coup, j’ai eu envie de la fourrer, de sentir si elle était bien étroite comme je l’imaginais. Elle a dû le sentir, puisqu’elle a fait sauter son slip et s’est assise à califourchon sur moi.
Prenant mon sexe en main, elle l’a frotté contre son clitoris et entre ses lèvres humides, en poussant des couinements de chienne… N’y tenant plus, je l’ai chopée par les hanches et je l’ai fourrée d’un seul coup. Surprise, la catin a poussé un drôle de râle. Elle était serrée et chaude, un vrai bonheur de chatoune. On sentait quand même qu’elle était inexpérimentée, et du coup, c’est moi qui ai donné le rythme.
Au début, elle tressautait comme une poupée de chiffon puis a pris peu à peu de l’assurance, jusqu’à onduler sur mon chibre. Au bout de quelques minutes, elle a même commencé à se toucher et à ma grande surprise, ses cris se sont faits de plus en plus perçants. Elle a fini par jouir en me regardant les yeux grands ouverts, comme surprise de son propre orgasme.
La petite salope en avait encore sous le pied. Elle s’est dégagée de mon emprise et a repris ses activités buccales. L’idée qu’elle léchait avidement sa propre mouille sur ma grosse bite m’a fait comme un électrochoc. J’ai enfoncé sa tête jusqu’au bout et j’ai lâché un bon jet de foutre chaud, qu’elle a avalé sans broncher. Je n’ai pas encore rappelé Alice, mais la prochaine fois que mes potes me proposent une sortie, c’est sûr elle sera sur le coup ! Je pense bien pouvoir lui faire découvrir deux ou trois nouveaux plaisirs…