Un amour d’été à Bali

La rédaction 10 mars 2020

Thibault, 33 ans

Adepte de votre revue depuis quelques années déjà, j’ai été parfois très sensible à l’intensité sexuelle de certains des récits que vous publiez. Je me suis toujours dit qu’il fallait que je profite d’une de mes aventures pour essayer d’écrire avec la même sensibilité. J’ai eu la chance de connaître, de manière brève mais intense, un amour d’été dans un coin paradisiaque de notre belle planète. Un amour de vacances comme on les aime, magique et fugace. Une parenthèse de douceur au pays du sexe et des sensations de la chair. J’ai rencontré Sonia lors d’un voyage sur l’île de Bali en Indonésie: une belle Australienne de 27 ans, blonde avec un visage éclairé par un magnifique sourire et des yeux bleus. Un corps enfin et élancé que je devinais sous sa jupe et avec une petite poitrine bien dessinée.

La rencontre a eu lieu dans un petit restaurant, elle était seule à sa table et crayonnait des choses sur un petit calepin. La conversation entamée et quelques bières plus tard, elle me proposa spontanément de partir faire une balade le long de la mer à vélo. Arrivés au bord d’une plage calme et très peu éclairée, elle se décida pour un bain de minuit dans les rouleaux. Pas plus timide que ça, elle se mit toute nue devant moi et commença à courir vers la mer. L’appel était clair et ses petites fesses se dandinant à la lumière de la lune commençaient sérieusement à m’exciter. Ne pouvant pas me défiler devant cette belle blonde, je me mis également à poil pour la rejoindre. Après quelques brassées, elle s’approcha de moi, passa ses jambes autour de mon corps et m’embrassa dans le même élan. Pas timide pour un sou, l’Australienne! J’avais une folle envie de lui faire l’amour et de jouir en elle. Nous sommes sortis de l’eau et, après avoir remis nos vêtements, nous avions décidé de pousser l’aventure un peu plus loin sur nos vélos. Nous sommes tombés sur un hôtel de haut standing qui avait des piscines en libre accès devant des bungalows de riches. Le décor était tout simplement magnifique avec les palmiers, la plage à quelques mètres et le ciel étoilé ! Seulement, nous n’étions pas des clients de l’hôtel et d’ailleurs nous n’en n’avions pas les moyens. Sonia m’a regardé avec un grand sourire et m’a proposé, tout naturellement d’aller piquer une tête dans une des piscines.

Voyant mon hésitation, elle m’a dit que nous devions agir tout naturellement comme des clients de l’hôtel. Nu une, ni deux, après avoir planqué nos vélos, nous étions de nouveau nus dans la piscine. Elle était belle dans l’eau avec ses cheveux tombant sur ses seins. Au contact de l’eau, sa poitrine venait de réagir à la perfection et ses tétons étaient très durs. Personne ne semblait faire attention à nous. Je l’ai prise dans mes bras et l’ai emmenée doucement vers un coin plus sombre de la piscine. Elle a pris mon sexe en main et a commencé un va-et-vient délicieux. Sentant mon sexe se durcir, elle m’a dit que l’eau n’était pas le meilleur lubrifiant pour m’accueillir en elle. Les chaises de piscine n’étaient pas vraiment à l’abri des regards, mais j’avais une folle envie de lui faire l’amour sans plus attendre.

Après avoir emprunté quelques serviettes de bain, elle s’est couverte la tête et a glissé au-dessus de mon sexe déjà en érection. Elle l’a pris en bouche et l’a avalé goulûment sans se soucier de l’environnement. Elle était dans une transe et mon sexe n’était qu’un vecteur de plaisir réciproque. Sa bouche ne laissant pas un seul centimètre à l’air libre, sa langue continuait un travail de sape sur ma veine bleue de plaisir. Mes yeux scrutaient le ciel étoilé pendant que j’a chais un sourire débile de béatitude totale. Juste avant que j’explose dans sa bouche, elle se retira, cracha délicatement dans sa main et se mit à lubri er doucement l’entrée de son minou.

Toujours à la merci des regards, elle enfourcha profondément mon sexe dans son vagin et commença des allers-retours. J’aurais pu rester des heures dans cet endroit chaud et humide qu’elle m’offrait généreusement. C’était un orgasme masculin prolongé, j’avais l’impression de jouir continuellement en elle. Mais dans un dernier râle de plaisir, j’ai retiré mon sexe gonflé à bloc et j’ai explosé sur sa petite chatte. Je suis descendu pour lécher vigoureusement son clito. Son plaisir se manifestait par de petits spasmes alors qu’elle appuyait sur ma tête pour y faire entrer plus profondément ma langue. Les contractions de son ventre indiquaient l’orgasme qui arrivait. Tout en continuant les marques d’affection, nous nous sommes rhabillés tranquillement et avons récupéré nos vélos pour de nouvelles aventures. Sonia, si nos chemins se recroisent un jour, j’ai passé les 48 h les plus intenses et magiques qu’une femme ne m’ait jamais offert. Merci !

(Image à la une : Getty Images)

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