Les nénés de la nanny

Mariée depuis 15 ans à la douce Anne-Marie, je n’imaginais jamais écrire une histoire de sexe un jour. Mais la vie et le désir qui s’émoussent, ont conduit à une situation inédite dans notre vie rangée.

Mon nom est Édouard. J’ai 40 ans et je suis commissaire aux comptes dans la région d’Amiens. Avec Anne-Marie, nous avons deux jeunes enfants. Je travaille beaucoup et je vois peu ma famille, alors, pour éviter de culpabiliser, j’ai investi dans les services de Clémentine, une nanny de 25 ans aux références exemplaires.

Dès son arrivée dans la famille, le courant est bien passé avec elle. Anne-Marie appréciait son aide, sa compagnie toujours gaie et les enfants étaient plus calmes à son contact. Clémentine était en plus très jolie : un corps voluptueux, de longs cheveux châtains et un visage de porcelaine, où brillaient de grands yeux bleus. Rien à voir avec mon Anne-Marie, mince et blonde, dont le regard sombre vous perce à jour immédiatement.

Ma femme est extrêmement intelligente et je n’avais pas besoin de lui expliquer pourquoi je la désirais moins. Ma charge de travail quotidienne, le stress du cabinet m’épuisaient. Nous ne faisions plus l’amour qu’une fois par mois, presque mécaniquement, « pour l’hygiène ». Je savais qu’Anne-Marie en souffrait, mais elle avait choisi de ne rien me reprocher.

Une sainte femme… Jusqu’à un soir de décembre. Avec l’approche des fêtes, je me sentais des envies de famille et de chaudes étreintes. J’ai donc acheté un bouquet de fleurs à ma femme et je suis rentré plus tôt que d’habitude. Je savais que les enfants seraient au lit et j’imaginais déjà une partie de jambes en l’air dans le salon, devant le feu de bois crépitant dans la cheminée.

Mais en passant la porte, je suis resté totalement interdit. Mon Anne-Marie était allongée sur le canapé, la poitrine totalement dévoilée, et Clémentine la surplombait. Quand celle-ci a déposé un baiser langoureux sur les lèvres de mon épouse, j’ai compris.

Très lentement, j’ai refermé la porte. En pleine étreinte, les deux gourgandines ne m’avaient pas entendu. Je me suis blotti derrière le lourd rideau qui masque la porte d’entrée et j’ai observé. Pourquoi ? Sans doute par masochisme, pour me punir de ne pas satisfaire Anne-Marie… Et puis aussi parce que la scène était absolument excitante.

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Sur le canapé, Clémentine était en train de retirer le pantalon de ma femme, puis, d’un geste vif, elle a enlevé sa robe. Les infidèles n’étaient plus maintenant parées que de leurs seules petites culottes. Blanche et en coton pour Anne-Marie, rose et en dentelle pour Clémentine, dont je voyais le cul voluptueux, tandis qu’elle se calait entre les cuisses conjugales.

Doucement, elle a écarté le slip blanc, dévoilant le sexe nacré de ma douce, surmonté par une fine mousse de poils blonds. La nanny l’admirant comme je ne l’avais pas fait depuis des lustres… Quand elle a dardé sa langue sur le clito de mon épouse, j’ai senti mon sexe durcir. Anne-Marie a poussé un gémissement à fendre l’âme, se cambrant sous l’effet du plaisir. Les doigts emmêlés dans les longs cheveux de son amante, elle lui a plaqué le visage sur sa chatte, l’autre plongeant dedans avec délice.

Les gémissements de mon épouse, maintenant dévorée par la Sapho en dentelle rose, montaient de plus en plus haut. Clémentine semblait très excitée elle aussi et a fini par se dégager de l’étreinte de sa patronne pour avoir sa part de plaisir. Elle s’est relevée et s’est mise nue, ses formes amples sublimées par la lumière du feu de bois. Quand elle est venue se placer en ciseau entre les jambes de mon épouse, les soupirs se sont transformés en petits cris aigus. De plus en plus forts, de plus en plus intenses, de quoi devenir fou ! Ma main a serré ma queue gonflée et mes couilles douloureuses au travers de mon pantalon. Je brûlais.

L’une contre l’autre, les deux cochonnes se sont mises à frotter leurs vulves à une cadence démente. Celle de Clémentine était charnue, à l’image de son corps. Entièrement épilée, elle était aussi gourmande que ses gros seins qui se soulevaient en rythme… Mais si ses mamelles étaient splendides, j’étais surtout subjugué par ses deux chattes ventousées, dont s’échappaient un bruit humide. Dans mon slip, la pression était au maximum.

Plus vite, toujours plus vite… Les reins se cambraient, les doigts se tendaient pour branler les clitoris soudés l’un à l’autre… Quand Anne-Marie et Clémentine se sont regardées intensément et que leurs miaulements ont atteint leur paroxysme, j’ai senti une vibration me parcourir de haut en bas et j’ai joui dans mon pantalon sans pouvoir me retenir. Le Vésuve n’aurait pas fait mieux…

Je suis ressorti sans bruit et je suis allé me nettoyer avec un mouchoir et une bouteille d’eau qui traînaient dans ma voiture. Puis j’ai laissé passer une dizaine de minutes, le temps que mon cœur se calme, avant de retourner d’un pas lent vers la maison. Ma tête était embuée par les images délicieuses de cette étreinte interdite et la morsure de la jalousie me mordait le cœur… J’ai toqué à la porte et je suis rentré. La nanny était dans le canapé. Anne-Marie, elle, était remontée dans sa chambre. J’ai salué poliment Clémentine et j’ai rejoint mon épouse.

Ce soir-là, nous avons repris une vraie relation d’amour, qui dure depuis l’année et demie qui s’est écoulée. Et je laisse volontiers ma femme à notre jeune employée quand l’envie lui en prend : son jeu de langue, désormais, est au-delà du divin.

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