À trois contre une… tout contre !
17 novembre 2022Greg, 47 ans souhaite casser la routine sexuelle de son couple. Il offre deux hommes bien gaulés à sa femme et la comble de plaisir !
Avec Sylvie, mon épouse depuis vingt ans, une certaine routine sexuelle s’était installée, pour ne pas dire une vraie lassitude. Une étreinte bimensuelle, plus hygiénique qu’autre chose. Je passais mon temps sur des sites pornographiques, me branlant pour évacuer mon désir sur des scènes de pluralité masculine principalement, où une femme (Sylvie dans mon imaginaire) se donnait à plusieurs hommes, des hommes de couleur en général. Un soir où je me caressais, j’ai senti une présence derrière moi, c’était ma douce qui, chancelante contre l’encadrement de la porte, se masturbait, nue, deux doigts en fourchette sur son clito ! Il ne m’en a pas fallu plus, cette nuit-là nous avons baisé comme avant, pipe profonde, lumière allumée, chatte et cul offerts, un festival, ma belle a joui au moins trois fois et je l’ai gratifiée de deux éjaculations aussi abondantes qu’épanouissantes.
En fait, nous avions tous les deux le même désir, mais le manque de communication et le respect de l’autre nous avait empêché de nous l’avouer. Le hasard a bien fait les choses et quelques clics plus tard nous avions rendez-vous avec deux blacks bien montés le soir même.
Un scénario bien iodé
Nous avions convenu que Sylvie attendrait nue dans la chambre, un bandeau sur les yeux pour commencer. J’ai accueilli nos deux hôtes et les ai invités à se déshabiller avec moi avant d’entrer dans l’arène. Leurs sexes flasques en imposaient comparés à ma “petite saucisse” comme la surnomme ma femme. Deux tuyaux chocolat qui pendaient entre des cuisses musclées et imberbes tout comme leurs pubis.
En l’écrivant, je m’aperçois qu’une fois dans la chambre, plus un mot n’a été échangé. Nous avons gagné le lit où Sylvie nous attendait, nue, jambes écartées, la lumière était restée allumée cette fois encore, il était hors de question que je ne garde pas une trace de cette grande première (qui, je l’ignorais à l’époque, serait suivie de tant d’autres). Je me suis jeté sur le sexe de ma moitié pour lui bouffer son bel abricot qui dégorgeait littéralement d’un jus poisseux et iodé tandis que nos deux complices se glissaient de part et d’autre de ma femme. Ils ont guidé les mains de Sylvie jusqu’à leurs membres imposants, elle a soupiré, le rouge lui est monté aux joues, allait-elle oser maintenant qu’elle était au pied du mur.
Je l’ai vue tâter les pénis, les bourses puis les saisir fermement entre ses doigts et elle a ouvert ses délicates lèvres purpurines afin de prendre l’un des deux glands dans sa bouche. La danse pouvait commencer. Alternant de gauche et de droite, elle pompait les deux dards tandis que ces derniers gagnaient en volume. Impressionnant ! Une fois bien durs, j’ai cédé ma place à ces deux colonnes, après tous, ils étaient là pour ça et Sylvie tortillait son petit cul depuis un moment, manifestant son impatience à se faire enfin baiser par ces deux beaux gaillards. Elle a retiré son bandeau pour profiter de toutes les sensations et celui des deux qui n’avait pas de test à jour a enfilé un préservatif.
On aurait dit que les deux avaient un sexe pneumatique ! Quelle puissance dans leurs coups de reins, quelle violence maîtrisée dans les levrettes qui se sont enchaînées, assorties de claques sèches sur les fesses de ma femme qui tentait de sucer ma queue ainsi que celle du sans capote.
Bien entendu, une petite compétition masculine s’est instaurée entre nous trois. Impossible de quitter le ring sans que chacun ait fait jouir Sylvie au moins une fois. Son premier orgasme est venu de celui qui l’a défoncée sans protection. À quatre pattes, la position préférée de Sylvie. Il lui assénait de lourds assauts, sans fioritures, sans toucher à ses seins ou à son clito, juste une pénétration à la force pure qui a retourné mon ange. Lui aussi a dû apprécier, car il s’est répandu en grognant dans le con écartelé, le spectacle du foutre blanc et abondant coulant du trou ouvert de Sylvie m’a transporté.
Le second, lui, a gagné sur un terrain plus difficile, en missionnaire et avec le caoutchouc réduisant les sensations. Pareil que son ami, il a failli casser les lattes du sommier tant il a donné de sa personne. Lui a joui dans sa capote tandis que Sylvie suffoquait presque entre le déchirement de son plaisir et le poids de son amant abandonné sur elle.
La nuit fut longue, Sylvie nous a sucé tous les trois ensemble et nous avons continué à baiser. J’ai fini par balancer mon sperme sur ses seins.
Depuis nous avons participé à pas mal de soirées et autres partouzes, la semaine prochaine, Sylvie testera son premier gang-bang, dix blacks pour elle toute seule et je filmerai. Comme quoi, plus on est de fous, plus le couple dure !
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