Éveil anal

La rédaction 23 février 2020

Justine, 28 ans

L’année dernière, j’ai eu quelques problèmes de santé qui ont nécessité un séjour de 48 heures en clinique. J’y ai subi une batterie d’examen. C’était loin d’être agréable, mais ce que j’appréhendais le plus, c’était le toucher rectal. C’est un médecin d’une quarantaine d’années qui s’en est occupé et j’ai trouvé cela très gênant. Malgré tout, je dois avouer que sentir son doigt profondément fiché dans mon anus était plus agréable que ce que j’imaginais.

Après cela, il m’a prescrit une rectoscopie. Il m’a expliqué qu’il s’agissait d’introduire dans l’anus un long tube rigide appelé « endoscope » avec un éclairage interne. Après la bonne surprise du toucher rectal, j’avoue que j’attendais impatiemment la rectoscopie. Par contre, ce que je n’avais pas prévu, c’est la préparation préliminaire à l’examen : deux lavements sont obligatoirement administrés, l’un la veille de l’intervention et le second, deux heures avant l’examen.

Le soir, une infirmière est venue m’administrer le premier lavement dans ma chambre. Le médecin est passé juste à ce moment-là, alors que j’avais les fesses en l’air avec la canule enfoncée dans l’anus. La honte ! Mais le plus horrible, c’est que cette situation m’excitait et que je ne pouvais empêcher ma chatte de couler de désir. La nuit, en repensant à cette situation, je n’ai pas résisté à l’envie de me masturber. Le lendemain, un jeune infirmier est venu pour le deuxième lavement. J’ai dû à nouveau exposer mes fesses. Je sentais le rouge me monter au visage et cette fois encore, ma vulve s’est humidifiée. Je pense que l’infirmier a dû s’en rendre compte, vu la position…

Deux heures après, j’ai été transportée dans la salle d’examen pour la rectoscopie. Le médecin était là avec une assistante. Nue de la tête au pied, je me suis installée que la table d’examen, à genoux, prosternée. Je savais qu’on voyait mon anus et ma vulve. On m’a bien écarté les fesses et on m’a lubrifié l’anus. À nouveau, j’ai senti un doigt fouiller mon rectum ; à nouveau, une chaleur a envahi mon ventre. J’étais au comble de la honte et de l’excitation, je ne pouvais empêcher mon esprit de fantasmer. Alors qu’on m’introduisait le tube, j’imaginais le médecin excité par ce qu’il voyait. Il plongeait ses doigts dans mon anus et dans ma chatte, et il me doigtait jusqu’à ce que je jouisse. Je mouillais comme une dingue, c’était délicieux.

Bien entendu, il n’est rien arrivé de mes fantasmes. Quand ils ont eu terminé, ils m’ont demandé de me rhabiller. Je suis remontée dans ma chambre et, discrètement pour que ma voisine de lit ne se doute de rien, je me suis branlée. Pour la première fois, je me suis fait jouir en fouillant mon anus. Depuis, je suis obnubilée par les caresses anales, et j’attends avec impatience le jour où un homme me fera goûter à la sodomie.

(Image à la une : Getty Images)

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