La technophilie
19 juillet 2019Jacques, 64 ans, Cannes
Bonjour interstron.ru ! À quarante-deux ans, j’étais veuf. Ma femme est partie trop tôt, laissant derrière elle nos trois enfants et moi, son mari. Après quelques années j’ai retrouvé une copine, mais en dix ans ça ne s’est jamais bien passé entre elle et mes enfants. Et pour tout vous dire, c’était une vraie emmerdeuse. On a rompu. Depuis, le désert.
L’autre jour, mon petit-fils Grégory, qui est en terminale, m’a montré une application sur son smartphone. Il m’a expliqué que comme ça il discutait avec plein de filles. Grégory m’a dit : « Papi, il faut absolument que tu télécharges ça, c’est super. » Je lui ai dit, en rigolant, « arrête tes conneries. » Je l’ai quand même laissé faire quand il m’a pris le smartphone des mains. Il a réglé mon profil, il a mis des critères de recherche, « je te mets les femmes de quarante-cinq ans et plus, OK Papi ? » et m’a montré comment balayer l’écran pour sélectionner les femmes avec qui on voulait parler. En fait, c’était comme un site de rencontres, mais sur téléphone.
Quand mon petit-fils est parti, je me suis jeté sur mon téléphone pour ouvrir l’application. Au bout de quelques minutes, j’ai entamé la conversation avec une belle blonde de Mougins. Quarante-cinq ans, esthéticienne. Après avoir échangé quelques phrases, elle m’a suggéré qu’on se rejoigne au bord de la mer, dans un endroit tranquille. Quand je suis arrivé je l’ai repérée de loin. Blonde, bien bronzée, avec un beau paréo bleu. Je me suis lentement approché, le téléphone à la main. Quand je suis arrivé à quelques mètres d’elle, elle a écarté les pans de son paréo et là, ô miracle, elle n’avait pas mis de bas de maillot. Une grosse bosse s’est formée sous mon short. Un beau petit minou frisé et des lèvres charnues, bien épilées. Un vrai minou de gourgandine.
Avec un sourire d’ensorceleuse, elle m’a demandé : « Bonjour Jacques. Je te plais ? » J’ai dit que ça faisait longtemps que je n’avais pas été si bien accueilli. Je lui ai demandé si je pouvais la prendre en photo avec mon téléphone, puis je me suis assis à côté d’elle, à même le rocher. Elle m’a dit : « Embrasse-moi. » J’ai obéi. Son haleine était chaude. J’ai commencé à la peloter, les seins, le ventre, le cul. Et puis mes doigts ont écarté sa vulve ouverte pendant que j’effleurais le gland de son clitoris. Sa chatte était bien grasse, bien rose. J’ai tâtonné la paroi de son trou du cul. J’ai enfoncé doucement le doigt, il était tout serré. Je me suis mis à le ramoner de haut en bas, tout en branlant son clito avec mon pouce. La garce criait presque.
Mon palpitant battait la chamade, et j’ai failli avoir une crise cardiaque quand j’ai vu trois personnes apparaître au loin. J’ai stoppé net ce que je faisais. Elle m’a proposé d’aller chez elle finir ce qu’on avait commencé. Je l’ai suivie en bagnole. Arrivés chez elle, c’est allé vite. On est allés directement dans sa chambre, et là, on s’est déshabillés. Elle a saisi mon sexe et l’a mis dans sa bouche tout en massant mes testicules. Elle m’a taillé une pipe d’enfer. Je soufflais. Mon sexe apparaissait et disparaissait entre ses lèvres et, très vite, j’ai senti l’envie de jouir. Je lui ai dit de venir sur moi. Elle s’est assise sur mon gourdin les jambes bien écartées. Ses petits seins bronzés aux aréoles roses sautaient, son ventre mou et bronzé se dépliait et se repliait dans un mouvement sexy. Elle a voulu que je la prenne en photo, et elle a joui pas longtemps après.
Depuis, on continue nos petites cochonneries. Comme elle est très exhibe, on se fait des plans dans les lieux publics, moi j’apprends à me détendre et j’aime ça de plus en plus. Donc à bientôt pour de nouvelles aventures !
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