Quatuor aux Açores !

La rédaction 6 octobre 2025

Je vais faire court, je pars pour quatre semaines de folie avec Émilie et Carla. Notre projet de vacances est simple … pécho, pécho et pécho ! Des hommes, bien sûr ! On arrive dans un hôtel topissime, chambres avec vue sur mer, piscine à débordement, boîtes de nuit, cocktails à gogo et des beaux mecs, comme s’il en pleuvait ! Et évidemment, qu’est-il advenu aux trois copines qui se connaissent jusqu’au bout du clito !? On a toutes flashé sur le même lascar ! Armando, le barman. Voici mon histoire de sexe érotique.

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Du coup, réinterstron.ru au sommet, et il est ressorti du « Yalta du cul » qu’on se le ferait toutes à tour de rôle, et ça s’est terminé par un armistice où nous l’avons toutes baisé en même temps ! Après l’avoir bien chauffé en lui demandant de nous prendre en photo, le pauvre a cru que nous étions lesbiennes, il faut dire qu’on se roulait pelle sur pelle en binômes, voire toutes ensemble. Il a suffi d’une bonne pipe dans les cabines de plage, sa bonne grosse bite dans nos bouches et trois furies qui se battent afin de lécher plus de sperme que les autres, pour le persuader qu’on aimait aussi la queue.

Bénéfices à tous les niveaux, on a bu gratis toute la semaine et on s’est régalé de marathons de baise terribles ! Armando a continué à jouer les photographes sur le rivage et dans la chambre. Il avait bien du mal à dissimuler ses érections en retournant derrière son comptoir, bandaison que nous relancions et mettions à profit à la fin de ses services. Dès qu’il arrivait, pipe, son entrée en matière préférée, à une, deux ou trois bouches, il fallait bien que l’une d’entre nous se sacrifie quelques minutes pour shooter les autres. Son bâton de cannelle bien dur et bien dressé, nous le chauffions encore un peu plus en nous gouinant devant lui. Bon sang ce qu’il aimait nous mater en se branlant et en nous observant de plus en plus près afin de voir nos langues s’enfoncer dans les chattes des autres, le jus des petites moules couler dans nos gorges ou bien encore nos doigts disparaître dans le vagin ou l’anus d’une copine.

Il était ensuite convié à nous bouffer l’abricot ou le cul. Combien de fois nous nous sommes alignées sur le rebord du matelas ou à même le sol, l’invitant à nous déguster à la chaîne et à nous faire reluire le bonbon, à nous astiquer le bourgeon ou à nous forer le fion de sa langue magique ? Je ne sais pas, tous les soirs, je crois. Il s’y prenait tellement habilement que nous jouissions juste avec ses cunnis et ses anilinctus, juste de quoi nous ouvrir l’appétit pour la suite.

Un trio gagnant

Sa teub était alors gonflée à bloc, du sel huileux barbouillait son méat, nous lui caressions les couilles, nous l’embrassions, lui mordillions les tétons et les fesses, jusqu’aux orteils. Je pense qu’on lui a tout sucé, y compris le petit trou, ça, c’est le truc de Carla, cette belle salope n’a aucune limite ! Elle lui a même fourré un doigt dans le trou de balle pour un massage prostatique, je n’ai jamais vu un mec éjaculer autant, ni avec autant de puissance dans le jet, il a giclé à au moins deux mètres !

Bref, après ces diverses mises en bouche, nous écartions nos cuisses et nos globes charnus, libérant de concert l’entrée à nos … six orifices de plaisir ! Armando n’avait plus qu’à choisir, tous étant totalement accessibles et désireux de prendre du rond. Il a vite compris qu’Émilie était une folle de sodomie, il l’enfilait donc par l’anus, presque à sec mises à part nos salives et sa mouille abondante. Il la faisait jouir avec ses cris de tigresse, puis changeait de capote. En général, c’était mon tour, d’abord par la chatte, pendant que Carla et Émilie se bouffaient le minou en soixante-neuf, ensuite il me la mettait dans le petit trou et me propulsait au Nirvana une ou deux fois. Enfin, il se tournait vers sa préférée, la seule châtain du groupe, il avait vraiment le béguin pour elle.

Avec Carla, le rituel était différent, il la léchait, l’embrassait et la laissait l’enfourcher. Guidant la cadence et la profondeur de pénétration, elle se menait au plaisir en ondulant du popotin. Le pouce d’Armando lui tripotait le clito en cercles concentriques. Alors seulement, elle aussi se fichait sur son dard par la rondelle. Elle a de la chance, son trou du cul est un tout petit puits tout lisse, hyper serré, mais hyper flex également, elle peut prendre gros la cochonne et elle jouit du cul aussi fort que par le vagin.

Et après son orgasme intense, accompagné de mots plus crus les uns que les autres, Armando se répandait au plus profond de ses entrailles. Ainsi fut l’été deux mille vingt-trois !

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