Ai-je « été » folle !?
17 octobre 2025
L’été, c’est tout de même la saison idéale pour l’amour et le sexe non ? Voici mon histoire de sexe érotique.
Souvenirs lesbiens
Il fait chaud, les corps sont dénudés et, personnellement, je n’ai jamais autant de libido que lorsque la canicule pèse sur les êtres. Si je dis cela, c’est que nous avons loué un vieux corps de ferme dans le Limousin avec Cédric, mon mari, pour y passer le mois de juillet en compagnie d’un couple d’amis, Sylvie et Lionel.
L’habitation était surannée, mais avait le charme de nos souvenirs d’enfance, c’est d’ailleurs en évoquant ces derniers, un soir autour d’un jeu de société, que l’ambiance s’est chargée d’un érotisme palpable. Sylvie s’est remémoré nos jeux taquins de préadolescentes, nous découvrions nos corps et … les explorions à deux, et souvent, la main de l’autre venait se perdre sur un sein ou sur un sexe ému et humide. Évidemment l’évocation de ces souvenirs gentiment lesbiens a suscité plus que de l’intérêt chez nos hommes, qui se sont rapprochés de nous sans en avoir l’air.
Candidement, mon époux a déposé des baisers sur ma nuque, tandis que Lionel en faisait de même avec Sylvie, puis nos lèvres ont été assiégées pendant que de délicates caresses se fondaient sur nos décolletés avant de se glisser sous les tissus légers de nos corsages. En un rien de temps et le plus naturellement du monde, nous étions tous les quatre nus.
Je me suis surprise à détailler mon amie d’enfance en premier. Son corps avait changé, comme le mien, et s’était mué en une silhouette gracile et féminine, avec des seins lourds et une jolie chatte épilée. Nous nous sommes contemplées et avons échangé un « smack » hésitant, avant de nous rouler une pelle à la sensualité toute saphique. Cédric et Lionel semblaient ne pas en revenir, mais ne perdaient pas une miette de la saynète torride que nous leurs offrions tout en caressant leurs queues, déjà dures et dressées telles des caryatides.
Nous avons gagné la première chambre venue et nous sommes lovées l’une à l’autre pour continuer nos échanges de tendresse retrouvée. Les garçons nous ont suivies, non sans avoir la présence d’esprit de prendre leur portable avec eux afin d’immortaliser l’impensable !
Après un soixante-neuf un peu maladroit entre filles, mais au cours duquel chacune de nous deux a joui, nos partenaires nous ont rejointes.
partie à quatre
Jamais il ne me serait venu à l’idée un jour de tromper Cédric, encore moins de, pardon du terme, partouzer en sa compagnie, mais, il m’est forcé de reconnaître que j’ai adoré le voir caresser Sylvie, la voir, elle, le sucer avec délectation, lui accompagnant cette fellation de feulements de plaisir que je connaissais si bien. J’ai profité pleinement des caresses de Lionel. Il était doux, gentil, attentionné, n’arrêtant pas de me demander si ce qu’il me faisait me convenait. J’ai fini par, moi aussi, le prendre en bouche. Sa queue était plus grosse que celle de mon mari, son goût suave et parfumé de savon m’a tout de suite plu et je l’ai accueillie tout au fond de ma gorge tandis que je sentais les longs doigts du compagnon de mon amie se faufiler dans mon sexe trempé et ouvert.
Derrière nous, le lit a commencé à grincer et à bouger en rythme. Cédric avait franchi un nouveau cap et prenait énergiquement Sylvie en levrette. Je me suis alors allongée sur le dos et j’ai écarté les cuisses pour inviter Lionel à venir en moi. J’ai joui vite et très fort, alors que ma complice demandait à Cédric de l’enculer ! La facilité avec laquelle elle employait des mots très crus et savoir qu’elle aussi, goûtait aux plaisirs de la sodomie m’ont envoyée au septième ciel. Les hommes nous ont fait jouir encore à deux reprises, puis j’ai pu réaliser un autre de mes fantasmes, me faire baiser par ma moitié, tout en suçant une autre bite pour finir par m’empaler par l’anus sur l’imposante colonne de Lionel.
Jusqu’à la fin de notre séjour, il n’a plus été question de faire l’amour seuls dans notre coin (j’avais écrit « con », sic ! Décidément …), nous avons fait chambre commune. Un soir, nous avons même été jusqu’à passer une nuit complète en formant des couples « illégitimes » ! Entendre mon mari râler et Sylvie crier son plaisir derrière la fine cloison qui séparait les deux pièces a été un aphrodisiaque terrible !
Quelle joie d’avoir enfin franchi ce cap, ma sexualité, depuis ces trois semaines, est totalement bouleversée. Je porte de nouveau des bas, des porte-jarretelles, mon mari me pousse même a vampé les hommes que je croise au travail. La semaine dernière, je me suis fait culbutée sur le capot d’une voiture de luxe allemande dans le parking de l’entreprise ! Yvan, mon amant d’un soir, vient avec sa fiancée ce soir à la maison… Promis, je vous enverrai les photos qui accompagneront une prochaine lettre.
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